Le chargé des relations diplomatiques et publiques du Département américains au niveau du Bureau africain s’est entretenu le lundi dernier avec les étudiants des différents niveaux de l’Institut américain de langue au Congo (Cali).
C’était une visite surprise. Cependant, fructueuse et riche pour la crème estutidiantine de cette institution anglophone et le diplomate américain, qui sans gant, a abordé avec plaisir plusieurs sujets soulévés par l’assistance. Elle était curieuse et surtout très attentive à l’accent pur et orginal de leur interlocuteur, qui a sillonné plusieurs pays d’Afrique. C’était un vrai échnage, plein d’anthousiame, surtout pour les étudiants, brûlés par cette envie de maîtriser l’anglais, aujourd’hui incontournable dans le monde des affaires.
L’objectif de cettevisite pour ce diplomate et le staff dirigeant de Cali, était justement de susciter, créer l’échange entre les étudiants et le chargé des relations publiques du Département américain en Afrique.
« Il ne faut pas être timide lorsque vous devrez parler l’anglais, ne vous genez pas. C’est une très bonne langue que vous apprenez, alors ne vous genez surtout pas… », a lâché cet Américain, avant d’ajouter ceci : « Je suis venu aider les étudiants à briser le gène, à aider les étudaints anglophones à mieux renforcer leur apprentissage et suis content de les voir parler bien. J’en sors heureux».
Devant une centaine d’étudiants réunis au hall de l’institut, le diplomate américain n’a pas hésité de dire combien il est fasciné par la chaleur de la République démocratique du Congo, ce pays, qui attend énormément des Etats Unis d’Américains, dans sa relance et construction de sa jeune démocratie.
Entant que porte-parole du Département américain en Afrique, Ed Cox a indiqué que la présence du Département américain dans le continent noir est justement de faciliter la communication entre son pays et l’Afrique, mais aussi avec plusieurs autres organisations internationales d’aide. Parce que les Usa disposent de plusieurs programmes d’assistance en faveur de nombreux pays d’Afrique et particulièrement avec la Rdc. Et pour cela, précise-t-il, « il faut une bonne action des relations publiques auprès de populations bénéficiaires ». C’était au côté de la Conseillère à la presse et aux affaires culturelles de l’Ambassades des Usa, Mme Yolanda Kerney.
Sur le terrain, le Département américain travaille en équipe avec d’autres organisations, qui sont mieux placées et imprégnées des réalités africaines. Ce qui facilite et permet au Département américain d’orienter ses multiples interventions humanitaires vers les besoins les plus urgents possibles.
Outre les aides que le Département américain octroie, soulignons qu’il s’interesse aussi à la formation des porte-paroles. Un travail important qui rentre dans les Relations publiques, qui permet à n’importe quelle firme de communiquer au public et même de vendre son image, surtout lorsqu’il y a des actions à capitaliser. Car, ne dit-on pas qu’un bien fait doit être connu ? Ce principe des Relations publiques est bien compris par les Usa et exploité à fonds afin de préserver la bonne image de ce pays, et estime-t-on, devra inspirer plusieurs autres nations africaines.
Yassa