Les ambassades des États-Unis et de la Grande Bretagne ont obtenu « des assurances de la Présidence de la République que les forces de sécurité ont reçu instruction de protéger les droits fondamentaux des citoyens tout en maintenant l’ordre public », indiquent-elles dans un communiqué conjoint de ce 21 janvier. Les deux missions diplomatiques avertissent que ceux qui violeront ces droits en répondront au plus haut niveau.
Statement by myself and US Charge d’Affaires @USEmbKinshasa on the current political situation in #DRC #RDC pic.twitter.com/5IXrbXwecA
— John Murton (@JohnMurton) January 20, 2018
« Tout usage de la force et toutes violations des droits humains afin d’empêcher ce droit de manifestation pacifique, notamment en coupant les communications, entravent le processus politique (en cours) », expliquent John Murton, Ambassadeur britannique en RDC, et Jennifer Hakell, Chargée d’Affaires des USA.
Les États-Unis et la Grande-Bretagne reconnaissent et en apprécient les efforts des dirigeants religieux et autres acteurs visant à s’assurer que les manifestants de ce dimanche rejettent toute violence et soient pacifiques comme ils l’ont été le 31 décembre.