Relativement à la situation de l’Est de la RDC, l’ancien candidat président 2018 Martin Fayulu a indiqué que des graves menaces pèsent sur l’intégrité de la République démocratique du Congo.
Pour une énième fois, le président du parti politique Engagement citoyen pour le developpement (ECIDE), a critiqué la gestion du gouvernement en place. Pour lui, ces graves menaces sont tributaires à insécurité généralisée en RDC, une misère profonde de la population congolaise et une instabilité criante des institutions, face auxquelles les gouvernants de fait ne proposent que la mégestion.
En parallèle de ces facteurs qu’il estime être à la cause de l’instabilité de paix dans l’Est du pays, Martin Fayulu a également indiqué que c’est suite aux détournements des fonds publics, la corruption, l’achat des consciences, l’impunité, la jouissance et l’irresponsabilité, voire la compromission que le pays est plongé dans une faiblesse inacceptable.
Au travers ce congrès organisé par son parti, qui traître sur deux principaux sujets à savoir le processus électoral en RDC, ainsi que le climat sécuritaire qui prévaut dans la partie Est du pays, ce cadre et membre animateur de la plate-forme Lamuka a instruit ses congressistesà évaluer sans complaisance la situation générale de la RDC.
À l’en croire, l’un des principaux combats qui attend son parti à la tête de la République démocratique du Congo, c’est celui de défendre le pays contre toute forme de sa balkanisation.
« Voilà pourquoi, le thème de notre deuxième congrès ordinaire est : ‘’Congo Ekolo Moko’’ pour souligner l’importance du combat qui nous attend, celui de défendre notre pays contre sa balkanisation et appuyer sur le champignon de la cohésion nationale qu’il nous faut à tout prix préserver. Et, ceci passe par les élections libres, crédibles, impartiales et apaisées », a déclaré Martin Fayulu.
En définitive, ce leader de l’ECIDé a aussi convié ses partisans à redynamiser l’organisation et le fonctionnement de son parti afin de concevoir des nouvelles stratégies pour renforcer leurs capacités et l’agir collectif.