Une nouvelle forme de mpox détecté au Sud-Kivu risque de se propager plus facilement de la grande épidémie de la RDC a signalé jeudi AP.
Depuis janvier, le Congo a signalé plus de 4 500 cas suspects de mpox et près de 300 décès, des chiffres qui ont à peu près triplé par rapport à la même période de l’année dernière, selon l’Organisation mondiale de la santé.
Selon Telegraph, sa souche découverte à Kamituga, à Kamituga, dans l’est du Congo, se propagerait mieux entre les humains, surtout par rapport sexuel.
Une analyse de patients hospitalisés entre octobre et janvier suggère que les mutations génétiques récentes du mpox sont le résultat de sa transmission continue chez l’homme ; cela se produit dans une ville où les gens ont peu de contacts avec les animaux sauvages censés être naturellement porteurs de la maladie.