Les axes clés de l’accord incluent la reconnaissance mutuelle des frontières établies, l’engagement à résoudre les différends par des moyens pacifiques et l’arrêt du soutien à tout groupe armé non étatique. Les parties s’accordent également sur la nécessité de coopérer dans la sécurisation des zones frontalières, tout en posant les bases d’un dialogue diplomatique renforcé et du retour des populations déplacées.
Cet engagement politique intervient alors que la région continue de souffrir des violences et des déplacements massifs liés aux activités des groupes armés. Bien que l’accord soit perçu comme une avancée diplomatique importante, les défis restent nombreux, notamment la mise en œuvre effective des engagements pris et la restauration d’une confiance mutuelle.
Pour les populations de l’Est de la RDC, cet accord suscite l’espoir d’une paix durable. La réussite de cette initiative dépendra toutefois de la capacité des deux pays à traduire ces promesses en actions concrètes sur le terrain.