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RDC : une année après le départ de Blanche Tunasi, le souvenir d’une vie marquée par la foi et le service

Le 12 juin 2025 marque une année depuis le départ brutal de Blanche Odia Kandolo Tunasi, épouse du pasteur Marcello Tunasi.

Une date qui résonne encore avec douleur, mais aussi avec une profonde gratitude pour l’impact indélébile qu’elle a laissé dans les cœurs et les esprits en République Démocratique du Congo et bien au-delà.

Décédée à Istanbul, en Turquie le 12 juin 2024, suite à une opération chirurgicale qui a mal tourné, Blanche Tunasi a quitté ce monde dans des circonstances tragiques. Son décès a provoqué une onde de choc dans toute la sphère chrétienne, mais aussi dans les milieux éducatifs et humanitaires. Un an plus tard, sa mémoire reste intacte, entretenue par ceux qu’elle a inspirés et soutenus.

Depuis ce jour sombre, le nom de Blanche Tunasi est devenu synonyme d’amour, de foi, et de dévouement. Des milliers de fidèles, amis et connaissances de Kinshasa et d’ailleurs lui rendent toujours hommage. Des temps de prière, des moments de recueillement et des œuvres caritatives ont été organisés en son honneur.

Mais au-delà des cérémonies, c’est son héritage qui parle. Les écoles qu’elle a soutenues, les jeunes filles qu’elle a encouragées à poursuivre leurs études, les familles qu’elle a aidées dans l’ombre tous ces gestes posent les jalons d’une mémoire active. Son engagement pour l’éducation des enfants défavorisés continue à inspirer des initiatives dans plusieurs villes du pays. L’association qu’elle avait fondée, aujourd’hui rebaptisée « Fondation Blanche Tunasi« , poursuit ses actions avec une vigueur renouvelée.

Marcello Tunasi, son époux, continue lui aussi d’honorer sa mémoire à travers ses prédications empreintes d’émotion, mais aussi de foi inébranlable. « Blanche ne nous a pas quittés, elle vit à travers chaque sourire qu’elle a provoqué, chaque vie qu’elle a touchée« , a-t-il déclaré lors d’un culte commémoratif.

Une année s’est écoulée, mais l’empreinte de Blanche Tunasi n’a rien perdu de sa lumière. Elle brille encore, telle une étoile discrète mais constante, dans les gestes de ceux qui choisissent d’aimer, d’enseigner, de servir. Son absence physique est réelle, mais sa présence spirituelle semble, elle, ne jamais faiblir.

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