Face à ce nouvel épisode tragique ciblant un acteur de la presse, les autorités congolaises affirment leur engagement à restaurer l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire, tout en garantissant la sécurité des journalistes et le respect plein et entier de la liberté de la presse.
« Tous les actes criminels, y compris ceux perpétrés dans les zones encore instables ou sous occupation, sont rigoureusement documentés. Leurs auteurs, co-auteurs et complices seront traduits en justice, conformément à la loi », a martelé le gouvernement.
En signe de solidarité, Kinshasa adresse ses condoléances à la famille du journaliste et à toute la corporation médiatique.
Cet assassinat soulève une nouvelle fois la question pressante de la sécurité des journalistes dans l’Est du pays, où les professionnels des médias exercent souvent dans des conditions hostiles, entre menaces, violences et impunité persistante.

