Motif évoqué, les sanctions de l’Union européenne adoptées contre les « membres, y compris celles adoptées à la veille des discussions de Luanda, compromettent gravement le dialogue direct et empêchent toute avancée ».
Selon le mouvement, « cette attitude incompréhensible, équivoque et ambiguë ne fait que renforcer M. Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo dans sa politique belliciste « .
De l’autre côté, la RDC était prête à envoyer une délégation à Luanda pour y rencontrer la délégation adverse et négocier.
C’est la deuxième fois que le médiateur angolais convoque le gouvernement congolais aux négociations avec ses ennemis, sans succès. La dernière fois, c’était autour du Président rwandais Paul Kagame de bouder à la veille une tripartite devant déboucher à la signature d’un accord de paix dans l’Est de la RDC.