Ce dispositif associe des représentants de la RDC et de l’AFC/M23, mais également des observateurs internationaux, notamment du Qatar, des États-Unis, de l’Union africaine, de la CIRGL (via le MCVE) et de la MONUSCO.
Cette signature intervient un mois après la mise en place du Mécanisme d’échange et de libération des prisonniers, marquant ainsi une nouvelle avancée dans la concrétisation de la Déclaration de Principes de Doha, paraphée le 19 juillet dernier.
Pour Kinshasa, cet acte illustre une volonté claire : parvenir à la cessation effective des hostilités, restaurer la sécurité des populations et poser les bases d’un accord de paix global et durable, dans un processus appuyé par la communauté internationale.
Les regards restent désormais tournés vers la mise en œuvre concrète de ces engagements, considérée comme déterminante pour la stabilité de l’Est de la RDC.

