Dans ses nouveaux amendements, le député de l’Union sacrée suggère que “le candidat président de la République soit la personne dont la conjointe ou le conjoint est né de père et de mère congolais, pour éviter l’infiltration”, estime Nsingi Pululu.
Ce qui signifie que si cette loi est adoptée, Katumbi, Kamerhe, Jean-Pierre Bemba, Fayulu Madidi, etc, seront d’office écartés de la course, car n’ayant des épouses de nationalité congolaise, ces leaders politiques précités ne repondent pas à ce critéruim.
Au niveau des partis politiques, les voix se levent déjà pour décrier des velléités politiciennes qui violent la Constitution. C’est le cas de Laurent Onyemba, proche de Moïse Katumbi.
“Ce schéma vise à exclure Moïse Katumbi. Nous dénonçons ces velléités politiciennes qui violent la Constitution”, a-t-il soutenu.
Giscard Havril
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