La femme africaine, particulièrement celle de la République Démocratique du Congo doit se réveiller et lutter pour ses droits.

Cet appelle est de madame Richa Kamina Tshimbinda, responsable de l’organisation African Migrant Women’s Voice, AMWV Asbl.
Elle l’a dit à l’occasion de la journée internationale de la femme africaine, célébrée ce vendredi 31 juillet 2021.

Pour elle, la femme congolaise, victime des violences de tout genre, de la discrimination et des massacres, a beaucoup plus besoin de la justice car cette dernière est tuée au vu et au su de tout le monde.

« La femme congolaise doit se reveiller et lutter pour ses droits, nous voulons le droit de l’homme en RDC.
La femme congolaise est violee, discriminée. La femme congolaise a besoin de la justice » rassure t-elle.

Madame Richa Kamina reste rassuré que ce jour devrait être une journée importante pour la femme africaine en général, et la femme congolaise en général mais aussi une occasion pour plaider qu’il y ait égalité entre l’homme et la femme et la libération totale de la femme africaine.

African Migrant Women’s Voice est une association de femmes migrantes vivant en Afrique du Sud. Une organisation non gouvernementale et caritative, reconnue par le gouvernement Sud-africain avec la vision d’opérer à la fois en Afrique du Sud et dans d’autres pays de de l’Afrique et du monde.
AMWV est constituée de femmes migrantes de différents pays, de différentes nationalités vivant en Afrique du Sud.

A noter que cette journée a été reconnue telquel en marge de la première conférence de l’organisation panafricaine de la femme africaine tenue à Dar Es Salam, le 31 juillet 1962. Elle vise surtout la réalisation de la libération politique et l’avancement de la société et l’économie du continent africain à travers la femme.