L’horrible scène a eu lieu le jeudi 28 avril vers 19 heures à Kabizo, groupement de Tongo, dans le territoire de Rutshuru.

Selon Dieudonné Maboko, proche de la famille des deux frères, tout est parti d’une altercation entre l’homme décédé et sa mère, au sujet du jus de banane, communément appelé « Kasiksi ».

Notre source explique que l’aîné, Charité, a ramené du jus de banane d’un champ. Il en a offert une quantité importante à sa mère. Mais elle était insatisfaite, et a voulu en avoir un peu plus. S’en est alors suivi une dispute.

Un autre fils, Prodige, s’est alors invité dans la discussion. Il a par la suite poignardé son frère aîné dans le thorax.

Dépêchée à l’hôpital de Kabizo, la victime y est arrivée à ses derniers soupirs. Elle s’est tout de suite éteinte, explique Dieudonné Maboko.

Les services locaux de sécurité se sont activés pour mettre la main sur l’auteur du drame, mais ils n’ont pu, le criminel ayant pris la poudre d’escampette.

La pluie qui s’est abattue dans la majeure partie du territoire de Masisi dans la province du Nord-Kivu ce vendredi 29 avril 2022 n’a pas passé sans laisser des dégâts.

Au quartier Monument, sur la colline Matcha, plusieurs maisons se sont écroulées suite à cette pluie causant ainsi la mort d’une personne et plusieurs blessés.

Selon les sources locales, plusieurs autres dégâts matériels ont été enregistrés à la suite de cet éboulement de terre.

Les mêmes sources affirment que, d’autres maisons sont parties par les eaux de la pluie et plusieurs biens endommagés.

Dans une semaine, la province du Sud-kivu voisine a enregistré au moins 18 morts suite aux dangers écologiques causés par la pluie, dont 9 à Bukavu, 5 à Walungu et 4 à Kalehe.

Le ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, Muhindo Nzangi a récu jeudi 28 avril dernier, son homologue du Bénin, en marge des préparatifs de la tenue du 39 ème sommet du Conseil des ministres Africains et Malgache de l’Enseignement Supérieur.

Cette grande rencontre des ministres Africains autour de l’enseignement Supérieur, est prevue du 23 au 27 mai prochain, à Kinshasa; capitale de la République démocratique du Congo (RDC).

« Nous sommes venus au cabinet de Monsieur le ministre de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, et j’ai dirigé une délagation de trois personnes pour partager avec lui un certain ses sujets d’intérêts communs », a indiqué Eléonore Yayi devant la presse.

Elle a également exprimé sa joie de voir Kinshasa abriter le 39 ème sommet du Conseil des ministres Africains de l’Enseignement Supérieur. Et a reconnu que cela relève d’une énorme responsabilité.

« Le Congo et le Bénin nous sommes un, c’est vraiment solennel de partager ce moment de préparation », a-t-elle rajouté.

La ministre béninoise de l’ESU a rappelé que la décision d’accorder a la RDC l’honneur d’abriter le sommet du Conseil des Ministres Africains, a été actée lors de la précédente session d’Abidjan, où elle a été la présidente en exercise du conseil des ministres.

Il s’agit d’un ensemble de pratiques permettant à détecter la bonne information à la fausse, dévoilé ce jeudi 28 avril, au Centre Béthanie, à Kinshasa, lors d’un atelier qui a réuni les professionnels des médias, sous l’initiative de l’association des Médias d’information en ligne (MILRDC).

Comme outil de lutte contre les Fake news, le Fact checking est un ensemble de pratiques permettant de vérifier l’authenticité des informations diffusées au public.

Dans son intervention sur ce sujet, le Professeur Lino Joseph Pungi a souligné l’importance de ce processus qui selon lui bloque le passage aux informations produites dans le but de manipuler l’opinion.

« Dans ce qu’on appelle fake news, il y a des nouvelles qui sont faites sciemment pour soit diaboliser, soit détruire les gens ou démoraliser. Dans le cas de notre pays qui fait face à beaucoup de défis, il est important de faire circuler dans nos médias des informations qui stimulent les gens , plutôt que des messages qui poussent les gens à la fatalité », a-t-il noté.

Évoquant les différentes pratiques pour lutter contre les fake news, il a préconisé notamment le recours aux sources fiables mais aussi aux logiciels de vérification des vraies informations.

Appuyé par Internews, cet atelier fait suite à celui organisé au mois de mars dernier, sur la mésinformation et la désinformation.

En République démocratique du Congo, la fête internationale du travail sera célébrée samedi 30 avril au lieu de dimanche comme coincidé, pour le simple fait que le dimanche est un jour non ouvrable.

Cette information est annoncée dans un communiqué du ministère de l’Emploie travail et prévoyance sociale publié ce jeudi 28 avril.

« La journée du premier mai tombant un dimanche, celle du samedi 30 avril est donc retenue comme journée chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national » écrit Claudine Ndusi, ministre de l’Emploi, travail et prévoyance sociale.

Cette journée est largement observée à Kinshasa en particulier et dans l’ensemble du pays en général. Le Ministère en charge du travail n’a dévoilé aucune activité jusque là, en marge de cette journée.

L’initiative est du député national, Jackson Ausse Afingoto. « Me fondant sur les dispositions de l’article 193 du Règlement intérieur de notre chambre, j’ai l’honneur de vous transmettre en annexe l’interpellation adressée à Monsieur l’Inspecteur Général des Finances, chef de service », indique le député dans sa correspondance au président de l’Assemblée nationale, ce jeudi 28 avril.

Cet élu dit motiver son interpellation suite à ce qu’il qualifie « propos grave sur la situation sécuritaire qui prévaut en République démocratique du Congo en général et de sa partie est en particulier ».

En rappel, lors d’une conférence aux Etats-Unis, devant un groupe d’investisseurs, Jules Alingete a déclaré qu’il n’existe pas de guerre en République démocratique du Congo. Propos qui ont créé un tollé au sein de la classe politique congolaise.

Giscard Havril

Les fidèles kimbanguistes ont commémoré, mercredi 27 avril, le 63ème anniversaire de la disparition physique de Maman Mwilu, épouse de Simon Kimbangu, à Nkamba, siège international de l’Église kimbaguiste, en province du Kongo Central.

À cette occasion, la Députée nationale Henriette Wamu a déclaré que Mama Mwilu est une femme de référence dans la lutte pour l’émancipation des consciences des congolaises, un symbole du courage, de détermination, de l’engagement et la mère de la foi.

 » Aujourd’hui, jour pour jour, le peuple du Congo, cette terre de nos ancêtres que papa Simon Kimbangu a défendu jusqu’à payer de son sang, commémore la vie de Mama Marie Muilu Kiawanga, notre héroïne qui, après la mort du prophète son mari, a défié l’adversité pour poursuivre le combat et asseoir l’âme du Kimbanguisme », a t-elle fait entendre.

Henriette WaMu a indiqué que, Mama Muilu incarne la foi chrétienne kimbanguiste. Sa mort, il y a 63 ans, rappelle le dur combat mené aux côtés de son mari pour résister contre la domination coloniale.

Pour elle, Mama Mwilu est et restera le guide dans la pensée, une référence dans la lutte pour l’émancipation des consciences, la mère de la foi, le symbole du courage, de la détermination et de l’engagement.

Elle a invité les fidèles kimbanguistes à être fiers du choix de leur foi, preuve de leur attachement aux valeurs traditionnelles du pays. Elle a appelé les femmes de se tenir main dans la main pour lutter contre l’esprit de domination, empêchant ainsi l’émancipation de la femme.

Henriette wanu a, par ailleurs, remercié le chef spirituel et représentant légal de l’Eglise de Jésus-Christ sur la terre par son envoyé spécial papa Simon Kimbangu (EJCSK), pour l’accueil chaleureux qu’elle a bénéficié.

Le centre Béthanie dans la commune de la Gombe sert de cadre, ce jeudi 28 avril, pour l’atelier sur le Fact checking, un outil de lutte contre les Fake news.

Réunissant les professionnels des médias, cette activité est organisée par l’association des Médias d’information en ligne (MILRDC).

Il convient de rappeler que, cet atelier fait suite à celui organisé au mois de mars sur le Journalisme, désinformation et mésinformation.

C’est dans la soirée du mercredi 27 avril que le chef de l’État Félix Tshisekedi est arrivé en ville de Lubumbashi dans la province du Haut-katanga.

Ce, dans l’objectif d’évaluer les différents ouvrages réalisés dans cette partie du pays, a renseigné le service de communication de la présidence.

« Le Président de la République va profiter de son séjour de travail pour rencontrer les forces vives de l’espace grand Katanga et va procéder à l’évaluation de différents ouvrages réalisés dans cette Province », a-t-on appris.

Les sources sur place renseignent que, le président de la République va également clôturer la conférence internationale entre le Grand Katanga et le Grand Kasaï lancée il y a quelques jours.