Le chef ad intérim du Bureau des affaires africaines au département d’État américain, Donald Yamamoto, a été l’un des invités du comité des affaires étrangères de la chambre des représentants américaine pour expliquer la politique de gestion de la crise en RDC que développe la Maison Blanche.

La question de la transition sans Joseph Kabila après le 31 décembre 2017 à laquelle Nikki Haley a presque répondu implicitement lors de son passage à Kinshasa a encore fait surface.

« Nous avons déjà expliqué à l’opposition qu’une transition sans Kabila n’était pas constitutionnelle, » a répondu Donald Yamamoto aux représentants américains, tout en promettant que l’administration de Donald Trump fera tout pour faire respecter le calendrier électoral.

Les opposants congolais pour leur part estime toujours que Joseph Kabila hors mandat mandat depuis fin 2016 a épuisé la prolongation que lui accorde l’accord de la Saint-Sylvestre sans organiser les élections pour lesquelles elle avait comme finalité. Elle exige son départ le 31 décembre 2017.