Dans le cadre de la commémoration de la fête du héros national Patrice Emery Lumumba, la Force de l’Union sacrée, une structure qui suit de près la situation politique au pays s’est dit préoccupée par la situation actuelle en République démocratique du Congo.
Se prononçant sur les adhésions massives au sein de l’Union sacrée, cette structure constituée des leaders de partis politiques et personnalités politiques de la province du Nord-Kivu a recommandée au président de la République.
La force de l’Union recommande au président de la République Félix-Antoine Tshisekedi de se surpasser et de bien gérer les égos politiques pour une nouvelle classe politique constituée de nouveaux visages des jeunes et des femmes, à la fois technocrates et politiques, capables de refonder un autre Congo, prospère, radieux et puissant.
Ernest Sengoma, cadre de l’AFDC/A section du Nord-Kivu, le président Tshisekedi devra également empêcher les élus, députés et sénateurs de quitter leurs postes électifs pour lesquels ils ont été appelés pour prétendre occuper les postes nominatifs.
Par ailleurs, la force de l’Union sacrée recommande également le présent de la République de ne pas tomber dans le piège du FCC, qui risquerait de ramener le pays avec honte à la case de départ du FCC-CACH, de triste mémoire.
Une occasion également pour cette structure d’appeler les hommes et femmes politiques du pays à ne pas se lancer dans le commerce politicien par la surenchère des postes, qui prend du temps et aggrave l’insécurité à l’est et la misère partout.
A noter qu’arès l’annonce par le président de la République de la création de l’Union sacrée, plusieurs hautes personnalités politiques et publiques du pays préfèrent quitter leurs positions actuelles pour s’aligner derrière cette vision du chef de l’état.
Situation interprétée différents dans le microcosme politique congolais. Les uns pensent que c’est une façon de faire tomber l’Union sacrée dans le piège du FCC et de créer la coalition FCC-CACH bis, pendant que d’autres encouragent ces adhésions en estimant que c’est une manière de soutenir la vision du chef de l’état, celle de la création de l’Union sacrée.