« Pour Floribert chebeya il n’était pas normal de célébrer tambour battant, les festivités du cinquantenaire de l’indépendance de la RDC, pendant que les gens n’étaient pas à mesure de se faire soigner, ni les femmes à mesure de bénéficier d’une prise en charge adéquate au moment de l’accouchement », raconte l’avocat de la VSV devant la barre.
Il affirme que Floribert était comme une personne qui gênait les préparatifs de festivité de cinquante ans de l’indépendance de la RDC en 2010, année de son assassinat.
Le fondateur de la Vsv, poursuit cet avocat, menait des actions pour décourager les hôtes du gouvernement de la République a rehaussé de leur présence dans ces festivités. Il s’agit notamment du roi belge. Comme si cela ne suffisait pas. Il projetait des marches contre ces fêtes. D’ou son assassinat. « On l’a pas permis de vivre même deux jours du mois de ces festivités. » regrette-il devant la barre.
Il faut signaler que, plusieurs sources ont soutenu que le rapport, accablant les autorités du pays de l’époque, les massacres de Bundu dia Kongo que détenait l’illustre comme module du meurtre de Floribert Chebeya. Mais l’avocat Elie Mbikayi n’a pas exclu cette hypothèse. Il a également soulevé plusieurs actions pour dénoncer les violations des droits de l’homme.