Le Fond Monétaire International (FMI) et la Banque mondiale, alertent et se disent préoccupés des risquent que peuvent entraîner la flambée des denrées alimentaires dans le monde et surtout au niveau de l’Afrique.
Le président de la Banque mondiale David Malpass a indiqué la semaine dernière lors d’un point de presse que les conséquences sont tragiques.
« on s’étend à ce qu’à chaque fois que le prix de l’alimentation augmente d’un point de pourcentage, 10000 millions des personnes tombent dans l’extrême pauvreté » a alerté le 13ièm président du Groupe de la Banque mondiale.
De son côté, Kristalina Georgieva, Directrice Générale du Fonds monétaire international (FMI) soutient que l’inflation a commencé avec le pandémie COVID-19, et a accéléré à cause de la guerre en Ukraine.
Dans une intervention à la radio France internationale, elle a confié avoir été saisie par les autorités africaines d’une menace de pénurie au niveau de l’approvisionnement de la chaîne alimentation.
« le prix de maïs et du blé flambent et les dirigeant en Afrique et au Moyen-Orient me disent que l’approvisionnement est faible. L’insécurité alimentaire est une grave préoccupation. Nous devons agir maintenant à travers une initiale multilatérale pour renforcer la sécurité alimentaire », a déclaré Kristalina Georgieva.
Les deux instances alertent donc sur le risque d’une déstabilisation de la vie sociale, que fait peser cette inflation surtout au niveau de l’Afrique.