Dans un communiqué officiel, la MONUSCO a catégoriquement démenti ces allégations qu’elle qualifie de « fausses et dangereuses ». La Mission affirme qu’aucune activité de cette nature n’a jamais eu lieu ni ne saurait être tolérée dans ses installations. Elle dénonce ces rumeurs malveillantes qui, selon elle, visent à ternir son image, semer la confusion et menacer la sécurité de ses personnels ainsi que des civils qu’elle est mandatée à protéger.

Rappelant son engagement en stricte conformité avec le mandat du Conseil de sécurité des Nations Unies, la MONUSCO insiste sur son rôle fondamental : la protection des civils, l’appui aux Forces armées de la RDC (FARDC) et la stabilisation des zones en conflit. Elle précise que la présence des FARDC dans certaines de ses bases s’inscrit dans ce cadre et répond à des impératifs humanitaires de protection temporaire.
La Mission appelle les acteurs politiques et les leaders communautaires à faire preuve de responsabilité dans leurs communications, à éviter de relayer des informations non vérifiées et à travailler de manière constructive pour la paix dans l’Est de la RDC.
Réaffirmant son engagement aux côtés du peuple congolais, la MONUSCO se dit prête à collaborer avec toutes les parties concernées pour clarifier toute information dans un esprit de transparence et de vérité. Dans un contexte marqué par des tensions sécuritaires persistantes, elle réitère son appel à la prudence face à la désinformation et aux manipulations médiatiques.
Rédaction : [Votre Nom]