« Aujourd’hui à Uvira, la situation est calme parce que les habitants vaquent librement à leurs occupations, il y a la circulation, toutes les activités sont exercées », rassure Kelvin Bwisha, coordonnateur de la société civile (SOCICO).
D’après lui, les tensions de la veille seraient nées d’une incompréhension autour du contrôle de la frontière. La société civile affirme mener des démarches de médiation afin d’éviter une nouvelle escalade.Pour l’heure, aucune réaction officielle du gouverneur du Sud-Kivu n’a été enregistrée. La population, encore sous le choc, reste dans l’attente d’une prise de parole des autorités provinciales.