« On a envoyé des gens pour m’éliminer physiquement », a déclaré Olive Lembe Kabila, l’ex-première dame de la République Démocratique du Congo, après l’attaque par les forces du progrès « une milice » de l’UDPS, sur sa résidence de GLM ce mercredi 31 juillet. Pendant que les tirs retentissaient dans le quartier de Gombe, la tension était palpable.
Les forces du progrès ont tenté de forcer l’entrée de la résidence, d’après Adam Shemishi, conseiller en communication d’Olive Lembe Kabila.
Mais une ne source officielle a contesté cette version des faits, mettant en avant « un litige immobilier entre Juif et Kamul Inter ». Elle affirme que les tirs seraient liés à un différend judiciaire sur un immeuble, impliquant des autorités judiciaires et des forces de l’ordre.
Par contre, trois membres des forces du progrès ont été arrêtés par la garde de l’ancien président Joseph Kabila à la suite de l’incident.
À Kinshasa, les préoccupations concernant le climat politique et sécuritaire de persistent, particulièrement en raison des rivalités persistantes et des tensions liées aux questions immobilières et politiques.