Le Gouverneur de la province de Tshopo, au Nord-est de la Rdc, Jean Ilongo Tokole, est visiblement serein en dépit de toute l’agitation, orchestrée ce matin devant l’Assemblée provinciale de Tshopo, contre sa personne.
D’après son Directeur de cabinet Adjoint, joint par KINSHASATIMES.CD, le gouverneur ne se reproche de rien et il est
prêt à répondre à toutes les questions que l’on pourrait poser sur la gestion de la province.
« Je ne comprend rien sur toute l’agitation qu’il y a dans le chef de certains areurs politiques. Ce n’est pas en faisant du bruit dans la rue ou dans les médias que l’obtient le départ d’un gouverneur. Nous avons des lois dans ce pays, qu’il faut réellement respecter pour mener une démarche… », a indiqué Mr. EkyKoy, assurant que la situation est calme dans la ville et sur l’ensemble de la province et que la population vaque normalement à ses occupations.
C’est aujourd’hui que les députés provinciaux devraient examiner la motion de défiance déposée contre le gouverneur de la province de la Tshopo, Jean Ilongo Tokole. Ces derniers se sont présentés malheureusement avec des badauds, scandant des cris perturbant ainsi le calme, qui est roi dans l’hémicycle provincial, avant d’être
empêchés par les éléments de la Police.
« On ne peut pas vouloir une chose et son contraire à la fois. Nous voulons un Etat des droits, alors il faudra respecter les procédures qu’impose l’Etat des droits. On s’est amené avec des gens pour faire du désordre… et devant cela, la police est intervenu afin de ramener l’ordre et après les choses reviendront à la normale », a renchéri
notre source et que selon, le gouverneur Tokole est parmi les rares à avoir entrepris des travaux de voirie sur fond propre. Il est à noter aussi juste après la pleiniere avortee, tous les membres du bureau ont êtes invités à Kinshasa Sur 24 députés que comporte l’Assemblée provinciale de Tshopo, actuellement ne siège qu’à 15.
Certains sont décédés, d’autres nommés ministres provinciaux sans être remplacés et beaucoup d’autres encore sont malades.