Le ministre d’Etat en charge de la communication Jolino makelele vient d’annoncé ce 18 janvier 2020, la mise en œuvre d’une convention des États généraux de la presse en RDC, ceci pour assoir la question de la presse congolaise comme un véritable 4iem pouvoir.

C’est au cours d’une cérémonie dédiée à l’échange de vœux que cette déclaration a été faite.

Il informe que cette convention sera sous gouvernail du premier ministre Sylvestre Ilunkamba, et va dans le but d’accompagner et de matérialiser la vision du chef de l’Etat quant à la question de rendre la presse un réel quatrième pouvoir en RDC.

Dans ses mots, il ajoute que cette convention est une opportunité pour discuter autour des différents problématiques qui embarrassent la presse congolaise et d’en dégager les propositions et instruments remédiant à ce fléau.

« Dans le cadre d’accompagner la vision du chef de l’Etat, Autant des problématiques, des préoccupations, d’attentes qui méritent réflexion avec à la clé des propositions et des instruments nouveaux afin que la presse retrouve les moyens de vivre une nouvelle ère, je vais sous le patronage du première ministre, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, vous faire appel dans un bref délais à une assemblée générale pour une réflexion collective, nommé états généraux de la presse au cours duquel nous émettrons des questions embarrassantes qui rongent notre presse à table et avec votre coopération nous allons fixer une seule feuille de route et déciderons ensemble de l’avenir de la presse en RDC » à-t-il déclaré à la presse.

Pour réglementer le secteur d‘information et de la communication, Jolino makelele a évoqué que ces assises sont aussi une alternative qui permettra l’adaptation des lois régulants le nouveau contexte de la numérisation en vue de mettre fin à la propagation des fake news.

Il a en outre, manifester ses sentiments des joies à l’endroit des éléments démocratique, dont la liberté d’expression et de la presse, qui d’après deviennent plus palpables comparativement aux années antécédentes où plusieurs journalistes se faisaient arrêté pour des raisons qui ne valaient pas la peine lors de l’exercice de leur métier.

En conclusion, le ministre d’état en charge de la communication, a loué la bienveillance du chef de l’Etat quant à la matérialisation de son projet faisant de la presse une véritable 4iem pouvoir.

Richard Makobo musafiri