Plusieurs actions sont envisagées en République démocratique du Congo par des mouvements citoyens et quelques collectifs de la société civile congolaise.
À quelques heures de la marche nationale prévue ce lundi dans plusieurs provinces du pays, notamment dans la capitale Kinshasa, Bopomi Bolapa Mino, coordonnateur du mouvement citoyen, Filimbi Kinshasa, a annoncé que cet élan d’actions s’arrêtera que lorsque le gouvernement congolais mettra fin à toutes formes de coopération avec le Rwanda.
« Cet élan sera maintenant à travers une série des actions jusqu’à la rupture totale des relations diplomatiques avec le Rwanda ainsi que l’expulsion de son ambassadeur », a lâché le coordonnateur du mouvement citoyen Filimbi Kinshasa, lors d’une interview exclusive accordée à KT.cd
Selon lui, ces actions ont également pour objectif, un soutien moral à l’armée congolaise dans ce contexte qui avoisine la guerre entre les deux pays.
Bopomi Bolapa Mino, pense que ce soutien en l’endroit de l’armée congolaise crée une énergie nationale, laquelle aidera les FARDC à mieux faire face aux forces extérieures. Car a-t-il avancé, « Ils sont les premiers gardiens de l’héritage que nous avons en commun ».
Le mouvement citoyen Filimbi demande au gouvernement d’expulser l’ambassadeur Rwanda en RDC et de rompre complètement toute relation bilatérale avec le pays de Paul Kagame.
Aussi, il appelle l’exécutif national de mettre les moyens adéquats à la disposition des forces armées congolaises pour leur permettre de mieux faire face à ce qu’il qualifie « des envahisseurs ».
Un sit-in devant l’ambassade du Rwanda est prévu le mercredi 06 mai et une campagne de boycotte de toutes les activités et commerces liés à Rwanda.
Christophe Lutundula, Vice-Premier ministre en charge des Affaires étrangères appelle tous les congolais à la mobilisation, pour défendre leur pays face à l’invasion rwandaise actuelle dans sa partie orientale. Cela, malgré que la République démocratique du Congo (RDC) n’a pas l’intention de faire la guerre à quiconque.
« La RDC n’a pas aucune intention de faire la guerre à qui que ce soit. Le Congo n’a jamais fait la guerre à qui que ce soit », a-t-il déclaré dans les médias.
Cependant, il a expliqué que l’on doit ‘’se protéger et se défendre’’. « Nous sommes déterminés à défendre l’intégrité territoriale, la souveraineté et l’indépendance de notre pays », a-t-il rassuré, avant d’appeler à la mobilisation des tous les congolais.
Rappelons que, la RDC est attaquée depuis plusieurs jours dans sa partie orientale, dans le territoire de Rutshuru, en province du Nord-Kivu. Le M23 soutenu par le Rwanda, mène des opérations militaires depuis le début de la semaine dernière.
Deux rencontres de la 27e édition du championnat national de football de la Vodacom Ligue 1 sont au programme ce lundi 30 mai 2022 au Stade des martyrs de la Pentecôte à Kinshasa.
Cette 19e journée du championnat affiche le Football Club Renaissance et la Jeunesse Sportive de Kinshasa s’exhiberont dans un derby kinois à 15h30. Dès la reprise des activités après un moment d’interruption,les deux clubs vont se lancer dans la conquête des points.
Ce match sera officié par un quattor arbitral de la LIFKIN composé de Kabanga Malala comme l’arbitre central, et sera secondé par Makombo Neushiye (assistant 1) et Kapiamba Tshula (assistant 2). Leonard Makutima sera dans son rôle de commissaire au Match.
Bien avant cette explication , l’Association Sportive Kuya sport croisera le fer aux Salésiens du Cercle Sportive Don Bosco. Cette affiche compte pour la seizième journée de la Vodacom Ligue 1.
Selon le communiqué rendu public, samedi 28 mai, le ministère de l’Economie nationale a annoncé la signature des arrêtes ministériels portant fixation des prix des carburants terrestres et d’aviation dans toutes les zones d’approvisionnement dès ce lundi 30 mai .
Ce réajustement des prix fait suite à la persistance de choc exogènes liés à la hausse des prix des carburants sur le plan international.
Le secrétariat général du ministère de l’Economie Célestin Twite précise que, le gouvernement va continuer à subventionner le prix du carburant à la pompe afin de préserver le pouvoir d’achat de la population à l’exception du Jet A1 vendu aux compagnies d’aviation internationale.
Deux partis politiques en République démocratique du Congo (RDC) dont l’esprit n’a jamais été en alliance, à savoir l’ECIDE de l’opposant du régime Tshisekedi, Martin Fayulu Madidi ainsi que le FCC, plateforme de l’ancien chef de l’Etat Joseph Kabila, semblent pour une première s’accorder pour une cause commune.
En effet, les deux blocs ont signé respectivement la déclaration de l’annonce d’une marche patriotique organisée par le ministère des laïcs protestants (MILAPRO) pour réclamer la paix dans la partie Est de la RDC.
Cette marche de soutien est annoncée pour le 03 juin dans la Ville-Province de Kinshasa, une organisation qui est soutenue par plusieurs dignitaires du pays dont quelques partis politiques réputés.
Pour un alliée de Martin Fayulu, l’ancien Premier ministre congolais, Adolph Muzito, ce terrain d’accord entre les deux partis politiques ne serait-ce que pour cette marche patriotique ne peut pas exister.
Selon ce cadre de Lamuka et son entourage, le régime Kabila est à la base du développement des groupes armés dans cette partie du pays, d’autant plus que c’est sous son règne que plusieurs de ces groupes se sont vus naître et grandir dans cette partie du pays.
« Pas question de s’allier à Kabila tant que solennellement, lui et ses colistiers du Front Commun pour le Congo n’auront pas demandé pardon au peuple congolais pour toutes ces forfaitures, sans oublier des exactions, des mascarades électorales ainsi que tant d’autres actes répréhensibles posés pendant qu’il était aux affaires », a écrit le nouvel élan.
Au regard de la magie des alliances qui se font et se défont, les alliés d’Adoph Muzito disent ne pas compenser de se retrouver aux côtés de celui qui était considéré, pourtant, comme l’incarnation du mal qui aura favorisé le cafouillage et le tripatouillage des résultats des élections 2018.
« Marcher avec Kabila pour la paix à l’Est. Marcher pour obtenir de bonnes élections avec Kabila ou le FCC relève d’une démarche consistant à recourir au service du bourreau d’hier, pour planter un nouveau décor de la prochaine fraude électorale de demain », a poursuivi le parti politique d’Adolph Muzito.
A l’aube des élections 2023 en République démocratique du Congo(RDC), le Gouverneur de la Ville-Province de Kinshasa, Gentiny Ngobila Mbaka, a lancé un appel général de soutien à l’actuel Président du pays Félix Tshisekedi, pour un second mandat quinquennale à la tête du pays.
Le Gouverneur de la capitale congolaise l’a dit samedi 28 mai, lors de la sortie officielle de son parti politique, Alliance des Congolais Progressistes (ACP), au stade des Martyrs de la Pentecôte.
Devant ses cadres militants et autres sympathisants, l’autorité morale de l’ACP a loué les différentes réalisations du Président de la République, lesquelles ont permis au monde entier selon lui, d’avoir un regard positif sur la RDC comparativement au régime passé.
« Il vous souviendra en effet, que lors de la création de l’Union sacrée de la nation, j’avais pris la ferme résolution de soutenir les actions du président de la République, Son excellence Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo au vu des réalisations et des espoirs de tout un peuple, qu’il a eu à incarner dès le début de l’alternance au sommet de l’État », a déclaré Gentiny Ngobila Mbaka.
À la même occasion, un mémorandum de soutien à la candidature de Félix Tshisekedi à la présidentielle de 2023 a été publiquement lu.
Généralement, cette nouvelle formation politique s’est engagée à ne ménager aucun effort pour contribuer à la réélection de Félix Tshisekedi, tout en lui offrant une majorité écrasante au Parlement (Assemblée Nationale et Sénat).
Pour sa part, le secrétaire général de l’ACP, Charles Mbutamuntu, a, enfin, indiqué à l’assistance que le parti compte à ce jour plus de 2 millions de membres à Kinshasa, et plus de 4 millions sur l’ensemble du territoire national.
Fini les vacances. Le championnat national (vodacom ligue 1) a bel et bien repris son cours normal. Le face à face ce dimanche au stade des Martyrs de la Pentecôte entre le Daring club Motema Pembe et SM Sanga Balende.
Orpheline de son président, la formation du DCMP a abordé sa rencontre comme si de rien était. Face à une équipe de Sanga Balende bien en place, les immaculés ont sorti un grand jeu pour battre sur le score de 3-1.
Dès le premier quart d’heure, Christian Nsundi ouvre le score à la huitième minute et place le DCMP en tête de ce match. En seconde période Jimmy Bayindula récidive à la 49e et Junior Kone va lui aussi imiter son coéquipier à la 55e minute, (3-0). Le but à la 76e minute par Butoto Kamana ne changera rien. Score final (3-1).
La République démocratique du Congo (RDC) a accusé le Rwanda de soutenir la rébellion du M23, qui a attaqué en début de semaine dernière les positions de son armée, les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), dans le territoire de Rutshuru.
Le gouvernement congolais dont l’armée a réussi à mettre la main sur deux éléments des RDF (les forces rwandaises) a également affirmé avoir d’autres preuves de la présence rwandaise aux côtés du M23 sur sol. Ce qui a crispé les relations entre les deux Etats.
De son côté, l’opposition, avec à sa tête le Front commun pour le Congo (FCC) dénonce et accuse le régime Tshisekedi d’être en complicité avec ces ennemis de la nation, par la signature de plusieurs accords secrets avec eux.
Dans une déclaration sur les antennes de la radio française RFI, Marie-Ange Mushobekwa, Députée nationale et membre de la famille politique de Joseph Kabila s’est exprimée en ces termes: “le FCC dénonce la gouvernance chaotique, irresponsable et sans vision du président Tshisekedi et de son gouvernement. Gouvernance dont cette guerre est la triste conséquence”.
Et comme pour mettre en mal le régime Tshisekedi, le camp Kabila exige du régime des explications sur des accords secrets avec le Rwanda, l’Ouganda et le Kenya. « Le FCC exige du président Félix Tshisekedi et de son gouvernement des explications claires sur les accords militaires et économiques signés avec le Rwanda, l’Ouganda et le Kenya. Les actes du gouvernement frisent la complicité avec les ennemis de notre nation et les acteurs de la balkanisation de la République démocratique du Congo », a-t-elle insisté.
Réagissant aux accusations selon lesquelles Kabila, à l’époque était accusé de connivence avec le Rwanda, Mushobekwa a affirmé que l’ancien président Joseph Kabila n’avait pas conclu d’accords secrets avec ces pays.
« À aucun moment l’ancien président Joseph Kabila n’a conclu des accords secrets avec ces pays. Mais aujourd’hui le peuple congolais voit ce qui se passe. Il y a eu des accords non seulement économiques, mais aussi sécuritaires qu’on refuse de publier”, a-t-elle enfoncé.
Une vingtaine de civils ont été tués dans une attaque attribuée aux rebelles ADF au village de Beu-manyama en secteur de Beni-Mbau dans le territoire de Beni le matin du samedi 28 mai 2022.
A en croire le président de la société civile du secteur de Beni-Mbau qui nous livre cette information, les assaillants ont fait incursion dans la zone tôt le matin pendant que la plupart de gens étaient encore sous sommeil.
« L’ennemi a fait incursion tôt le matin dans la zone au moment où la population était encore sous sommeil. Le bilan est vraiment lourd », renseigne Georges Kivaya président de la société civile du secteur de Beni-Mbau.
La même source indique qu’au stade actuel 21 corps dont des agriculteurs sont déjà retrouvés, ce, avant de rassurer que la fouille continue. La même source a tout de même précisé que plusieurs personnes sont portées disparues.
Le secteur opérationnel Sokola 1 Gand-Nord qui confirme également cette information par l’entremise de son porte-parole, le capitaine Antony Mualushayi, a dit quant à lui que l’ennemi a opéré loin de la position des forces loyalistes de peur qu’il subisse la frappe des FARDC.
» l’intervention militaire est arrivée sur le lieu du drame pendant que l’ennemi avait déjà réussi à tuer les civils, le lieu du drame était tellement distant de notre position, nous avons été alerté par des coups de feu aux alentours de 4h. Nous sommes arrivés pendant que l’ennemi s’était déjà volatilisé dans la nature » a-t-il indiqué.
Il sied de rappeler que, cette attaque intervient après une accalmie apparente observée dans cette zone il y a quelques mois.
Le sommet extraordinaire humanitaire de Malabo, en Guinée Équatoriale a vu tiré ses rideaux le 27 mai dernier. Nombreux Etats membres de l’Union africaine (UA), part leurs chefs d’Etat et de gouvernement ont pris part à cette rencontre qui leur a permis de réfléchir sur la gestion des questions humanitaires, en ce moment où le continent fait face aux flux migratoires, aux défis qu’imposent les réfugiés et autres personnes déplacées internes. Membre de l’UA, la République démocratique du Congo (RDC) n’a pas manqué de répondre à ce rendez-vous de Malabo.
À l’instar des pays frères, le Congo démocratique a souscrit et réaffirmé sa volonté d’apporter sa contribution à hauteur d’un million de dollars américains au nouvel élan de compassion, en faveur des nombreuses populations africaines, a annoncé Christophe Lutundula, le Vice-Premier ministre, ministre congolais des Affaires étrangères. Il a représenté le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi à ce sommet.
Ayant participé à ce sommet, Daniel Aselo Okito Wa Koy, Vice-Premier ministre de l’Intérieur, décentralisation et affaires coutumières a saisi l’opportunité pour saluer la prise de conscience par les pays africains, qui ont décidé de mettre en place le fonds en faveur de plusieurs populations en situation humanitaire.
« Qu’il s’agisse du mot de son excellence Monsieur le président de la République démocratique du Congo ou toutes les allocutions qui ont été prononcées à cette occasion, ce qu’il faut noter c’est la conscience que l’Afrique se fait aujourd’hui, de pouvoir se dire que nombreuses de ses populations connaissent des situations humanitaires difficiles. Et qu’il faut que ces populations soient assistées. Voilà pourquoi l’on a assisté à manifestation d’un élan de compassion, de responsabilité, où la plupart des pays qui ont pris part à ces travaux ont déclaré leurs contributions pour que l’Union africaine prenne en charge la plupart des populations qui sont en difficulté au plan humanitaire à travers ce continent », a-t-il déclaré.
Au-delà des Etats membres de l’UA, des organismes internationaux, des structures privées, des Etats étrangers ont également promis leurs contributions à cette hardie tâche, a renchéri Daniel Aselo.
Sous un autre volet, il a rappelé que si depuis quelques jours l’on a parlé de plus de 5 millions des déplacés internes en RDC, mais avec ce qui se passe actuellement à l’Est du pays, il faut s’attendre que l’on en arrive à plus de 6 millions des déplacés internes. Et que le déferlement de la population se fait non seulement à l’intérieur du pays, mais aussi vers l’extérieur du pays.
Enfin, le patron de la sécurité congolaise a affirmé que la question humanitaire a été abordée avec profondeur par la RDC.
Un trafiquant d’espèces sauvages protégées, identifié sous le nom de Babou Djaffar, a été intercepté le mercredi 25 mai, par les éléments de la Police nationale congolaise (PNC) à Goma dans la province du Nord-Kivu.
Cette arrestation est le résultat d’une étroite collaboration entre des organismes de protection des animaux sauvages dont l’Institut congolais de conservation de la nature (ICCN) et l’ONG Conserv du Congo ainsi que de la Police nationale congolaise (PNC).
Lors de la perquisition effectuée au domicile du suspect à Goma, les agents de la police ont découvert, 50 espèces d’animaux totalement protégées par la législation congolaise.
Il s’agit de 20 singes (Colobus guereza) et de 30 oiseaux dont 15 Grues couronnées et 15 Marabouts d’Afrique. Ces animaux ont été remis à la disposition des vétérinaires du Centre de réhabilitation des primates de Lwiro (CRPL) pour assurer leur bien-être.
Babou Djaffar n’est pas inconnu des fichiers de la police. Ce malfrat faunique est impliqué dans plusieurs dossiers de contrebande lié aux espèces sauvages sur le sol ougandais et congolais, a-t-on appris.
Le conseil de l’apostolat de laïcs du Congo (CALCC) et ministère des laïcs protestants (MILAPRO) annoncent conjointement une grande marche pacifique sur toute l’étendue nationale en date du 03 juin prochain, ce, pour dénoncer l’agression « flagrante » du Rwanda sur le sol congolais.
Dans un document consulté par votre média, les Forces Politiques et Sociales exigent 5 choses à savoir: que l’ambassadeur de notre pays au Rwanda soit rappelé, l’expulsion sans condition de l’ambassadeur rwandais en RDC.
Bien plus, la cessation immédiate de tous les accords de coopération signés entre la RDC et le Rwanda, la suspension de toutes formes des négociations entamées à Nairobi avec les groupes armés, la levée de la mesure exceptionnelle de l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri.
De ce fait, les Forces Politiques et Sociales de la nation invitent la population congolaise à se mobiliser massivement sur toute l’étendue du pays pour participer à cette marche pacifique « expression de notre détermination à défendre l’intégrité de notre territoire nationale».
Depuis vendredi 23 mai dernier, les relations diplomatiques qu’entretiennent le deux pays frontaliers à l’occurrence de la RDC et du Rwanda ne font que se dégrader, l’armée congolaise a au cours des opérations des traques aux forces négatives capturés 2 militaires visiblement affiliés au RDF.
Bien avant, ils ont saisi des missiles antitank ainsi qu’un uniforme avec insigne de l’armée rwandaise.
Depuis lors, une guerre médiatique s’observe sur la toile, d’une part, kinshasa accuse Kigali de s’allier au groupe rebelle du M-23 en le soutenant logistiquement et matériellement, d’une autre part, Kigali monte au créneau et accuse l’armée congolaise d’être de mèche avec les FDLR, qui sont un groupe rebelle composé de figures restant du génocide de 1994 contre les Tutsis, ces derniers comploteraient contre la sûreté de la nation rwandaise.
C’est l’un des points essentiels de l’intervention du Vice-Premier ministre, ministre congolais des Affaires étrangères, Christophe Lutundula Apala, lors du sommet humanitaire du 27 mai dernier, à Malabo, en Guinée Équatoriale, où il a été représenté le chef de l’Etat congolais, Félix-Antoine Tshisekedi.
Lors de sa prise de parole du haut de la tribune de la salle des conférences Sipopo, située à une dizaine de kilomètres de Malabo, le chef de la diplomatie congolaise a réaffirmé la volonté de la République démocratique du Congo (RDC), a apporté sa contribution à la gestion des défis humanitaires au niveau continental.
“Si nous voulons réellement gérer l’humanitaire, dans une approche préventive et durable, il est impérieux que tous les Etats membres respectent les instruments internationaux relatifs aux réfugiés et aux personnes déplacées, plus particulièrement la Convention de Genève de 1948 sur les réfugiés, la Convention de l’OUA de 1969 sur les réfugiés, la Convention de Kampala de 2009 sur les déplacées et tout autre instrument juridique pertinent au niveau de des sous-regions”, a-t-il soutenu.
Dans le même ordre, il a indiqué que “les ressources et les capacités des institutions régionales et sous-régionales, chargées de la prévention et de la gestion des crises humanitaires en Afrique doivent être augmentées et renforcées”, a-t-il insisté.
Rappelons que Christophe Lutundula a représenté le président Tshisekedi au sommet extraordinaire humanitaire, qui a réunit plusieurs Chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’UA.
Une plénière est convoquée ce samedi 28 mai, à l’Assemblée nationale, selon le communiqué du rapporteur de cette institution, consulté par votre média.
Ce dernier a invité les congressistes à prendre part ce samedi 28 mai, à cette plénière consacrée à la désignation du juge constitutionnel. Il s’agit de la suite de celle de vendredi 27 mai dernier, clôturée de manière cavalière et unilatérale par le président du Sénat, Modeste Bahati Lukwebo, affirment des sources dans les travées de l’hémicycle.
En réponse à la convocation de la plénière de ce jour, Modeste Bahati a invité les sénateurs à ne pas prendre part à cette plénière. Ce qui, aux yeux de plusieurs commentateurs, ouvre la guerre Mboso-Bahati pour la conquête de la place d’un juge à la Haute Cour.
Les deux chefs de corps du Parlement congolais ont présenté chacun un candidat. L. Mbunga, président fédéral de l’AFDC, parti de Bahati dans la Mongala est le candidat à cette poste. Face à lui, Mboso a aligné l’un de ses proches. C’est Dieudonné Manza. Ce dernier est aussi soutenu par la Présidence congolaise pour laquelle il est proche, indiquent certains parlementaires. D’où la question de savoir : qui, de ces deux présidents des chambres du Parlement congolais va l’emporter sur l’autre, dans cette guerre ouverte?
Deux soldats rwandais ont été capturés ce samedi 28 mai à Biruma, territoire de Rutshuru, en province du Nord-Kivu, où il y a affrontements depuis quelques jours entre Forces armées de la République démocratique du Congo (Fardc) et les terroristes du M23.
Réagissant, Les RDF (Rwanda defense force) a affirmé reconnaître ses deux soldats. Exigeant la libération de ceux-ci, elle s’oppose à l’affirmation selon laquelle, ces deux militaires combattaient aux côtés du Mouvement du 23 mars (M23).
Les deux soldats rwandais, rappelle-t-on, ont été happés par les FARDC, lors d’une patrouille à la lisière de la frontière congolo-rwandaise. Les forces rwandaises accusent même l’armée loyaliste congolaise d’agression provocatrice.
» Suite à l’agression provocatrice des Fardc le 23 mai 2022, où plusieurs roquettes ont été tirées sur le territoire rwandais, les FARDC et les FDLR ont attaqué les RDF le long de notre frontière, et deux soldats des Forces rwandaises et de défense ont été enlevés alors qu’ils patrouillaient », affirme l’armée rwandaise dans un communiqué parvenu à la rédaction de votre média.
Et de poursuivre : » nous avons depuis, localisé ces deux militaires: le Cpl Nkundabagenzi Elysée et le Sdt Ntwari Gad, détenus par les FDLR dans l’Est de la RDC. Nous appelons les autorités de la République démocratique du Congo qui travaillent en étroite collaboration avec ces groupes armés génocidaires à obtenir la libération des soldats des RDF ».
Signalons que la RDC a reconnu la présence des forces armées rwandaises aux côtés du M23, qui combattent contre les _ FARDC. Ce samedi 28 mai, le Conseil supérieur de la défense a exclut le M23 du processus de Nairobi et le considère désormais comme un mouvement terroriste au même titre que les ADF. Il a par la même occasion, mis en garde le Rwanda, en suspendant directement les vols rwandais en destination du Congo.
Le Vice-Premier ministre congolais de l’Intérieur, décentralisation et affaires coutumières, Daniel Aselo Okito Wa Koy l’a signifié aux ministres africains en charge des migrations, déplacés internes, réunis dans la capitale guinéenne en début de semaine finissante dans le cadre de la quatrième réunion Comité technique spécialisé (CTS).
En marge de cette rencontre, Aselo Okito a reçu vendredi 27 mai à Malabo, Raouf Mazou, le Haut Commissaire assistant, en charge des opérations du Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR).
C’est dans ce cadre qu’il a reçu en audience le vendredi 27 mai, Raouf Mazou, Haut Commissaire assistant, en charge des opérations du Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR). Une occasion pour les deux personnalités d’échanger entre sur la situation des réfugiés et déplacés internes en République démocratique du Congo (RDC), ainsi que le retour dans leurs pays, des ressortissants étrangers sur le territoire congolais; aussi, le retour en RDC, des congolais qui traînent à l’extérieur de leur patrie.
Étant un pays qui accueille jusqu’ici des ressortissants étrangers sur son sol, le VPM de l’Intérieur a réaffirmé le souhait de son pays de tous les étrangers sur sol à regagner leurs pays respectifs. S’agissant du Rwanda, Aselo Okito Wa Koy a alerté la communauté africaine réunie pour cette circonstance, pour que ce pays voisin et frère puisse ouvrir ses portes à ses propres citoyens se trouvant sur le sol congolais depuis 1994. Pour ce faire, il a fait part au HCR, du nombre combien important des réfugiés et déplacés internes dans son pays.
“Je crois que ce souhait de la République démocratique du Congo pour la question des réfugiés en Afrique et plus particulièrement ceux qui sont sur son territoire ne date pas d’aujourd’hui. Parce que partout où la République démocratique du Congo se présente en Afrique et à travers le monde, elle émet le souhait de voir d’abord ses propres citoyens retourner sur son sol. Nous disons que nous avons un grand espace territorial. Une terre très fertile, une communauté très hospitalière et nous ne voyons pas pourquoi ces ressortissants peuvent traîner à l’extérieur de notre pays. C’est comme ça que nous disons: toutes nos frontières sont ouvertes pour que nos propres citoyens reviennent au pays”, a-t-il déclaré.
Et de poursuivre: “Par contre, nous avons toujours sollicité, nous avons toujours demandé à la communauté internationale de tout faire pour que la volonté politique soit exprimée dans le chef des responsables des pays voisins pour que ces pays, puissent à leur tour recevoir sans pression leurs ressortissants se trouvant ici. Nous avons toujours souligné la situation des réfugiés rwandais qui se retrouvent sur notre territoire depuis 1994”, a-t-il expliqué.
Aussi, il s’est montré indigné de voir le Rwanda, vouloir imposer à la RDC ses propres ressortissants. « La République démocratique du Congo a l’impression que ce pays frère veut nous imposer ses propres ressortissants”.
Et de dénoncer: “ depuis hier ici à Malabo, nous avons rappelé à la communauté africaine réunie en cette circonstance, qu’il faut que le Rwanda ouvre ses portes, ses frontières pour le retour de ses propres citoyens se trouvant sur notre territoire ».
Et d’indexer l’entrée sur le territoire congolais des forces armées du ce pays. « Voilà que depuis hier jusqu’à ce matin, et on n’a pas à le cacher, je n’ai nullement l’intention de faire du HCR un organe politique, mais je dis que depuis hier, et surtout depuis ce matin, il y a les forces rwandaises qui sont rentrées sur notre territoire. On n’a plus à le cacher, il s’agit des rwandais que je fais voir au HCR que, si hier nous parlions de plus de 5 millions de déplacés internes, avec l’entrée des forces armées du Rwanda sur notre sol, que le HCR s’attende à une évaluation qui pourra peut-être aller au-delà de 6 millions de personnes qui se déplacent en interne. Et cette situation n’est pas bonne pour nous. La République démocratique du Congo en a souffert et décide de hausser la voix, en même temps qu’elle doit prendre des précautions en elle-même pour voir comment régler cette question », a-t-il soutenu.
Raouf Mazout lui, s’est dit content d’être reçu par Daniel Aselo, par qui son institution a remercié la RDC, pour la protection et l’accueil qu’elle offre aux réfugiés.
« J’étais très heureux d’être reçu par son excellence Monsieur le Vice-Premier ministre et nous avons discuté de la question des réfugiés. Comme vous le savez, la République démocratique du Congo est l’un des pays qui reçoit un grand nombre des réfugiés dans la région. Nous avons déjà remercié son excellence Monsieur le Vice-Premier ministre pour ce que la République démocratique du Congo fait pour fournir l’assistance et la protection à ces réfugiés. Nous avons aussi parlé de la question des solutions durables des réfugiés. L’une des solutions c’est le retour », s’est-il exprimé.
Sur le volet retour des réfugiés il a indiqué: « nous avons parlé du retour des réfugiés burundais qui se déroulent, nous avons parlé du retour des réfugiés centrafricains qui se déroule. Nous avons aussi parlé des réfugiés rwandais qui sont dans le pays depuis de nombreuses années, il y a près de 30 ans et des solutions qui doivent être trouvées par rapport à eux et en particulier ceux qui souhaitent retourner dans leur pays ».
Concernant les déplacés internes, il a souligné: « nous avons aussi parlé de la question des personnes déplacées des conflits que nous voyons dans le pays, malheureusement ont pour effet un grand nombre de personnes déplacées internes actuellement en RDC, il faut faire en sorte que l’assistance de la communauté internationale continue d’être fournie pour qu’ils puissent recevoir l’assistance humanitaire nécessaire.
Autre point c’est celui de la législation sur les personnes déplacées, que la République démocratique du Congo a adopté. Le souhait du HCR c’est que “ la RDC ratifie la Convention de Kampala qui est relative aux personnes déplacées”.
Enfin, la question des réfugiés congolais qui sont dans les différents pays de la région n’a pas été oubliée. « Et son excellence Monsieur le Vice-Premier ministre a rappelé que la volonté du pays de faire en sorte que ces réfugiés puissent rentrer le plus tôt possible dans le pays », a-t-il expliqué.
Rappelons qu’après la quatrième réunion du CTS, Daniel Aselo poursuit son séjour en Guinée Équatoriale où se tiennent les 27 et 28 mai, deux grands sommets des chefs d’Etat et gouvernement de l’UA.
Il s’agit du Rwanda qui appuie les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) auteur des tueries à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) principalement au Nord-Kivu et Ituri.
La confirmation a été faite par le ministre congolais de la communication et médias, et porte-parole du Gouvernement Patrick Muyaya.
Ce faisant, un certain nombre de mesures ont été annoncées , notamment, la suspension immédiate des vols de la compagnie d’aviation Rwandair à destination de la RDC.
Aussi, désormais le M23 est considéré comme mouvement terroriste, il sera donc traité comme tel. «Et de ce fait, il est exclu du processus de discussion de Nairobi», a indiqué Patrick Muyaya.
Outre la mise en garde sévère faite au Gouvernement Rwandais, l’ambassadeur du Rwanda accrédité en RDC a été convoqué.
Mobilisés avec joie et enthousiasme, les fidèles Kimbaguistes de Kinshasa ont accueilli avec faste leur chef Spirituel et Représentant légal, Simon Kimbangu Kiangani.
Tard dans la soirée du jeudi 27 mai dernier, le chef Spirituel de l’Eglise de Jésus-Christ sur la terre par son envoyé spécial Papa Simon Kimbangu (EJCSK), est arrivé au Centre d’accueil de cette église situé dans la commune de Kasa-vubu.
Simon Kimbangu n’est pas resté indifférent face à cet accueil, il a remercié tous les fidèles impliqués, lors d’un culte organisé ce vendredi au temple de Kinshasa. Il les a, par la suite, invités à l’unité, aussi à la persévérance dans la construction de la ville sainte de Nkamba.
Par cette même occasion, il a rappelé que le mois de mai est sacré, au cours duquel les Kimbaguistes se souviennent de la naissance du Christ.
Pour le Représentant légal de EJCSK, les enseignements de papa Dialungana Kiangani Salomon dit « Christ incarné », sur l’amour du prochain et la construction de Nkamba « Nouvelle Jérusalem », doivent être conservés par tous.
» Le diable a commencé ses tentations depuis la création du monde, nous devons juste lutter dans la prière afin de ne point tomber dans ses pièges. Débarrassons-nous de la haine, la division, dans la prière et l’amoureux, nous allons vaincre le diable », a-t-il martelé.
Dans la série des déclarations enregistrées suite à la situation sécuritaire actuelle dans l’Est de la République démocratique du Congo, l’on note celle de la Belgique, qui a réaffirmé son attachement à l’intégrité territoriale de son ancienne colonie.
Dans un communiqué de presse, le Royaume de Belgique condamne les récentes violences liées aux attaques du groupe M23 contre les forces armées congolaises et contre les troupes de la MONUSCO.
Il affirme son implication, en vue de trouver des solutions politiques face à l’insécurité dans l’Est de la RDC.
La Belgique a, par ailleurs, promis de continuer d’appuyer les FARDC et la MONUSCO, y compris par la formation de bataillons de force rapide.
« La Belgique appelle toutes les parties impliquées à un arrêt immédiat des combats d’une désescalade urgente. Elle appuie les déclarations de l’ONU, appelle à utiliser les mécanismes existants de résolution des différends et de vérification conjointe des incidents et soutient le processus de Nairobi. Elle condamne également toute incitation à la haine visant certaines communautés », lit-on dans ce communiqué.
La Belgique a mis également un accent fort sur la protection des civils dans ces conflits armées conformément au droit de l’homme.
En soutenant que les conflits constituent également une menace pour le parc des Virunga, elle a profité pour saluer la détermination des écogardes et des officiels de l’ICCN qui œuvrent à la protection du parc des Virunga.
Moïse Katumbi, président du parti politique Ensemble pour la République et membre de l’Union sacrée de la nation, exprime sa compassion aux victimes de l’insécurité à l’Est de la RDC.
Via son compte Twitter, cet acteur politique et ancien Gouverneur de l’ex Katanga a soutenu que jamais la guerre n’apporte de solution.
« Jamais la guerre n’apporte de solution. Face à la nouvelle épreuve que nous traversons, soyons tous unis « , a écrit Moise Katumbi.
Ainsi, il a exprimé tout son soutien aux Forces Armées de la République démocratique du Congo (FARDC) qui sont engagés au front en vue de rétablir la paix dans cette partie du pays.
« Tout mon soutien va aux FARDC qui se battent avec courage face aux M23 ! Le sort des milliers de nos compatriotes en détresse doit être notre toute première préoccupation », a-t-il conclu.
Depuis mercredi dernier, plusieurs villages au Nord-Kivu ont été attaqués par les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23), qui selon plusieurs sources, sont appuyés par le Rwanda de Paul Kagame.
Le député national Patrick Munyomo a été reçu jeudi 26 mai dernier par le Premier ministre Sama Lukonde avec qui, ils ont évoqué la situation sécuritaire à l’Est de la République démocratique du Congo (RDC) caractérisée par les tueries des civils..
A l’occasion, cet élu de Goma lui a présenté trois dossiers majeurs, notamment celui des territoires de Nyiragongo et Rutshuru où les rebelles du Mouvement du 23 mars sèment la terreur au sein de la population.
Ce faisant, il a appelé à l’intervention du gouvernement congolais pour trouver urgemment la solution à cette situation ignoble.
Très ouvert, le chef du Gouvernement Sama Lukonde a exprimé sa détermination à rétablir l’autorité de l’État sur l’ensemble du territoire national.
Un satisfecit pour ce député national qui a promis pouvoir faire le suivi permanent pour la matérialisation de cet engagement du gouvernement.
L’occasion faisant le larron, Patrick Munyomo a fait savoir au chet de l’exécutif national l’inopportunité de créer la nouvelle compagnie aérienne en RDC dont Air Congo.
D’après lui, le Gouvernement devrait plus renforcer la seule compagnie, Congo Airways pour bien servir la population congolaise.
La République démocratique du Congo (RDC) ne participera pas au championnat d’Afrique de Judo qui se tient en Algérie depuis le mercredi 23 mai dernier.
La représente de la RDC, la judokate Marie Branser ne prendra pas part pour n’avoir pas obtenu son inscription, a indiqué l’entraîneur de cette athlète congolaise à la radio Top Congo.
Par ailleurs, il a reconnu l’implication du ministre des Sports et loisirs Serge Nkonde ainsi que d’autres membres pour l’obtention de leurs visas.
« Mais malgré nous efforts, ni moi, ni l’athlète, nous n’avons pas pû obtenir l’inscription car seul l’actuel président ad intérim de la fédération nationale congolaise du judo Bobo Mbongo et le secrétaire général Pierre Mangili connaissent le code de base pour s’inscrire », a-t-il fait savoir.
Fifi Masuka, Gouverneure intérimaire de la province du Lualaba vient de mettre en place ce jeudi 25 mai 2022 un nouveau gouvernement.
Compose de 10 ministres, parmis les heureux nommés de cette nouvelle équipe gouvernementale, on note Kapenda Wa Kapenda Déodat ministre provincial provincial de l’intérieur et de sécurité ; Kazembe Swana Ilunga Mathieu comme ministre du budget et plan; le ministère de finance revient à Muteteke Luwale Achille.
Le ministère des infrastructures sera à la charge de Mashata Kayembe Célestin ; Kabambi Muzakam Espérant prend la commande du ministère de santé ; à l’environnement Mufundji Tshinat Karl Clément ; quant au ministère de l’éducation c’est Kantenga Kapenda Alain. Kawela Musevu Vould est de l’agriculture tant disque l’énergie, hydrocarbures, transport est de Ndayi Kaembe Pichou.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et Universitaire ( ESU) Mohindo Nzangi , a reçu mercredi 25 mai la coordination estudiantine de l’université de Kinshasa (UNIKIN) après les manifestations enregistrées au début de la semaine.
Les échanges entre les deux parties ont tourné autour de la situation actuelle au sein de cet établissement public.
”Nous sommes venus présenter nos désidérâtas au ministre concernant la situation actuelle de notre Alma mater( hausse des frais, relogement dans les homes…)», a indiqué l’un des membres de cette coordination estudiantine.
Ainsi, le ministre de l’ESU a appelé les étudiants au calme et a promis le relogement imminent et progressif des étudiants dans les homes.