Le Vice-Premier ministre, ministre des Affaires étrangères et coopération internationale, Christophe Lutundula Apala et le ministre en charge de l’Industrie, Julien Paluku Kahongya, séjournent depuis dimanche soir à Dakar, capitale du Sénégal, pour participer, au Forum sur la coopération sino-africaine, qui s’ouvre lundi 29 novembre.

À ces assises, la délégation congolaise va présenter les potentialités du pays, qui ont pour objectif, de rehausser le niveau de coopération entre la Chine et le continent africain dans plusieurs domaines
notamment, la paix et la sécurité, l’agriculture, le commerce, l’investissement, l’industrie, les infrastructures, la sécurité alimentaire, l’économie numérique, l’économie bleue sans oublier le changement climatique.

La République démocratique du Congo (RDC) est portée à la tête du groupe géopolitique d’Afrique lors de la 143ème Assemblée de l’Union Interparlementaire (UIP), qui se tient du 26 au 30 novembre à Madrid.

«La RDC à l’Assemblée de l’Union interparlementaire, vient d’arracher le poste de la présidence du groupe géopolitique d’Afrique», annonce la sénatrice Francine Muyumba, membre de la délégation de la RDC à Madrid, en Espagne.

A l’en croire, ce poste sera assuré par le premier Vice-président du Sénat, Eddy Mundela. Ce rassemblement annuel réunit plus de 200 députés issus de 60 pays différents dont la RDC.

Durant ces assises, indique le site officiel de l’UIP, les organes statutaires de cette organisation, notamment, le Conseil directeur, les Commissions permanentes, le comité des droits de l’homme des parlementaires et le comité sur les questions relatives au Moyen-Orient, ainsi que le forum des femmes parlementaires et le forum des jeunes parlementaires, se réuniront pendant cette Assemblée, afin de galvaniser l’action parlementaire pour faire respecter et promouvoir la démocratie dans le monde.

L’ancien chef du gouvernement et leader du Nouvel Elan, Adolph Muzito renouvelle le débat sur un consensus des forces sociales et politiques pour tabler sur la révision de la loi relative à la dépolitisation de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

Dans sa déclaration dimanche 28 novembre 2021, Adolph Muzito a demandé aux différentes forces sociales et politiques à corréler mutuellement les efforts pour atteindre l’objectif de cette dépolitisation.

Il a encouragé les leaders sociales et politiques du pays à multiplier les actions de rues et à
intensifier les pressions
diplomatiques en vue de
contraindre le Régime à choisir
entre le consensus sur les
réformes électorales à réaliser
et l’insurrection pacifique du
peuple.

Dans cette perceptive, le parti de ce leader politique, Nouvel Elan, relève dans la même déclaration que l’actuel régime compte délibérément mener une dichotomie conflictuelle entre les églises, opposant notamment la CENCO –
l’ECC, relatifs aux
revendications sur une CENI non politisée.

Pour le Nouvel Elan, un consensus permettra de mettre fin à l’illégitimité des
institutions du pays,
perpétuée par le chaos
électoral de décembre 2018.

Elle note au final que la lutte du peuple pour sa
souveraineté ne prendra fin
que quand celui-ci aura à la
tête du pays, des dirigeants
choisis par le peuple d’une manière
transparente, libre et
démocratique, dans la paix et
la cohésion nationale.

La motion de censure contre le Gouvernement provincial du Sud-Kivu sera examiné le jeudi 2 décembre prochain à l’Assemblée provinciale.

C’est ce qu’indique un communiqué publié ce lundi 29 novembre 2021 par le bureau du rapporteur de cet organe délibérant du Sud-Kivu, Jacques Kamanda.

Dans ce communiqué, ce dernier signale que l’essentiel de la séance de ce jour là portera sur l’examen et le vote de la motion de censure contre le Gouvernement provincial.

Dans le même document, Jacques Kamanda invite ses collègues députés provinciaux à se présenter dans la salle des plénières à partir de 10 heures locales.

Il sied de rappeler qu’ une motion de censure contre le Gouvernement provincial du Sud-Kivu a été déposée la semaine dernière.

Signée par 12 députés provinciaux sur les 48 que compte cet organe délibérant, ces élus reprochent au gouvernement provincial dirigé par le Gouverneur Théo Ngwabidje, l’opacité dans la gestion administrative et financière de la province et l’outrage en vers l’Assemblée provinciale.

Des évêques catholiques membres du Comité permanent de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) ont renvoyé, vendredi 26 novembre à la cité de Union africaine, le président congolais Felix Tshisekedi chez qui ils ont remis un mémorandum.

Avec a sa tête Monseigneur Marcel Utembi, la délégation des prélats catholiques était constituée également du cardinal Ambongo Fridolin, archevêque métropolitain de Kinshasa. L’on a noté aussi la présence du Nonce apostolique, l’ambassadeur du souverain pontife en République démocratique du Congo (RDC).

Plusieurs points ont fait objet des discussions avec le chef de l’Etat congolais. Notamment, le processus électoral, l’état de siège, l’éducation nationale avec en toile de fond, la question de la gratuité de l’enseignement.

S’agissant de la question électorale, le président de la CENCO a indiqué qu’il y a déjà un travail qui a été fait, et qu’à l’heure actuelle, il est important d’avancer, d’aller de l’avant.  » Il y a un temps pour se quereller, un temps pour arranger et aller de avant », a déclaré à la presse présidentielle Mgr Marcel Utembi.

S’agissant de l’etat de siège, les princes de l’Église ont conseillé sa requalification. De même pour ce qui est de l’éducation nationale, où il a été convenu de travailler pour une gratuité de l’enseignement responsable, a-t-on encore affirmé.

En rappel, l’on retiendra que bien avant cette rencontre, des animateurs des principales institutions du pays ont tour à tour rencontré les dirigeants de l’Église catholique et protestante, notamment le cardinal Ambongo et le pasteur André Bokundoa de l’ECC.

Le vendredi 26 novembre, le Premier ministre Sama Lukundo a échangé avec le professeur Gilbert Kishiba Fitula, recteur de l’Université de Lubumbashi, qu’il a reçu en audience. Il l’a félicité par la même occasion, pour son élection à l’Agence universitaire de la Francophonie.

Actuel Recteur de l’université de Lubumbashi, Gilbert Kishiba est allé annoncer au Premier ministre, son élection au Conseil d’administration de l’Agence universitaire de la francophonie, en qualité de Représentant universitaire de la zone Afrique Centrale et des Grands lacs.

« Le Premier ministre nous a reçus pour obtenir de notre part la présentation des félicitations et l’attestation de notre élection comme Représentant universitaire de l’Afrique centrale et de l’Afrique des Grands Lacs à l’AUF, c’est-à-dire l’Agence Universitaire de la Francophonie. Le Recteur magnifique de l’AUF, le Professeur Slim Khalbous,  nous a adressé de vive félicitations et attestation formelle. C’est cela que nous sommes venus lui présenter. Ce qui corrobore, qui engage, que la RDC est évidente conformément à la politique gouvernementale et la volonté et l’impulsion du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, de voir la RDC être présente dans le concert des Nations à travers les organisations internationales. Donc, nous sommes partie prenante à cette percée de la RDC  du point de vue international qui justement, coïncide avec la politique du Chef de l’Etat, par sa croisade diplomatique qui donne des fruits », a indiqué Gilbert Kishiba.

L’Agence universitaire de la Francophonie représente un enjeu majeur pour la RDC sur le plan scientifique.

« Il y a d’énormes problèmes que le pays doit résoudre. L’AUF a pour perspective d’engager les universités dans la recherche fondamentale ou pratique de qualité à partir du réseautage entre les universités, à partir de la recherche de la numérisation entre les universités et la mobilité enseignante et estudiantine. Elle vise à accroître le partenariat et est l’interface avec la société civile et les entreprises. En l’occurrence pour la RDC, on parlerait des entreprises en rapport avec l’exploitation des ressources naturelles, de façon que cette exploitation connaisse une contrepartie en rapport avec les attentes de la population du point de vue social.  Ce qui est la part aussi de chaque intervenant dans cette exploitation, de voir qu’effectivement, ces richesses sont une réponse aux attentes de la population pour la réalisation du bonheur commun. Donc, les universités sont attendues là où il faut que l’homme soit formé qualitativement pour que la société soit qualitative », a-t-il ajouté.

Apres Carlos Roblès et Emily Maltman respectivement ambassadeurs du royaume de l’Espagne et de la Grande-Bretagne, le président de la Commission Electorale National et Indépendant (CENI) Denis Kadima a reçu ce vendredi 26 novembre, Mike Hammer, Ambassadeur américain en RDC.

Les discussions entre les deux personnalités ont tourné autour de toutes les questions relatives à l’organisation des scrutins qui pointent à l’horizon.

« Je suis venu rencontré le nouveau président de la CENI, précisément parce que le président de la RDC a fait la demande de l’accompagnement et soutien de la communauté internationale dans le processus électoral pour commencer à faire des préparatifs des bonnes élections, inclusives et transparentes en 2023 », a indiqué Mike Hammer au sortir de l’audience.

A l’en croire, les USA ont voulu avoir l’idée des besoins techniques et les solutions « que les USA peuvent apportés, pour que les élections de 2023 soient mieux que celles de 2018 ».

Par la même occasion, il a rappelé que la RDC et les USA travaillent en mission conjointe pour faire avancer la démocratie en RDC.

Apres Carlos Roblès et Emily Maltman respectivement ambassadeurs du royaume de l’Espagne et de la Grande-Bretagne, le président de la Commission Electorale National et Indépendant (CENI) Denis Kadima a reçu ce vendredi 26 novembre, Mike Hammer, Ambassadeur américain en RDC.

Les discussions entre les deux personnalités ont tourné autour de toutes les questions relatives à l’organisation des scrutins qui pointent à l’horizon.

« Je suis venu rencontré le nouveau président de la CENI, précisément parce que le président de la RDC a fait la demande de l’accompagnement et soutien de la communauté internationale dans le processus électoral pour commencer à faire des préparatifs des bonnes élections, inclusives et transparentes en 2023 », a indiqué Mike Hammer au sortir de l’audience.

A l’en croire, les USA ont voulu avoir l’idée des besoins techniques et les solutions « que les USA peuvent apportés, pour que les élections de 2023 soient mieux que celles de 2018 ».

Par la même occasion, il a rappelé que la RDC et les USA travaillent en mission conjointe pour faire avancer la démocratie en RDC.