Un mois après son investiture à la tête de la Commission Electorale Nationale et Indépendante (CENI), Denis Kadima Kazadi a reçu jeudi 25 novembre, le premier ministre honoraire de la République Démocratique du Congo, Samy Badibanga
S’adressant à la presse à l’issue de cette rencontre, cet ancien 1er vice-président du sénat a fait savoir qu’auprès du numéro Un de la centrale électorale, il a mis l’accent sur la mise en place rapide du cadre des concertations pour toutes les parties prenantes aux scrutins 2023.
« Je tenais d’abord à féliciter le nouveau président de la CENI et j’ai trouvé qu’il était tout à fait ouvert et réceptif à de nouvelles idées. L’échange que j’ai eu, avait trait au processus électoral à venir, aux différentes étapes, notamment le fichier, la loi ainsi que le calendrier y afférents. Particulièrement sur l’importance du cadre de concertation pour toutes les parties prenantes aux élections », a indiqué amy Badibanga.
Dans cette perceptive, il a affirmé avoir plaidé pour que ce cadre des concertations soit mis en place le plus tôt possible afin de favoriser le climat d’échanges entre parties prenantes aux élections à venir.
« D’abord que la porte soit bien ouverte pour tout le monde, mais surtout que ce cadre de concertation soit mis en place le plus tôt possible pour favoriser un échange entre les différentes parties prenantes et la CENI. Le processus étant important et nous ne pouvons pas prendre le risque qu’il pose un problème plus tard », a-t-il ajouté.
Quelques temps peu avant, Denis Kadima a reçu les ambassadeurs de l’Espagne et de la grande Bretagne pour des échanges en rapport avec le processus électoral
Une motion de censure contre le Gouvernement provincial du Sud-Kivu, dirigé par le Gouverneur Théo Ngwabidje vient d’être déposée au bureau de l’assemblée provinciale.
Le dépôt de cette motion est intervenu ce vendredi 26 novembre 2021. Devant la loi presse, les députés signataires de cette motion ont indiqué avoir été déçus par la gouvernance du Gouverneur actuel de la province, caractérisée par la mauvaise gestion.
Ils disent vouloir obtenir le départ de celui-ci avec tous les membres de son gouvernement pour que la province s’offre un nouveau leadership capable de répondre aux besoins de la population.
Cette motion de censure est signée par 12 députés provinciaux sur les 48 que compte l’Assemblée provinciale du Sud-Kivu.
Quelques jours après avoir reçu la première dose du vaccin contre Covid-19 soit le 4 novembre dernier, Willy Ngumbi Ngengele, Evêque du diocèse de Goma a reçu jeudi 25 novembre la deuxième dose
C’était à l’hôpital général de référence du Nord-Kivu, à l’occasion du lancement officiel de la nouvelle campagne de vaccination de lutte contre la Covid-19 par la division provinciale de santé et ses partenaires.
Devant la presse, Monseigneur l’évêque a appelé les habitants de la ville de Goma en particulier et ceux du Nord-Kivu en général de suivre cet exemple en se faisant vacciner « pour vaincre cette pandémie à Coronavirus »
« Je crois que pour le moment, le vaccin reste le seul moyen pour se protéger contre la maladie et protéger les autres. C’est sûr qu’il y a les masques et tous les autres gestes barrières, mais il est vrai que ces gestes sont souvent négligés; c’est pourquoi j’en appelle à la conscience des uns et des autres pour se faire vacciner » a-t-il dit.
D’un autre côté, il a invité la population à faire confiance à la médicine et à ne pas croire « aux messages de diabolisation contre les vaccins qui affluent les réseaux sociaux »
Dans le souci de garantir la sécurité de la navigation aérienne et aéroportuaire, le gouverneur intérimaire du Kasaï Oriental, a lancé jeudi 25 novembre dernier, les travaux de réhabilitation de l’aéroport de Mbuji-Mayi.
Construit en 1955, cet aéroport qui, d’après Alphonse Shungu, directeur général de la Régie des voies aériennes (RVA), reçoit annuellement au moins 65 milles passagers, sa réhabilitation vise également réduire le nombre d’accidents.
Par la même occasion, il a annoncé le début d’une étude pour l’aménagement d’une zone fret pour l’épanouissement de cet espace aérien.
Financés par la Banque Africaine de développement (BAD) à hauteur de 23 millions, ces travaux s’inscrivent aussi dans l’objectif d’augmenter les revenus générés par les activités de la navigation aérienne.
Jean Jacques Lumumba, ancien responsable des engagements à la BGFI Bank a dans une vidéo réalisée il y a quelques mois et publié sur son compte Facebook il y a 24 heures affirmé que la Banque Centrale du Congo (BCC) a fait des virements à la société Egal via la BGFI Bank.
« Je me suis trouvé dans un compte où j’ai vu clairement des virements venant de la Banque Centrale du Congo délaissés sur le compte d’une entreprise privée appartenant à un très proche de l’ex Président Kabila » affirme- t-il
Pour lui, « c’est comme si la Banque de France finance une entreprise privée dont les liens avec les politiques ou autorités hautement placés ne sont plus à démontrés « s’est exprimé monsieur Lumumba
Et de poursuivre « la même société a bénéficié de plusieurs exonérations, elle ne paye pas correctement les impôts et c’est la cause principale de cette société, Egal que je suis en exile ».
Jean Jacques Lumumba indique tout de même que plusieurs choses « irréalistes » se sont déroulées sur le compte de la société Egal à la BGFI Bank notamment l’achat d’animaux et les soupçons d’achat d’armes.
« Il y a clairement des affaires d’armes qui sont cités même si jusqu’à présent, il n’y a pas des preuves irréfutable « a-t-il dit
Quelques jours après avoir reçu la première dose du vaccin contre Covid-19 soit le 4 novembre dernier, Willy Ngumbi Ngengele, Evêque du diocèse de Goma a reçu jeudi 25 novembre la deuxième dose
C’était à l’hôpital général de référence du Nord-Kivu, à l’occasion du lancement officiel de la nouvelle campagne de vaccination de lutte contre la Covid-19 par la division provinciale de santé et ses partenaires.
Devant la presse, Monseigneur l’évêque a appelé les habitants de la ville de Goma en particulier et ceux du Nord-Kivu en général de suivre cet exemple en se faisant vacciner « pour vaincre cette pandémie à Coronavirus »
« Je crois que pour le moment, le vaccin reste le seul moyen pour se protéger contre la maladie et protéger les autres. C’est sûr qu’il y a les masques et tous les autres gestes barrières, mais il est vrai que ces gestes sont souvent négligés; c’est pourquoi j’en appelle à la conscience des uns et des autres pour se faire vacciner » a-t-il dit.
D’un autre côté, il a invité la population à faire confiance à la médicine et à ne pas croire « aux messages de diabolisation contre les vaccins qui affluent les réseaux sociaux »
La star de la musique congolaise, Koffi Olomide séjourne en ville de Goma au Nord-Kivu depuis l’avant-midi de ce jeudi 25 novrembre 2021.
Accompagné d’une forte délégation du » Quartier Latin », Antoine Agpepa Mumba dit Koffi Olomide vient commémorer avec son grand public de Goma les 35ans d’existence de son orchestre.
A son arrivée à l’aéroport international de Goma, le grand Mopao s’est rendu au gouvernorat où il a eu un échange fructueux avec l’autorité provinciale avant de se livrer à la presse pour une interview.
Devant la presse, il a indiqué être venu pour une tournée à l’Est du pays, une région en proie de l’insécurité grandissante et à des troubles de différents ordres en vue de livrer un concert humanitaire et ainsi partager le chagrin de son public de cette partie.
Vêtu en uniforme semblable à la tenue militaire de l’armée française, sous escorte de sa sécurité garnie, l’homme du Quartier Latin prévoit son premier concert à l’hôtel Serena de Goma dont le prix de place serait fixé à 100$ (cent dollars américains) avant de se rendre à Beni où il va remettre les fonds perçus aux militaires au front pour les appuyer.
Notons qu’après Beni, Koffi Olomide est attendu à Bukavu et à Kigali au Rwanda pour des concerts avant de regagner Kinshasa.
Dénis Kadima président de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), a reçu tour à tour jeudi 25 novembre, les Ambassadeurs d’Espagne, Carlos Roblès et du Royaume-Uni, Emily Maltman.
Les discussions entre ces personnalités ont porté sur les perspectives de l’accompagnement de leurs pays respectifs dans le processus électoral en République démocratique du Congo.
« Je suis venu à la rencontre d’une personnalité qui doit jouer un rôle fondamental dans la vie future du pays. Car la CENI dont il est le Président est l’institution appelée à organiser les élections de 2023 et en proclamer les résultats provisoires. Avec elle, il y a aussi les partis politiques, les organisations de la société civile, les églises qui comptent. Ce n’est pas seulement le processus d’un groupe, mais plutôt de la société toute entière. Nous amis de la RDC, nous pensons que c’est une échéance importante pour l’avenir de la nation. Donc, il est de l’intérêt général qu’elles soient bien organisées », a indiqué le diplomate espagnol.
De son côté, l’ambassadeur du Royaume-Uni, Emily Maltman, a réaffirmé l’engagement de l’État britannique à y apporter son assistance.
« Les discussions que j’ai eues avec le nouveau Président de la CENI ont tourné autour des modalités de planification des futures élections de 2023 et bien entendu sur le processus qui les précèdent. Il était question au préalable de faire un état des lieux en évaluant les besoins relatifs en vue de les organiser dans les délais requis. Mais aussi comment y arriver de manière transparente et qu’elles soient accessibles à toutes les couches de la population concernée. Un autre aspect abordé concernait la question de la participation de la femme, pas seulement en tant qu’électrice mais aussi comme candidate, représentant la population au sein des Assemblées provinciales, voire nationale. Le Royaume-Uni encourage une participation plus accrue des femmes », a-t-elle fait savoir.
Notons que ces rencontres interviennent dans le cadre des contacts indispensables que mène Denis Kadima pour la bonne marche du processus électoral qui doit aboutir au scrutin prévu en 2023.
Le démarche vient d’être lancée, la Belgique compte restituer tous les objets historiques de la République démocratique du Congo, qui demeurent encore au royaume de la Belgique près de 61 ans après avoir acquis son indépendance.
L’épineuse question de la restitution des œuvres d’art, est dans sa phase de parachèvement. Selon l’Agence France presse ( AFP), le secretaire d’état belge chargé de la politique scientifique, Thomas Dermine est en visite à Kinshasa pour accélérer les travaux en vue de la restitution d’objets acquis pendant l’Etat Independant du Congo et la période coloniale.
Alors que la Belgique a présenté en juillet dernier une feuille de route, la meme source note que cette restitution vise la reconstitution du patrimoine congolais en RDC, autrefois gardé par le royaume de la Belgique.
Contrairement à d’autres pays, la Belgique ne veut pas imposer une liste d’objets prédéfinis. Tous les objets acquis par la Belgique pourront faire l’objet d’une étude de restitution.
Une commission mixte sera chargée d’analyser et de classifier les objets acquis par la Belgique afin de se rassurer de la procédure quant à la restitution de ces dernières.
Un débat encore tarde, celle de la classification des objets par catégories. En effet, trois catégories d’objets doivent être étudiées. Il s’agit notamment : objets légitimement acquis, objets illégitimement acquis et objets dont l’acquisition fait débat. Cette commission sera formée et devrait commencer ses travaux en 2022.
L’ancien ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST), Willy Bakonga a retrouvé sa liberté depuis jeudi 25 novembre dans la soirée après sept mois d’incarcération dans la prison centrale de Makala, alors qu’il y purgeait une peine de trois ans.
Selon des sources de cette maison carcérale, Willy Bakonga et trois autres prisonniers ont bénéficié d’une grâce présidentielle.
L’ancien ministre avait été condamné par la Cour de cassation à trois ans de servitude pénale principale le 29 avril de cette année pour blanchiment des capitaux.
En dépit du refus de Gentiny Ngobila, gouverneur de la ville province de Kinshasa de prendre acte de la marche des forces politiques et sociales réunies au sein du bloc patriotique, sous l’initiative du Ministère des laïcs protestants (Milapro) la Communauté des laïcs catholiques (Calcc), ces derniers maintiennent leur manifestation pour ce samedi 27 novembre.
Dans une déclaration jeudi 25 novembre, les initiateurs de cette marche ont affirmé avoir informé l’autorité urbaine, sur les différents itinéraires que prendront les manifestants le jour de la manifestation.
Les principaux axes de leur itinéraire ont été déroulés. Il s’agit de l’axe de Tshangu et Mont Amba, qui a pour point de départ le Terminus Lemba, en passant par les avenues Kianza et Université avec comme point de chute, le Palais du peuple. L’axe de Bumbu, Ngiri Ngiri, Selembao, Bandalugwa partira du Rond-point Moulaert, et le Palais du peuple sera le point de chute.
L’axe de Mont-Ngafula, Makala, Lemba a pour point de départ le Rond-point Ngaba, celui de Kalamu, Kasa-vubu partira de la Place des artistes (Victoire Matonge), tous les deux auront également pour point de chute le Palais du Peuple, les manifestants passeront également par l’avenue université.
En toile de fond de cette manifestation, les mêmes revendications à savoir : la dépolitisation de la centrale électorale, la révision de la loi organique portant organisation et fonctionnement de la CENI (Commission Électorale Nationale Indépendante), dire non à l’investiture « frauduleuse » de Denis Kadima Kazadi, la suppression du RAM, l’application responsable de la gratuité de l’enseignement.
En rappel, le week-end dernier, l’hôtel de ville dans une correspondance largement relayée dans les médias, Ngobila avait refusé de prendre acte de cette manifestation, exigeant à ce que seules la CENCO (Conférence épiscopale nationale du Congo) et l’ECC (l’Église du Christ au Congo), puissent elles-mêmes saisir l’autorité urbaine, alléguant que le Milapro et le Calcc n’ont pas qualité, n’ayant pas de personnalité juridique. Ce que les deux structures ont rejeté en bloc.
La République démocratique du Congo fait face à plusieurs défis sécuritaires. Des efforts importants sont engagés dont l’instauration de l’état de siège dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri. Mais plusieurs choses restent encore à faire.
Reçue par le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur Daniel Aselo, madame l’ambassadeur de la Grande Bretagne Emily Maltman a manifesté le souhait de son pays à accompagner la RD Congo dans sa quête du retour de la paix.
« Nous sommes très impliqués avec notre appui à la Monusco, et nous sommes actifs dans la discussion autour de la situation de l’état de siège à l’est du pays. Et sur le Programme de désarmement, démobilisation, réinsertion communautaire et Stabilisation (PDDRC-S), pour voir comment appuyer les ambitions visant à mettre fin aux groupes armés à l’Est du pays » confie la diplomate britannique à la presse au sortir de l’audience.
Emily Maltman a indiqué avoir rencontré le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur pour discuter de «tous les sujets en charge de ce ministère : la situation sécuritaire, la situation ayant trait à l’amélioration de la décentralisation, la réforme de la Police…».
D’après le service de communication de la vice primature de l’Intérieur, Il est prévu la poursuite des discussions autour de ces questions.
La crise née de la désignation et entérinement de Denis Kadima, à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), continue à faire marcher les institutions de la République.
Et si besoin en était encore, la visite, tour à tour, des principaux animateurs des principales institutions du pays chez le cardinal Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa, le mercredi 24 novembre, chez le Représentant légal de l’Église du Christ au Congo (ECC), Monseigneur André Bokundowa, un jour après, soit le jeudi 25 du même mois en est une illustration. Dans une mission auprès de ces chefs religieux, les chefs d’institutions jouent la carte d’apaisement, indiquent nombre d’observateurs. Ces derniers s’interrogent si les catholiques et protestants lâcheront prise, là où tous les regards de la nation restent braqués sur eux?
Mission d’apaisement, après l’installation de manière controversée et non consensuelle, du nouveau bureau de la Ceni, voilà qui fait marcher les chefs de corps de deux chambres du Parlement, le Premier ministre, chef du gouvernement, du Conseiller spécial et chef de sécurité du président Tshisekedi vers les ténors de ceux deux grandes Églises.
Les deux confessions religieuses ont dénoncé les intimidations et une présumée corruption, orchestrées par certains caciques du régime actuellement au pouvoir en République démocratique du Congo (RDC), la veille de la désignation non consensuelle (selon ces confessions), de l’actuel président de la Ceni.
Les catholiques et les protestants (CALCC et MILAPRO), sont actuellement initiateurs des manifestations anti Kadima. Ils exigent non seulement la dépolitisation de la Ceni, mais aussi la suppression pure et simple du RAM (Registre des appareils mobiles), une redevance qu’il qualifient « d’escroquerie institutionnalisée), dont la traçabilité n’est connue par aucun congolais. Ils veulent également une gratuitement d’enseignement responsable, qui prend en compte l’amélioration des conditions des enseignants, ont-ils affirmé dans leur dernière déclaration.
Signalons qu’après leur sit-in interdit devant les représentations de la Ceni à Kinshasa et en provinces, le lundi 22 novembre dernier, le Milapro et le Calcc ont appelé le jeudi 25 novembre, à une marche contre la Denis Kadima, le samedi 27 novembre, sur toute l’étendue du territoire congolais.
L »instance faitière du football congolais a dans une correspondance ce jeudi 25 novembre, adressée aux présidents des ligues Provinciales de football et aux clubs affiliés aux interclubs africain, annoncé le report et la suspension des assises du processus électoral.
Initialement prévu pour le 28 décembre de l’année en cours en raison de la désignation des nouvelles animateurs du comité exécutif de la FECOFA en remplacement de celui de Constant Omari, qui visiblement a jeté l’éponge depuis juin dernier dont l’intérim est assuré par Donatien TShimanga.
Cette décision fait suite à l’instruction reçue de la Confédération Africaine de Football conformément à sa lettre datant du 24 novembre. « Nous vous signifions par la présente, le report de ces assises à une date ultérieure et de la suspension du processus électoral y afférant et ce, en exécution de l’instruction que nous venons de recevoir de la Confédération Africain de Football… » lit-on dans ce document.
Signalons que, les noms de deux personnes, dont Bobo Bondembe et Theo Binamungu sont pressentis pour récupérer le flambeau laissé par Constant Omari a la tête de cet organe
Après deux jours d’arrêt des cours dans la ville de Beni au Nord-Kivu, il s’observe toujours des acrobaties pour une reprise effective des classes dans cette partie de la République démocratique du Congo.
Selon le secrétaire permanent du SYECO à Beni, Christophe Kanyambwe, la situation ayant dérangé la quiétude des cours à l’institut Bungulu le mardi dernier dans cette province, ne doit pas continuer à prendre l’ampleur étant donné que les enfants perdent du temps.
Dans une déclaration faite ce jeudi 25 novembre, Il a indiqué qu’à l’unisson avec les enseignants des écoles concernées par cette grogne, ont décidé sur la reprise des cours bien que l’affaire de ce dysfonctionnement soit toujours entre les mains de la justice.
Pour cause, un officier supérieur de l’armée s’en serait pris physiquement à un enseignant où au lendemain des élèves se sont pris aux éléments de forces de l’ordre.
Une situation qui selon Christophe Kanyambwe, doit rester en dehors de toute obstinence de poursuivre l’encadrement des élèves de cette école.
» Nous avons dit qu’il fallait que l’on retourne à l’école et encadrer les enfants. Surtout que le colonel est déjà arrêté, il est en train d’être auditionné. Alors nous avons pensé que le reste de réclamations seront en train d’être suivies pendant que nous serons en train d’encadrer les enfants à l’école » a déclaré le secrétaire permanent du SYECO à Beni.
Et d’ajouter » S’il arrivait que la justice s’amuse sur ce dossier, en tout cas, il y aura paralysie parce que nous ne pouvons pas supporter cette humiliation. La justice nous garantit que le dossier est en instruction. Seulement, le service compétent pour juger le colonel n’est pas sur place «
Pour rappel, un colonel de l’armée aurait giflé un enseignant en pleine salle de classe pour avoir confisqué le téléphone de sa fille pendant les heures des cours.
L’attaque rebelle perpétrée par le groupe rebelle mercredi dernier dans le chef-lieu de la ville de Beni au Nord-Kivu, inquiète la société civile de cette localité » Il est en effet, incompréhensible d’admettre que des rebelles réussissent à attaquer le chef lieu d’un territoire sous contrôle par l’armée congolaise »
Darius Syayira, rapporteur de la société civile du quartier Pakanza, attaqué le Mercredi 24 novembre, juge déplorable que les assaillants arrivent au niveau de pénétrer une zone aussi proche de la première ville de la province du Nord-Kivu.
» C’est inconcevable ! Comment l’ennemi peut entrer dans la commune et surtout dans le quartier Pakanza où il y a même la résidence de l‘administrateur militaire avec sa ceinture de sécurité, et il y a eu des détonations en armes lourdes et en armes légères », a-t-il déclaré.
Selon lui, ces attaques est une preuve à suffisance que l’ennemi serait toujours aux alentours de la commune rurale d’Oicha, d’où la nécessité de renforcer la sécurité dans cette zone de la part des autorités de la ville.
Il craint cependant que par manque de polémologie, que l’insécurité ronge d’avantage la quiétude de la population de cette partie du pays.
L’ancienne présidente de l’Assemblée Nationale, Jeannine Mubunda a noté quelques avancées considérables sur la situation du genre en RDC, celà, bien que le pays soit tagué autre fois parmi une zone mondiale marquée par les violences sur le genre.
À l’occasion de cette la journée internationale consacrée à la prévention et à l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles, organisée le 25 novembre de chaque année, un panel a été organisé au Sultani l’hôpital, où plusieurs activistes de droit des femmes se sont retrouvés pour dire non aux violences basés sur le genre.
En marge de cette cérémonie, l’ex speaker de la chambre basse du parlement, cette-fois panelliste de ladite cérémonie, a fait savoir que des mesures impactantes ont lavé le cliché.
» il y’a quelques années lorsque j’allais à l’extérieur du pays, pour participer à des forums internationaux, la RDC était quand-même taguée comme la capitale du viol. À partir de 2014, il y’a quand-même les mesures qui ont été prises où les ONG ont travaillé en concert avec les services de l’État, que ce soit la magistrature civile, la magistrature militaire, le ministre du genre et bien d’autres institutions qui ont permis un progrès « , a relevé l’ancienne présidente de l’Assemblée nationale, Jeannine Mubunda Lioko.
Mais seulement avec la taille du Congo, a-t-elle expliqué, « la situation dans l’Est fait que la situation du genre reste quand-même un défit « .
Afin d’accompagner cette campagne de lutte contre cette problématique sur le genre, des actions sont prévues par la commission du genre de la chambre basse du parlement, comme l’a précisé la députée nationale Christelle Vuanga, au cours de cette cérémonie.
Le go est donc lancé pour 16 Jours d’activisme contre toutes formes de violences basée sur le genre. Mais le défis il y en a encore assez, malgré le progrès axé sur genre en RDC.
Objectif est de mettre fin à la violence à l’égard des femmes partout dans le monde d’ici l’horizon 2030.
Les trois représentants de la RDC encore en campagne Africaine vont entamer le tour de cadrage ce dimanche 28 novembre dans différents stades. Il s’agit de deux clubs éliminés de la Ligue des Champions, TP Mazembe et l’AS Maniema Union déversés en coupe de la confédération et le Daring Club Motema Pembe qui poursuit bien sa randonée africaine depuis le debut de la C2
Le Daring Club Motema Pembe (DCMP) sera le premier à ouvrir la danse. Pour cette affiche, les hommes d’Alain Landeau seront reçus par les locaux de l’US Gendarmerie National ce dimanche 28 novembre au stade Général Seyi Kountche de Niamey (à 15H30), en match comptant pour la phase aller du deuxième tour de cadrage de la Coupe de la Confédération Africaine.
En 16e de finale bis de cette même compétition, les corbeaux de la capitale cuprifère seront à l’épreuve de Marumo Gallants FC de l’Afrique du Sud, dimanche, au temple de Badiangwena à Lubumbashi, club qui a éliminé l’As V.club (2-1/1-1). Les protégés du Chairman Moise Katumbi sont avertis après leur élimination à domicile par une autre formation de la nation arc-en-ciel, Amazulu FC.
Quant aux Unionistes du Coach Daouda Lupembe , ils découdront avec la formation Égyptienne de Pyramids FC ,le même dimanche au stade des Martyrs de la pentecôte. Maniema Union fera face à un habitué et finaliste de l’edition 2020.
« Je me lève et je m’engage aujourd’hui contre les violences faites aux femmes, jeunes et petite filles.», tel est le thème de 16 jours d’activisme contre les violences basées sur le genre, lancés ce jeudi 25 novembre par le ministère du genre, famille et enfant
En partenariat avec l’ONU femmes, cette activité est une occasion pour le gouvernement congolais de promouvoir la parité et l’autonomisleation des femmes partout dans le monde.
Pacé au niveau international sous le thème :« Orangez le monde: mettre fin dès maintenant à la violence à l’égard des femmes », à Kinshasa durant les seize jours l’ONU-femmes, la MONUSCO et tant d’autres agences du système onusien en RDC procéderont à la mobilisation.
Lancé ce jour, cet événement se poursuivra jusqu’au 10 décembre de l’année en cours, date de la journée des droits humains.
Kinshasa abrite ce jeudi 25 novembre, la conférence des chefs d’Etats et des gouvernements, de l’Homme sur la masculinité positive. Hôte de ces assises, le président de la République démocratique du Congo Felix Tshisekedi assiste au Palais de la nation à un défilé des plusieurs chefs d’Etat venus pour l’événement.
Tôt ce matin, Felix Tshisekedi a reçu son homologue rwandais Paul Kagame avec qui, ils ont eu un tête à tête d’une trentaine de minutes. Se confiant à la presse présidentielle, les deux personnalités indiquent qu’avoir évoqué dans leurs entretiens les questions de coopération bilatérale, question de la paix dans la sous régions et des expériences à partager sur la masculinité positive.
Le président sénégalais qui séjourne déjà à Kinshasa est annoncé pour un entretien avec le Président congolais. les services de la présidence congolaise annonce que le Président congolais Denis Sassou Nguesso, le président togolais Faure Gnassingbé et le président Ghaneen Nana akufo-Addo sont attendus.
ces assises se tiennent en marge de 16 jours d’activisme contre la violences basée sur le genre. au moins six chefs d’Etats africains vont y prendre part.
C’est une visite aux allures d’un cessez le feu. Dans une période où le gouvernement n’est pas en odeur de sainteté avec les clergés catholiques notamment dans les question en rapport avec le nouveau président de la CENI et dans les questions de la gratuité de l’enseignement au sein des écoles catholique. Les animateurs de toutes les institutions de la République ont débarqué mardi 23 novembre chez Mgr Fridolin Ambongo évêque métropolitain de Kinshasa.
Le président de l’Assemblée nationale Mboso N’kodia, le président du sénat Bahati Lukwebo, le Premier ministre Sama Lukonde et le Conseiller spécial du chef de l’État en matière de sécurité François Beya tous ont échangé longuement avec le chef spirituel des églises catholiques. « Nous avons échangé sur tout ce qui pourrait prêter à des interprétations» dit le cardinal Ambongo.
«c’était pour nous l’occasion de clarifier les choses et de repartir sur des bases nouvelles. l’église comme l’etat nous sommes au service du même peuple. Nous avons intérêt à conjuguer nos efforts, à travailler mains dans la main afin que notre peuple puisse vivre digne» a ajouté Mgr Fridolin Ambongo dans le compte rendu de ces échanges.
Cette rencontre est intervenue quelques heures seulement après la clôture des discussions entre le gouvernement et l’intersyndicale des enseignants des écoles catholiques et un sit-in étouffé du « bloc Patriotique » à laquelle participait le CALCC, une organisation de la CENCO. Ce dernier réclamait la dépolitisation de la CENI.
C’est depuis la soirée de mercredi 24 novembre dernier, que le Président Sénégalais Macky Sall est arrivé à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
il a été accueilli au pieds de l’avion p
ar le Premier ministre Sama Lukonde, le vice-Premier ministre en charge des affaires étrangères Christophe Lutundula ainsi que quelques personnalités du pays.
En séjour à Kinshasa, le chef de l’État Sénégalais va participer ce jeudi 25 novembre à la conférence de haut’ niveau sur l’élimination des violences contre les femmes et les filles en Afrique.
Le Président Macky Sall regagnera le Dakar au Sénégal ce même jeudi après les travaux de ladite conférence, c’est ce que renseigne la Primature.
Trois organisations non gouvernementales ont dans un communiqué, dénoncé, les intimidations relatives au détournement de 25 millions de dollars de FOMIN (Fond minier pour les générations futures) par l’ancien Premier ministre Sylvestre Ilunga Ilunkamba.
La Ligue pour la transparence dans le secteur extractif (LITRASE), alerte sur les intimidations à l’endroit de son Coordonnateur, Adrien Mwenyemali.
Les plateformes de la société civile, le Congo n’est pas à vendre (CNPAV), Makuta ya Maendeleo et la Coordination des Actions de Plaidoyer couvrant pour la bonne gouvernance des Ressources naturelles de la RDC sont parmi ces organisations.
Elles révèlent que ces intimidations et menaces ne sont rien d’autre que des entraves à la transparence du secteur extractif qui risquent de compromettre le processus de validation de la RDC en tant que pays-conforme à la Norme de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE).
Par ailleurs, elles demandent au gouvernement congolais de faire cesser ces intimidations et d’assurer la protection des acteurs de la Société civile travaillant pour la bonne gouvernance des ressources naturelles et luttant contre la corruption, le détournement et la mégestion des recettes publiques. Elles invitent également le Procureur près la Cour de cassation d’ouvrir des enquêtes sur le détournement des fonds du FOMIN par l’ancien gouvernement Ilunga.
La sommation judiciaire initiée le 22 novembre, par les avocats de l’ancien chef du gouvernement contre le Coordonnateur de la LITRASE, qui exige à MWENYEMALI le retrait par voie de presse de la dénonciation faite par la LITRASE sur ce détournement, figure parmi ces intimidations.
Ces ONG, qui regroupent plus de cinquante (50) organisations, tiennent à apporter leur soutien à la LITRASE et elles confirment que le gouvernement Ilunkamba avait effectivement détourné plus de 25 millions USD, versés pour le compte du FOMIN comme l’indique le rapport ITIE-RDC (2018-2020). Ces fonds avaient été utilisés à des fins autres que les objectifs du FOMIN.
Et de souligner que, ces fonds avaient été alloués aux frais de fonctionnement du gouvernement en violation flagrante de l’article 7 du Décret Nº 19/17 du 25 novembre 2019, portant statut, organisation et fonctionnement du FOMIN, qui frappe d’indisponibilité les recettes et dépenses courantes du gouvernement.
Dans l’objectif de remédier tant soit peu au problème de chômage dont sont victimes des milliers de jeunes congolais, Eustache Muhanzi, ministre d’État, ministre de l’entrepreneuriat, petite et moyenne entreprise a annoncé l’introduction de l’entrepreneuriat dans le système éducatif dès l’année académique et scolaire prochaine.
Il l’a dit ce mercredi 24 novembre, lors de la double cérémonie de la présentation des jeunes entrepreneurs du Concours du plan d’affaires (COPA) et celle de sensibilisation sur la loi sur la sous-traitance tenue à Goma le 23 et le 24 novembre courant.
« Nous avons mission comme ministère de promouvoir l’entrepreneuriat. Il ne faudra pas que l’élève ou l’étudiant qui termine ses études soit entrain de demander de l’emploi, mais qu’il soit à mesure de créer de l’emploi » a-t-il dit.
Et d’ajouter : » Nous estimons que l’année académique et scolaire prochaine cela sera possible. Au niveau du gouvernement, ce projet a été adopté. On est entrain de mettre en place une commission interministérielle qui prend en compte les ministres de l’ESPT, de l’ESU, de la formation professionnelle, de la jeunesse, de l’entrepreneuriat… qui prendront en compte toutes les matières transversales pour modifier et adapter le programme«
Selon notre source, les infrastructures pour booster l’entrepreneuriat des jeunes seront aussi créer. Dans ce cadre, les incubateurs seront implantés dans des écoles secondaires et dans les universités.
Dans un document qui porte la signature de Franck Tshibangu, son Directeur gérant, intitulé :« Droit de réponse et démenti de la société Egal sarl », adressé à Mme Sonia Rolley et M. Yann Philippin, respectivement journalistes à Radio France Internationale (RFI) et Mediapart, cette entreprise affirme n’être pas surprise des faits réchauffés ce jour par les journalistes de ces médias.
« La société Egal sarl affirme avoir lu le déferlement d’accusations, de commentaires, de conjectures et d’analyses en sens divers contre cette entreprise, distillés dans les publications du lundi 22 novembre, de l’article : « Congo Hold-Up : Egal, l’autopsie d’un scandale », une co-publication de Yann Philippin et Sonia Rolley de RFI ».
Et d’ajouter : » À Egal sarl, l’on n’est pas surpris », lorsqu’on sait la majorité des faits « réchauffés et reportés ce jour par ces médias, sont les mêmes qui sont parus le 29 octobre 2016, dans l’édition du numéro 254 du journal belge LE SOIR, sur ‘ fond de révélations de Monsieur Jean-Jacques Lumumba », martèle-t-on.
Et de préciser : » Une publication qui, à l’époque avait attribué à la société Egal, un financement par la Banque centrale du Congo (BCC), à travers la BGFIbank une somme estimée à 43 millions de dollars américains, montant que les rapporteurs de Congo Hold-Up portent curieusement aujourd’hui à 77 millions des dollars des fonds suspects ».
Une intention de nuire orchestrée par ces médias
Face à cette situation, la Direction d’Egal « déplore vivement le manque de discernement affichés par les auteurs de ces articles », qui écrivent parfois une chose et son contraire en même temps, le cas échéant, l’intention de nuire à la « crédibilité internationale » d’une entreprise congolaise dont l’organisation, le monde d’exploitation et la gestion exceptionnellement transparente étonnent plus d’un », apprend-on du même document, qui souligne que « tout ceci démontre l’intention de nuire ».
Dans le même ordre, Egal sarl réaffirme qu’elle n’a jamais été financée par des fonds publics. » Egal sarl précise sans ambages qu’elle n’a jamais été financée par des fonds publics, provenant de la BCC ou d’une quelconque institution étatique, si ce n’est une machination montée contre elle ».
Et de rappeler que : » l’Inspection générale des Finances (IGF) a enquêté en début d’année en cours, sur les prétendus paiements effectués par le Trésor public. À l’issue de multiples séances de travail avec cette structure, Egal a été mise hors cause dans cette affaire ».
D’où la question de savoir : si les auteurs de cette publication réalisent les conséquences de leur action médiatique, dont l’ampleur s’apparente ni plus ni moins à une campagne de diabolisation, dénigrement et discrédit d’un Etat, de ses institutions et de son tissu économique ? ».
Egal estime qu’en dépit de 3,5 millions de documents annoncés comme fondement de l’enquête, le conditionnel auquel ont recouru les auteurs de cette co-publication « entretient un doute légitime sur les conclusions de leur enquête ».
Ainsi, Egal souligne qu’au regard du réel préjudice lui causé, suite aux imputations aléatoires, l’entreprise se réserve le droit d’en exiger réparation.