La situation à l’Est de la République
démocratique du Congo, demeure
très préoccupante. Selon le rapport du Bureau conjoint des Nations Unies pour
les droits de l’homme en République démocratique du Congo (BCNUDH) publié le week-end dernier, plus de 450 personnes ont été exécutées de janvier à octobre 2021.
Ce document renseigne également que cette situation préoccupante alimente l’émergence des groupes armés dans cette partie du pays. Outre ces morts, il a été relevé l’augmentation du nombre de violations et atteintes aux droits de l’homme dans la même période.
Au cours des 10 premiers mois de
l’année 2021 il s’est observé une augmentation significative des cas.
2 359 cas d’incidents ont été enregistrés dans cette partie du pays, dont 354 cas de victimes de violences sexuelles.
Outre des violences sexuelles, la même source convie que lors des incursions des groupes armées dans les territoires de cette contrée, 1 455 personnes ont été grièvement blessées.
Un statistique qui renseigne
des violations enregistrées de 111 civils, y compris les victimes d’exécutions
extrajudiciaires, 542 personnes
blessées et 58 victimes de
violences sexuelles.
À en croire le bureau conjoint des Nations Unies pour les droits de l’homme en République démocratique du Congo (BCNUDH) il y’a une
augmentation significative par
rapport aux 387 enregistrées en
2020 et 183 en 2019