L’ancien chef du gouvernement et leader du Nouvel Elan, Adolph Muzito renouvelle le débat sur un consensus des forces sociales et politiques pour tabler sur la révision de la loi relative à la dépolitisation de la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).
Dans sa déclaration dimanche 28 novembre 2021, Adolph Muzito a demandé aux différentes forces sociales et politiques à corréler mutuellement les efforts pour atteindre l’objectif de cette dépolitisation.
Il a encouragé les leaders sociales et politiques du pays à multiplier les actions de rues et à
intensifier les pressions
diplomatiques en vue de
contraindre le Régime à choisir
entre le consensus sur les
réformes électorales à réaliser
et l’insurrection pacifique du
peuple.
Dans cette perceptive, le parti de ce leader politique, Nouvel Elan, relève dans la même déclaration que l’actuel régime compte délibérément mener une dichotomie conflictuelle entre les églises, opposant notamment la CENCO –
l’ECC, relatifs aux
revendications sur une CENI non politisée.
Pour le Nouvel Elan, un consensus permettra de mettre fin à l’illégitimité des
institutions du pays,
perpétuée par le chaos
électoral de décembre 2018.
Elle note au final que la lutte du peuple pour sa
souveraineté ne prendra fin
que quand celui-ci aura à la
tête du pays, des dirigeants
choisis par le peuple d’une manière
transparente, libre et
démocratique, dans la paix et
la cohésion nationale.