Cette annonce intervient dans le cadre du calendrier scolaire réaménagé, témoignant d’une volonté du gouvernement de maintenir le cap sur l’éducation, malgré le contexte sécuritaire précaire dans certaines régions de l’Est. Les provinces écartées pour l’instant restent fortement impactées par l’instabilité provoquée par les affrontements et les zones occupées.
L’examen d’État, événement clé du système éducatif congolais, représente un défi logistique et sécuritaire, surtout dans les zones touchées par les conflits. Les autorités se disent déterminées à garantir le bon déroulement des épreuves pour tous les élèves éligibles, tout en appelant à des solutions adaptées pour les provinces affectées par la crise.