Une découverte qui redéfinit les frontières de la physiologie animale. Un animal jusque-là inconnu des scientifiques a surgi des profondeurs de la forêt tropicale du bassin du Congo : le « pangolin électrique ». Cette trouvaille extraordinaire, rapportée par une expédition internationale de zoologues et de biologistes, pourrait bien bouleverser notre compréhension de l’évolution des mammifères.
Partis documenter le déclin des pangolins traditionnels, les chercheurs sont tombés, à plus de 200 km² de forêt primaire dense, sur un spécimen de 1, 40 mètre, légèrement plus grand que le Smutsia gigantea connu. Ce qui a stupéfié l’équipe, ce n’est pas sa taille, mais ses écailles, chargées d’électrocytes semblables à ceux de la torpille électrique, elles peuvent emmagasiner jusqu’à 50 volts, non létaux pour l’homme, mais redoutables pour un prédateur, a rapporté Chris Weber, cofondateur d’« Animals Around The Globe ».
Les premières observations confirment que ce pangolin partage la silhouette des géants habituels : museau effilé, queue longue, posture recroquevillée. Toutefois, ses écailles révèlent une structure cristallique unique, tissée de protéines conductrices. A chaque menace, l’animal libère des impulsions électriques pour se défendre, une innovation défensive sans équivalent chez les mammifères terrestres.
Outre son intérêt scientifique, cette créature suscite l’enthousiasme des ingénieurs : ses écailles pourraient inspirer de nouveaux modèles de batteries biologiques, plus durables et non toxiques.
Le scepticisme reste de mise. Parasites bioélectrique ou minéraux externes ? Les chercheurs ont multiplié les protocoles, échantillonnage non intrusif, caméras infrarouges, capteurs EEG modifiés et invitent désormais la communauté scientifique à confirmer leurs données. Les premiers articles, en cours de soumission aux revues à comité de lecture, détailleront les analyses génétiques, ainsi que les mesures précises des décharges électriques.
Au terme de 300 heures d’observations intenses, le pangolin électrique apparaît déjà comme une icône de la biodiversité encore insoupçonnée de la République démocratique du Congo. Son existence envoie aux questionnements. Combien d’autres merveilles attendent d’être révélées dans les forêts de la RDC ?

