Le Groupe d’Etudes sur le Congo (GEC) et Human Rights Watch ont rendu public, ce mercredi 14 août dans un projet parvenu à Kinshasa Times, les données qui révèlent la situation sécuritaire lors des affrontements entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les rebelles dans le Nord et Sud Kivu.
Selon ce rapport, depuis juin 2017 et juin 2019, 1.900 civils ont été tués par ces affrontements causés par près de 130 groupes rebelles.
« Les groupes armés tirent des revenus de nombreuses sources, notamment la production de charbon de bois, le braconnage, les enlèvements et la taxation de tous types de marchandises de mouvements », dénonce le rapport.
Le GEC et Human Rights Watch ont indiqué, dans ce rapport, que la plus part des violences de droit de l’homme sont associées directement aux efforts de contrôle des zones minieres.