L’ancienne présidente de l’Assemblée Nationale, Jeannine Mubunda a noté quelques avancées considérables sur la situation du genre en RDC, celà, bien que le pays soit tagué autre fois parmi une zone mondiale marquée par les violences sur le genre.
À l’occasion de cette la journée internationale consacrée à la prévention et à l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles, organisée le 25 novembre de chaque année, un panel a été organisé au Sultani l’hôpital, où plusieurs activistes de droit des femmes se sont retrouvés pour dire non aux violences basés sur le genre.
En marge de cette cérémonie, l’ex speaker de la chambre basse du parlement, cette-fois panelliste de ladite cérémonie, a fait savoir que des mesures impactantes ont lavé le cliché.
» il y’a quelques années lorsque j’allais à l’extérieur du pays, pour participer à des forums internationaux, la RDC était quand-même taguée comme la capitale du viol. À partir de 2014, il y’a quand-même les mesures qui ont été prises où les ONG ont travaillé en concert avec les services de l’État, que ce soit la magistrature civile, la magistrature militaire, le ministre du genre et bien d’autres institutions qui ont permis un progrès « , a relevé l’ancienne présidente de l’Assemblée nationale, Jeannine Mubunda Lioko.
Mais seulement avec la taille du Congo, a-t-elle expliqué, « la situation dans l’Est fait que la situation du genre reste quand-même un défit « .
Afin d’accompagner cette campagne de lutte contre cette problématique sur le genre, des actions sont prévues par la commission du genre de la chambre basse du parlement, comme l’a précisé la députée nationale Christelle Vuanga, au cours de cette cérémonie.
Le go est donc lancé pour 16 Jours d’activisme contre toutes formes de violences basée sur le genre. Mais le défis il y en a encore assez, malgré le progrès axé sur genre en RDC.
Objectif est de mettre fin à la violence à l’égard des femmes partout dans le monde d’ici l’horizon 2030.