Alerte d’une ONG. Ils meurent à petit feu dit-elle. » Pas d’eau, pas de médicaments ni de nourriture. Ils sont mourants », a dit la coordinatrice de l’ONG NED.
Daniela Adèle ajoute que « 261 prisonniers sont entassés dans une petite cellule vétuste, sous la surveillance de se ou trois policiers seulement », indique-t-elle, avant de souligner que ces détenus ont la possibilité de s’évader, mais ils sont très affaiblis et sont peu violents.
Giscard Havril