La question était, ce jeudi 20 mai, au centre de la séance de travail sur l’évaluation à mi-parcours du Programme d’appui à la réforme de l’Aménagement du Territoire (PARAT). Cette activité a réuni autour du Ministre Guy Loando, le secrétaire général à l’Aménagement du territoire, la Cellule d’appui technique à la réforme de l’Aménagement du territoire (CAT) , le FONARRED et la société civile.

À cet effet, le Ministre Loando, s’inscrivant dans la vision du président de la République, Félix Antoine Tshisekedi et celle du gouvernement Sama Lukonde, a proposé la tenue d’une session de travail qui mettrait en présence plusieurs acteurs et structures impliqués dans cette question. Il s’agit entre autres de la Cellule d’appui juridique de son cabinet, des représentants de la société civile, ainsi que les membres de la Cellule d’appui technique à la réforme de l’Aménagement du Territoire, qui est l’ADN même de la politique du pays.

« C’est une réunion de suivi à celle que nous avons eu la semaine dernière avec le coordonnateur du Fonarred, le Ministre d’Etat, Ministre de l’Aménagement du Territoire nous a reçu en compagnie de deux évaluateurs qui sont en train d’effectuer l’évaluation à mi-parcours du programme de la réforme de l’Aménagement du Territoire », a déclaré Madame Mireille Athala, Conseillère principale en matière d’aménagement du territoire au Fonared.

Et d’ajouter : « Nous avons aussi été accompagnés par les représentants de la société civile qui avaient des observations résiduelles sur la PNAT et l’avant- projet de loi. Ils ont eu l’opportunité de transmettre une note au Ministre d’Etat qui a fait montre d’un grand esprit d’ouverture et a demandé à ce qu’il y ait une session de travail entre la société civile, la cellule d’appui juridique de son cabinet ainsi que la cellule d’appui technique à la réforme de l’Aménagement du Territoire ».

En rappel, le PNAT et l’avant projet de loi ont été validés respectivement par le conseil des ministres du 3 juillet 2020 et celui du 18 septembre de la même année. Ils devront faire l’objet d’une relecture pour y intégrer des enrichissements de la société civile.