A la publication du calendrier électoral le 5 novembre dernier, la commission électorale nationale indépendante congolaise a fixé des limites -à ne pas dépasser- en vue de lui permettre de tenir les délais du processus devant conduire aux scrutins dont les plus attendus sont le présidentiel, et les législatifs national et provincial au mois de décembre 2018.

Le premier d’entre eux, l’adoption de la loi électorale revue, prévue au plus tard le 30 novembre, n’a pas eu lieu comme souhaité par la commission électorale.

Le texte encore en examen à la Commission politique, administrative et juridique (PAJ) de l’assemblée nationale, diviserait encore les parlementaires, même ceux au sein de la mouvance présidentielle.

Les élus nationaux poursuivent encore les débats en commission pour ramener le seuil de représentativité de 3 à 1%.

En attendant son adoption, la promulgation de cette loi par le président de la République  est attendue au 15 décembre prochain.