L’humanité célèbre ce 31 juillet, la journée internationale de la femme africaine.
Une journée très peu reconnue, mais son institution première remonte pourtant à il y a une trentaine d’années.

À cette occasion, madame Brigitte Mbayiki Semivumbi bourgmestre de la commune de Karisimbi dans la ville de Goma parle d’une de la manifestation des valeurs des femmes africaines.

Pour elle, la femme africaine est aujourd’hui partout tout comme l’homme. Elle reconnait aussi que la femme est surtout au cœur des nos familles africaines, qui attendent beaucoup d’elle sur le plan de l’éducation.

Brigitte Mbayiki appelle les autres femmes à continuer à sauvegarder les valeurs africaines malgré la révolution de la modernité à différents niveaux.

Le 31 juillet a été consacré « Journée de la femme africaine » à l’occasion du premier congrès de l’Organisation Panafricaine des Femmes tenu à Dakar, au Sénégal, le 31 juillet 1974.

La date historique de 1962 souvent retenue pour cette journée est le 31 juillet 1962. Ce jour là, à Dar es Salaam (Tanzanie), des femmes de tout le continent africain s’étaient réunies pour la première fois et avaient créé la première organisation de femmes, la « Conférence des Femmes Africaines » (CFA).