Depuis que l’épidémie de coronavirus qui a été déclaré en République démocratique, du Congo le 10 mars 2020, le pays a mis en place une série de mesures qui visent à lutter contre la propagation de la pandémie.

Étant épicentre de la maladie, la ville province de Kinshasa a multiplié des mesures d’accompagnement, dans le but de contenir la maladie et de limiter sa circulation dans la ville.

Forces est de constater que, certaines mesures mises en place par l’autorité provinciale dans le but de réduire la propagation de celle-ci, ont plutôt servi à la répandre.
Lors de la première vague de Covid-19, le gouverneur de Kinshasa, Gentiny Ngobila avait décrété un confinement intermittent qui, à l’annonce avait crée une panique générale dans le chef de population de la capitale. Un engouement a été dans les marchés et dans les lieux publics, empêchant ainsi la distanciation physique et augmentation le risque de contamination à la covid-19. Peu avant que cette mesure soit suspendue par l’autorité l’ayant instaurée.

Les mauvaises habitudes ayant la peau dure, quelques semaines seulement après l’annonce officielle de la troisième vague, l’autorité urbaine instaure une autre mesure qui ne rend pas la tâche facile à l’équipe de riposte à la maladie à coronavirus.
Ce dernier limite le nombre des passagers dans les bus commis au transports en communs à 50% de sa capacité d’accueil.

Moins de quarante huit heures après l’annonce de cette mesure, un engouement hors pair a été observé dans la ville.
A la base de cette situation, la difficulté de prendre place à bord d’un bus ou taxi bus, et ce, sans compter avec la hausse de prix exorbitant du coût de transport.

Ce, après cette situation que l’autorité est, une fois de plus revenue sur sa mesure, en autorisant aux transporteurs de revenir aux nombres habituels des passagers dans un bus, tout en insistant sur le port obligatoire du masque.