Quelques heures après les conclusions des enquêtes et la décision prise en rapport avec la vidéo montrant des élèves en plein ébats sexuels dans un chantier à Kinshasa, plusieurs voix se lèvent pour condamner la sévérité d’une décision .

Selon Guy Mafuta Kabongo, Député national, la décision prise par les responsables de cette école et les autorités du secteur éducationnel est contraire au droit à l’éducation qui est garantie par la Constitution.

« Il faut sévir, mais la sanction ne devrait pas avoir comme conséquence la destruction de l’avenir de l’enfant. Aller jusqu’à interdire toute inscription ultérieure, c’est tué tout un avenir pourtant récupérable. Le droit à l’éducation est constitutionnel », s’est-il exprimé sur son compte Twitter.

Pour l’avocat et élu de Tshipaka, révéler les identités desdits enfants, favorise nullement leur récupération et réinsertion sociale, ce qu’il juge cela maladroit.

Pour plusieurs personnes, cette vidéo mettant en scène des élèves en pleine séquence pornographique, vient révéler aux yeux de tous, le niveau de dépravation des moeurs dans la société congolaise.