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Goma :A part quelques agitations à Majengo, la population a boudé l’appel de Lamuka à marcher contre Malonda ce lundi

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Visiblement, les habitants de Goma ont choisi de vaquer paisiblement à leurs occupations ce lundi 13 juillet 2020 alors que la plateforme Lamuka les a appelé à manifester ce lundi contre l’entérinement de Ronsard Malonda à la tête de la CENI.

Au centre ville de Goma , toutes les activités socio-économique tournent à la normale , même chose dans la partie Ouest de la ville où boutiques , magasins et marchés publics ont également fonctionné normalement.

Au nord de la vie , sur l’axe Instigo – 2 lampes- Mutinga, Majengo , les activités ont été paralysées partiellement lors d’une tentative de manifestion qui a été vite maîtrisée par la police et les activités ont repris à la normale dans cette partie de la ville.

Les transports en commun sont également visibles sur toute les routes de Goma, des mouvements habituels de la population vers Birere , un quartier commercial de la ville de Goma s’effectuent normale. Toutes les activités socio-économique s’y déroulent comme tous les jours.

Butembo: malgré la répression de la police, les partis politiques membres de Lamuka ont tenu leur marche.

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L’appel à la marche contre l’enterinement de Ronsard Malonda à la tête de la CENI a été suivi à Butembo, c’est dans la province du Nord-Kivu.

Cette marche qui a connue la participation des plusieurs cadres et militants des partis politiques membres du regroupement Lamuka, a été vite dispersée par les éléments de la police nationale congolaise.

Après quelques heures d’un face à face au rond-point Takenga et devant le bureau de COFEDEC entre la police et les manifestants, les manifestants ont fini par quitté le lieu.

Malgré l’empechement de la police, les manifestants ont réussi à lire leur mémorandum devant la presse locale, où ils font des recommandations aux différentes parties prenantes dans la désignation du nouveau président de la CENI.

La mairie de Butembo, par le truchement de son maire, Sylvain Mbusa Kanyamanda justifie cette répression par le fait qu’il aurait reçu la lettre d’information de Lamuka avec retard, à quelques heures seulement du début de la marche.

Signalons qu’au cours de cette marche, quelques manifestants et une moto ont été arrêtés puis relâchés après l’intervention d’un élu local en la personne de Mbenze Yotama qui était aussi présent dans la manifestation .

Matadi: Le promoteur de Palata TV aux arrêts

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Patrick Palata, c’est de lui qu’il s’agit. Le responsable de Palata télévision, émettant à Matadi, chef-lieu de la province du Kongo Central a été arrêté dimanche 12 juillet par les agents de l’Agence nationale des renseignements (ANR) rapportent plusieurs sources.

Il lui est reproché d’avoir diffusé la vidéo de la mort d’une dame, tuée à bout portant, par l’un des policiers membres de la sécurité du Gouverneur Atou Matubwana, informent les mêmes sources.

D’autres témoignages renseignent qu’en colère, la population de Bokowo, au Kongo Central a manifesté son ras-le-bol pour contester l’augmentation par l’OEBK de la taxe lors du passage sur le pont Maréchal. La population qui manifestaient jeudi 9 juillet dernier avait jeté des pierres sur le cortège du Gouverneur de cette province, c’est alors qu’un policier avait ouvert le feu. Une dame parmi les manifestants en est décédée.

Intervenant sur les antennes de radio Top Congo le lundi 13 juillet, le député Ne Kongo Fabrice Pwela a confirmé et condamné cet acte. Il a exigé que des poursuites soient engagées contre le chef de l’exécutif provincial déchu, mais qui continue à administrer la province.

Bukavu : la police disperse la marche de Lamuka et des partisans de l’AFDC

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La police a dispersé la marche de Lamuka ce lundi 13 juillet à Bukavu, dans la province du Sud-Kivu. Elle a usé de gaz lacrymogènes pour provoquer la déroute des manifestants de ce regroupement politique auxquels se sont joints les partisans de l’AFDC de Modeste Bahati.

Venus de Kalengera, dans la commune de Bagira, ces militants ont amorcé leur marche
dès les premières heures de la matinée. Ils ont envahi quelques artères de la ville pour protester contre l’entérinement de Ronsard Malonda, comme président de la CENI.

De courte durée, leur marche a été étouffée au niveau de la Bralima où se sont déployés les éléments de la police qui tenaient à les empêcher de faire jonction avec d’autres manifestants de la ville au niveau de la Place de l’indépendance, à Kadutu.

Des gaz lacrymogènes ont été aussitôt lancés pour les disperser. La police a profité de la débandade pour interpeller certains manifestants qui, sous la panique des tirs, tentaient de se sauver en empruntant des ruelles environnantes.

 » Plusieurs personnes ont été arrêtées. Les policiers se sont même mis à arracher aux manifestants des téléphones portables et de l’argent. Nous nous réorganisons pour rejoindre le reste des manifestants sur les autres axes. Nous irons jusqu’au point de chute : le gouvernorat de province », nous a soufflé Christopher Safari, le président fédéral de l’ARC au Sud-Kivu.

La même situation a été observée plus loin de la ville à Kamituga, où les partis membres de Lamuka ont tenté de rejoindre la rue, mais ils ont vite été réprimés par la police.

Pour l’instant, les manifestants ne jurent que sur la reprise de leur marche et se reconstituent en petits groupes pour reprendre la rue pour le dépôt de leur mémorandum qu’ils comptent remettre au Gouverneur de province à son cabinet.

Signalons que cette marche des partis politiques membres de Lamuka est soutenue par L’AFDC-A de Bahati Lukwebo, qui dit également non à l’avènement de Ronsard Malonda à la tête de la CENI.

Kinshasa : la pluie s’invite à la marche de Lamuka

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C’est ce lundi 13 juillet que les hauts cadres de la coalition Lamuka ont projeté leur marche contre l’entérinement de Ronsard Malonda à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (CENI). Contre toute attente, une pluie diluvienne s’est improvisée à Kinshasa dès les premières heures de la matinée, maintenant nombre de Kinois à domicile.

Un groupe de manifestants a toutefois tenté de braver la pluie en dévalant les rues. Regroupé sur le boulevard Lumumba, au niveau de Debonhomme, à Matete, ils ont vite été dispersés par la police qui a déployé ses éléments à travers les principales artères de la ville. Particulièrement, le long du boulevard Lumumba, choisi par les organisateurs de la marche comme principal itinéraire.

C’est vers 9h30 que la pluie s’est estompée, laissant aux manifestants l’occasion de regagner la rue. Maintenue pour ce lundi, la marche de Lamuka n’a pas reçu l’aval des autorités qui ont instruit la police de faire barrage aux manifestants, d’autant que le pays est encore sous l’État d’urgence, décrété par le chef de l’État.

Tout comme pour la marche du 9 juillet, initiée par l’Udps, parti de Félix Tshisekedi, les leaders de Lamuka ont décidé de braver la police, promettant eux-mêmes d’être dans la rue. A Kinshasa, Jean-Pierre Bemba a promis de se rendre à la Tshangu, le quartier populeux de la capitale, choisi comme point de départ de la manifestation.

Nord-Kivu/ Marche Lamuka: La police interdit tout attroupement de plus de 20 personnes en raison de Covid-19

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Tout rassemblement, toute marche ou toute activité reunissant plus de 20 personnes est strictement inerdit au Nord-Kivu.


Cette affirmation est du commissaire divisionnaire adjoint de la police nationale congolaise en province. Aba Van Ang insiste sur la lutte à la pendémie de covid-19 et pense qu’autoriser des marches en provinces serait aussi faciliter la propagation du Virus.
Celui-ci rappelle en outre que l’etat d’urgence a été proroger pour la sixième fois, et selon la volonté du président de la République plus de 20 personnes ne doivent etre ensemble.


Cette décision intervient à quelques heures avant une série des marches annoncées par la coalition Lamuka et d’autres mouvements citoyens à Goma pour contester l’enterinement de Ronsard Malonda comme président de la CENI.
De son coté, Lamuka persiste et signe sur la tenue de sa marche, quelle que soit la décision de la police.


Rappelons que jeudi dernier d’autres partis politiques et mouvements citoyens avaient tenté de marcher, mais étouffer par les agents de l’ordre, une centaine d’entre eux était interpellée.

FARDC/Haut-Katanga: Le Général de Brigade John Mulongo Dibwe a déserté

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Le Général de Brigade John Mulongo Dibwe, commandant en second en charge des opérations et du renseingement de la 22ième région militaire (province du Haut-Katanga) vient d’être « mis à la disposition de l’auditorat militaire pour désertion simple, violation des consignes et refus d’obéissance » . C’est ce qui ressort d’une correspondance du Chef d’Etat Major Général, le Général Célestin Mbala, dont une copie est parvenue à la direction de WWW.KINSHASATIMES.CD.

« Vous me tiendrez informé de la suite réservée à la présente (décision) » peut-on lire dans la correspondance du Générale Célestin.

La décision serait liée  à l’incursion des éléments Bakata Katanga le 28 mars dernier à Lubumbashi et plusieurs autres villes de la région. Au terme de l’enquête diligentée en son temps par le Vice-premier ministre et ministre de l’intérieur et sécurité, Gilbert Kankonde, plusieurs mesures avaient été prises dont le rappel du Général John et son chef à Kinshasa.

Entretemps, il circule ce soir sur les réseaux des messages vocaux qui seraient attribués aux Bakata-Katanga où ils annoncent une insurréction ce lundi 13 juillet.

Haut commandement militaire : Les FARDC promettent de neutraliser toutes forces négatives

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Le commandant suprême des forces armées de la république, président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a présidé ce samedi 11 juillet dans la salle des congrès du palais de la nation, une réunion de haut commandement militaire élargie aux commandants régions et des secteurs opérationnels de l’ensemble du pays.

Deux points étaient inscrits à l’ordre du jour : la présentation de la situation sécuritaire de l’ensemble du pays par le chef Etat-major général des FARDC et la causerie du chef de l’État, commandant suprême de l’armée.

Les officiers généraux, supérieurs et subalternes ont, dans leur engagement de loyauté lu par le porte-parole des FARDC, réitéré leur serment de ne jamais trahir la nation. Ils ont également traduit leur détermination de servir la patrie dans la discipline, abnégation et circonspection.

Ils ont promis au chef de l’État d’exécuter scrupuleusement et correctement toutes les instructions du commandant suprême en vue d’éteindre tous les foyers d’incendie et de neutraliser définitivement toutes forces négatives enfin de rétablir la paix sur toute l’étendue du territoire national.

Retenons que c’est pour la deuxième fois que chef de l’État recevait le haut commandement militaire après la réunion tenue en début de l’année au mois de février.

Marche anti-Ronsard: Le PPRD condamne les violences et promet de saisir la justice

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Au lendemain de la marche anti-Ronsard organisée dans plusieurs villes du pays, le Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD) condamne les actes de violence, barbarie et vandalisme des membres de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et promet de saisir la justice pour que des poursuites soient engagées contre les auteurs matériels et intellectuels, indique le communiqué rendu public samedi 11 juillet à Kinshasa.

Par ailleurs, le parti de Joseph Kabila qui prend à témoin l’opinion tant nationale et internationale a dans le même communiqué invité tous ses membres à préserver la paix et de défendre les institutions de la République, à rester vigilants et a se mobiliser comme un seul homme pour dire non à la dictature qui s’installe au pays et qui foule aux pieds la Constitution et les lois du pays, fait-il entendre.

L’ancien parti au pouvoir a annoncé aux cadres, militantes et militants qu’un calendrier d’activités à mener sera bientôt rendu public et leur demande de rester attentifs.

Parlement: La Commission défense et sécurité condamne les appels à la distribution et usage des armes par certaines formations politiques

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Dans un communiqué signé le vendredi 10 juillet par Jaynet Kabila, présidente de la Commission de défense et sécurité à l’Assemblée nationale, Jaynet condamne les appels à la distribution et usages des armes par certaines formations politique, lors des manifestations de jeudi 9 juillet dernier. Elle invité la justice de se saisir de tous les cas infractionnels, d’en établir les responsabilités et d’ordonner les poursuites, indique ce communiqué.

Reconnaissant la liberté d’expression et de manifester, telle que garantie par la Constitution, la Commission a fait le constat malheureux de quelques cas de violation. Il s’agit de la violation flagrante par les organisateurs de l’état d’urgence ordonné par le Président de la République ; le violation de l’interdiction de manifester annoncée la veille par le Gouvernement; les pertes en vies humaine et la destruction méchante des églises et sièges de certains partis politiques, souligne-t-on.

Finies les rumeurs : Benoît Lwamba a rendu le tablier

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Alors que circulent les rumeurs sur la démission du président de la cour constitutionnelle Benoît Lwamba et voire un démenti de celui-ci, la cour constitutionnelle vient enfin d’entériner sa démission. C’est ce qui ressort de procès-verbal de prise d’acte de cette démission par la juridiction suprême du pays.

« Ayant reçu ce jour chacun, en original, la lettre N° 217/CC/CAB.PRES/06/OO/2020 du 27 juin 2020, par laquelle Monsieur LWAMBA BINDU Benoit, Président de la Cour constitutionnelle, nous annonce déposer sa démission de ses fonctions de Président et de membre de la Cour constitutionnelle, pour des raisons de convenance personnelle, après avoir servi avec fierté, honneur et dignité la justice congolaise durant toute sa vie professionnelle », peut-on lire dans le procès-verbal.

Cette démission étant volontaire, la plénière en a pris acte sans s’y opposer.  « N’ayant trouvé aucun motif de nature à contrarier cette démission volontaire ; Prenons acte de la démission de Monsieur LWAMBA BINDU Benoit de ses fonctions de Président de la Cour constitutionnelle et de membre de cette Cour », souligne le procès-verbal.

Rappelons que Benoît Lwamba a été réélu lundi 9 juillet 2018 président de la Cour Constitutionnelle pour un deuxième et dernier à la Haute Cour.

 

Kinshasa : les 9èmes Jeux de la Francophonie fixés du 19 au 28 août 2022

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C’est désormais officiel. La 9ème édition des Jeux de la Francophonie se tiendra désormais du 19 au 28 août 2022 à Kinshasa. Ces nouvelles dates ont été retenues au cours de la 110ème session du Conseil Permanent de la Francophonie (CPF), tenue en vidéoconférence du 8 au 9 juillet 2020.

Initialement prévus du 23 juillet au 1er août 2021, ces jeux avaient été repoussés, à la demande de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), mais aucune date n’avait été fixée depuis. Il a fallu attendre la récente session du Conseil Permanent de la Francophonie pour que l’option soit levée.

Selon un communiqué de presse daté du mercredi 8 juillet dernier et transmis hier à Kinshasatimes.cd, c’est sous la présidence de la Secrétaire générale de l’OIF que les représentants personnels de chefs d’état et de gouvernement ont entériné les dates proposées par le comité international de jeux de la Francophonie lors de cette session.

Au rendez-vous, la représentante personnelle du Président Félix Tshisekedi, Isabel Machik Tshombe a profité de l’occasion pour inviter les Etats qui n’ont pas encore pris leur inscription aux Jeux de la Francophonie à pourvoir le faire.

Aux participants à la session du Conseil Permanent de la Francophonie, elle a rappelé les raisons qui ont poussé la RDC à solliciter le report de ces jeux de 2021 à 2022. Isabel Tshombe a notamment évoqué la pandémie de la COVID 19 qui a motivé les autorités congolaises à freiner les préparatifs et à solliciter le report.

Dans ce cadre, la représentante personnelle du chef de l’Etat congolais a remercié les États francophones qui ont été solidaires avec la RDC dans la lutte contre cette pandémie. «Cette crise démontre la nécessité d’une solidarité internationale pour répondre aux urgences sanitaires et économiques de l’heure. C’est pourquoi la RDC souscrit au multilatéralisme et appui la création du Fonds de solidarité de la Francophone pour les femmes de l’heure», a-t-elle fait remarquer.

Kinshasa: Démission de Tunda, vice-premier ministre de la justice

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« Je suis venu rencontré ce jour le Premier ministre chef du Gouvernement, après que j’ai eu à faire un examen personnel de la situation de l’heure, pour lui remettre officiellement ma démission en tant que vice Premier ministre, Ministre de la justice et garde sceaux » a déclaré samedi 11 juillet Célestin Tunda Ya Kasende.

Il a par la même occasion remercié Sylvestre Ilunga, chef du Gouvernement pour l’avoir encadré et au Président de la République pour la confiance qu’il a placée en sa personne, a-t-il déclaré au sortir de son audience avec le chef du Gouvernement.

Tunda a ensuite exprimé sa gratitude à sa famille politique, à ses collègues du Gouvernement et à toutes les autorités pour le soutien. Il affirme avoir apporté sa pierre de construction à l’avancement de la justice dans son pays.

 

Rappelons que Célestin Tunda ne prenait plus part aux conseils des ministres depuis environ deux semaines sur décision du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.

Le président de la République n’a pas trouvé normal le fait que le ministre de la Justice s’était permis de transmettre sur initiative personnelle, l’avis favorable du gouvernement au Parlement au sujet des propositions de loi initiées par Aubin Minaku et Garry Sakata sur la réforme de la justice.

Covid-19 : l’équipe de riposte rapporte 66 nouveaux cas confirmés pour la journée du 10 juillet 2020.

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Au total 66 nouveaux cas confirmés au coronavirus ont été notifiés ce vendredi en RDC par le bulletin quotidien du comité de riposte de Kinshasa.

58 de ces 66 cas ont été notifiés à Kinshasa, 3 au Sud-Kivu, 2 autres au
Nord-Kivu , 2 au Lwalaba et 1 au Sud-Ubangi.

Depuis le début de l’ épidémie du coronavirus en RDC, déclarée le 10 mars 2020, le cumul des cas est de 7.971, dont 7.970 cas confirmés et 1 cas probable.

Au total, il y a eu 189 décès (188 cas confirmés et 1 cas probable) et 3.615 personnes guéries ;
Le bulletin renseigne aussi que 148 cas suspects ont été détectés après investigations et 893 échantillons testés. Aucun nouveau décès parmi les cas confirmés.

Également 102 personnes sorties guéries des CTCO (Centres de traitement Covid)

Les 14 provinces touchées :
• Kinshasa : 6.798 cas ;
• Kongo Central :
351 cas ;
• Sud-Kivu : 271 cas ;
• Haut-Katanga : 260 cas ;
• Nord-Kivu : 181 cas ;
• Lualaba : 63 cas ;
• Haut-Uélé : 16 cas ;
• Tshopo : 13 cas ;
• Ituri : 5 cas ;
• Kwilu : 4 cas ;
• Sud-Ubangi : 4 cas ;
• Equateur : 2 cas ;
• Haut-Lomami : 1 cas :
• Kwango : 1 cas.

Maniema: Un téléphone sous charge explose et tue une jeune médecin à Kindu

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Wivine Tangawisi Okongo, 31 ans, mariée et mère de deux petites filles est bel et bien le nom de la jeune médecin qui est décédée de l’explosion du téléphone sous charge. Le drame s’est passé la journée de vendredi 10 juillet vers 10 heures.

La jeune médecin affectée depuis 2017 à l’hôpital général de référence de Kindu, province du Maniema est décédée d’une imprudence et ignorance des pratiques et usages de téléphone portable, affirme-t-on

« Elle s’était très bien réveillée le matin de vendredi 10 juillet. C’est vers 10 heures de la même journée que son téléphone qui était branché à une prise pour charge a sonné. Un appel entrant d’un de ses correspondants. L’imprudence commise par elle, c’est de décrocher pour parler avec la personne au bout du fil, pendant que le téléphone était sous charge. Du coup, il s’est explosé et elle en est décédée sur place », témoigne sanglotant Fiston Dimoke, son collègue médecin. Et d’ajouter: « j’ai fréquenté la même école primaire avec elle, nous étions également dans une même école secondaire avec elle, au collège Enano, j’ai partagé 7 ans d’université avec elle. J’ai plus perdu une soeur qu’une amie », précise-t-il larmoyant.

Au-delà de la désolation due à la mort de cette jeune médecin qui laisse derrière elle, deux petites filles et un homme veuf, il est une occasion de sensibiliser à la prudence mais surtout à l’usage responsable du téléphone portable et autres appareils électroniques. La maîtrise des pratiques préconisées éviterait les dégâts du genre.

Kinshasa: la 39ème réunion du Gouvernement s’est penchée sur les manifestations et l’évolution de la Covid-19

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La 39ème réunion du Conseil des ministres a tenu son rendez-vous la journée de vendredi 10 juillet 2020. Le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi a présidé comme d’habitude cette réunion par visioconférence, dans contexte de distanciation sociale due à la crise sanitaire due à la maladie à Coronavirus, ont indiqué les services de communication de la présidence.

Les échanges et débat ont tourné autour de deux points à savoir : les manifestations organisées par les leaders de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS) et l’évolution de la maladie à Coronavirus, indiquent les mêmes sources.

S’agissant de l’évolution de la Covid-19, le Président de la République a instruit que des enquêtes soient menées sur la gestion des fonds alloués à la riposte contre cette pandémie. Le Ministre de Communication et médias et porte-parole du Gouvernement a été convié d’en faire un compte-rendu comme à l’accoutumée, afin de permettre à l’opinion tant nationale qu’internationale, d’en savoir plus des décisions prises.

Marches anti-Malonda : L’UDPS donne un bilan de 6 morts, 92 blessées par balles et 115 personnes arrêtées

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L’union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) vient de rendre public le bilan de récents marches anti Ronsard Malonda. Dans un rapport publié ce vendredi 10 juillet 2020, ce parti avance un chiffre de 6 personnes mortes pendant les échauffourées entre les manifestants et les éléments de la police nationale. Le parti présidentiel fait savoir que parmi les 6 personnes figurent 3 mortes à Kinshasa, 2 à Lubumbashi, et une autre à Goma.

L’UDPS rapporte un nombre de 92 personnes blessées par balles réelles et 115 autres arrêtées par les forces de l’ordre sur toute l’étendue de la République.

Tout en présentant ses condoléances aux familles des victimes, le parti de Félix Tshisekedi rassure que ces actes de violence du 09 juillet 2020, comme ceux connus dans le passé, ne resteront pas impunis et promet que justice sera faite aux victimes.

L’UDPS tient pour responsables de ces actes le Gouvernement de la République pour dit-il, avoir dans son communiqué du 08 juillet 2020, tenu des propos qui incite la police à commettre des actes de violence.

Il demande également aux combattants ainsi qu’à toutes les forces vives de la nation de rester mobilisés et attentifs au mot d’ordre qui leurs sera donné au cas où le bureau de l’Assemblée nationale ne reviendrait pas sur sa position consistant à « imposer » Ronsard Malonda comme président de la CENI.

Kinshasa : Rita Bola ex DG de DGRK transférée à la prison de Makala ce vendredi.

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La directrice générale de la Direction générale des recettes de Kinshasa (DGRK), Rita Bola Dula, a démissionné de sa fonction mardi 7 juillet dernier, pendant qu’une commission d’enquête sur la gestion de cette régie provinciale a été mise sur pied par les députés provinciaux samedi 26 octobre 2019.

C’est à la suite de la motion d’information du député Désiré Mbonzi wa Mbonzi, qui dénonçait les conditions « difficiles » que traversent les travailleurs de cette entreprise publique. Ladite commission est dirigée par le député Mbonzi wa Mbonzi, épaulé par les députés Lisa Nembalemba et Osée Tshilumba Badibanga. Elle a eu une semaine pour documenter les éléments avant l’interpellation de Rita Bola.

Une autre commission précédemment instituée pour enquêter sur la DGRK n’a pas pu fonctionner suite au « manque de moyens ».
En mai dernier, l’ancien directeur général de la DGRK, Raoul Elenge, a été déchu de ses fonctions après ses explications à l’Assemblée provinciale sur la question orale avec débat lui adressée par l’ancien député Charles Mbuta Muntu. Il était accusé de « coulage accru des recettes publiques de la ville, de taxations forfaitaires imposées à certaines sociétés en violation de la loi fiscale en vigueur, de nantissement à outrance des recettes de certaines taxes à productivité fiscale insignifiante ou énorme, contre la surséance des missions de contrôle fiscal de la part de la DGRK ainsi que de la mauvaise gouvernance fiscale budgétaire et administrative de la régie financière de la capitale”.

Mme Rita Bola a été invitée ce mercredi 8 juillet au Parquet général près la cour d’appel de Gombe/Kinshasa sur des motifs qui lui ont été communiqués sur place.

Nord-Kivu : l’armée annonce avoir neutralisé 8 miliciens NDC-R à Walikale et à Masisi.

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Les forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC) annoncent avoir neutralisé huit miliciens du mouvement Nduma Defense of (Congo NDC-R) ce mercredi 07 juillet 2020 lors des violents Combats qui ont opposé deux factions de ce mouvement en territoire de Masisi et Walikale, après la destitution du général autoproclamé Guidon Shimiray Mwisa au poste de haut commandant de ce groupe rebelle.

Le communiqué des FARDC lu par Major Guillaume Ndjike Kaiko, porte-parole du secteur opérationnel Sokola 2 en province du Nord-Kivu, indique que lors de sa fuite au cours des combats qui ont opposé le général Guidon à son adjoint Julbert Bwira, ce dernier aurait fui avec 25 miliciens dont 8 ont été neutralisé par les FARDC.

« A l’heure qu’il est, laissez-moi vous dire que le monsieur a été destitué et s’est enfuit avec 25 éléments et 8 d’entre eux ont été déjà neutralisés par l’armée loyaliste avec ces unités qui se trouvent actuellement en pleine opération dans cette zone. L’objectif c’est de le neutraliser comme tout élément des groupes armés » indique le communiqué de l’armée.

L’armée en a profité pour inviter tous les autres groupes armés de a région à déposer les armes et à se rendre. Faute de quoi, ils subiront « la pression et la traque par les forces loyaliste qui travaillent dans le respect du vouloir du chef d’état-major de l’armée de la RDC » a conclu l’armée.

Ces violents combats entre ces deux factions se disputant le commandement du NDC-R ont occasionné un déplacement massif des populations de Pinga, Kinyatsi, Bukombo et Katsiru, Kashuga près de JTN/Katsiru fuyant les exactions commises par ces groupes rebelles pourchassés plusieurs fois par l’armée.

Signalons que cette énième scission après celle de 2014 lors de la relève de Guidon à Janvier Karairi du NDC, Il est actuellement probable qu’un grand nombre des combattants de la base du NDC-R ne sachent pas nécessairement qui rejoindre : le camp Bwira ou celui de Guidon ?
Mais jusque-là une grande confusion et psychose continue à régner dans le chef de la population de Walikale, Rutshuru, Lubero et Masisi qui ont vécu des dizaines d’années sous le contrôle des troupes rebelles qui y imposent leur loi.

Ituri : plusieurs personnes portées disparu dans une attaque signée par des ADF à Irumu

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Les rebelles ougandais des forces démocratiques alliées (ADF) ont encore effectué une nouvelle incursion dans le territoire d’Irumu en province de l’ituri la soirée du jeudi 9 juillet 2020.

Des sources sur place renseignent que cette nouvelle attaque a eu pour cible deux villages situés dans la chefferie des Banyali-Tchabi, non loin de Boga, à 50 kilomètres de Bunia, chef-lieu de la province de l’Ituri.

Elles indiquent que les rebelles ont kidnappé une dizaine des civils, avant d’emporter plusieurs animaux domestiques dont des vaches et des chèvres. D’autres biens comme les produits pharmaceutiques ont été également emportés par ces assaillants.

Une information confirmée par le président de la société civile d’Irumu Giligo Tabo. Joint au téléphone, il précise qu’après leur forfait, les rebelles se sont volatilisés dans la nature vers le parc national des Virunga où ils auraient érigé un campement après leur délocalisation à Mayangose.

« Ils ont emporté des animaux domestiques dont les chèvre et vaches. Ils ont aussi emporté des produits pharmaceutiques et kidnappé plusieurs personnes. Il n’y a pas eu des gens tuées sauf des kidnappés qui ont servi de porteurs à ces rebelles » indique Tabo.

Cet acteur de la société civile demande aux forces armées du pays de fournir plus d’efforts dans la sécurisation des civils et leurs biens.

Ituri : 2 déplacés tués par des miliciens CODECO à Djugu Deux déplacés ont trouvé la mort dans une attaque des miliciens de la Coopérative pour le développement du Congo (CODECO) ce jeudi 09 Juillet 2020.

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Les premières informations reçues dès sources locales précisent que ces dernières ont été exécutées par des miliciens dans leurs champs au village Boba, en territoire de Djugu, dans la province de l’ituri.

La société civile locale indique qu’il s’agit d’un homme d’environ 62 ans et une jeune fille d’environ 17 ans. La même source renseigne que les victimes faisaient la récolte des produits champêtres quand ils ont été surpris par des assaillants venus du village Petro du secteur des Walendu-Pitsi.

Jean-Vianney Ngesse président de la société civile de Mazé, qui confirme l’information, indique que les corps de victimes ont été récupérés et évacués au centre de négoce de Bulé pour un enterrement.

Il appelle les services de sécurité à mettre fin à cette insécurité devenue grandissante dans la région.

COVID-19 : L’inspection générale des finances veut voir clair sur la gestion des ressources allouées à la riposte

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Une mission d’audit sur la gestion des ressources mises à disposition de la riposte à la covid-19 a été diligenté par l’Inspection générale des finances (IGF). C’est dans ce cadre que quatre inspecteurs généraux de finances sont envoyés en mission auprès du Comité multisectoriel de la riposte à la covid-19 (CMR-COVID19), du Ministère de la Santé et de l’Institut national de recherche biomédicale (INRB).

La mission de contrôle durera 10 jours pour examiner l’utilisation de ces ressources depuis la déclaration de la pandémie en RDC en mars dernier jusqu’à ce jour.

Selon la copie de l’ordre de mission de l’IGF parvenue à la rédaction de WWW.KINSHASATIMES.CD, les inspecteurs vont “procéder au contrôle de la gestion des fonds, biens, dons et ressources de toute nature, mis à la disposition de ce Comité Multisectoriel, du ministère de la santé ainsi que de ses services spécialisés, notamment l’INRB”.

Le document souligne également qu’ils doivent “contrôler la destination et la justification des affectations données aux ressources susmentionnées ainsi que la régularité des engagements conclus par ces services”.

Rappelons que depuis quelques jours, des voix se lèvent pour dénoncer la gestion des fonds alloués à la lutte contre la propagation du coronavirus en RDC. Le personnel de la riposte entretemps a menacé d’aller en grève se plaignant de trois mois d’arriérés de salaire.

Le ministre de la santé, Dr Eteni Longondo a, quant à lui, déposé une plainte contre inconnu auprès du Parquet Général près la cour de cassation pour « imputations dommageables». Il réagissait à un mémorandum diffusé sur les réseaux sociaux l’accusant de gérer de manière opaque et calamiteuse les fonds alloués à la lutte contre le Covid-19. Selon ce mémorandum, « il existe un solide réseau mafieux créé à dessein pour détourner ces fonds ».

Fausses rumeurs : Le président de la Cour constitutionnelle Benoît Lwamba n’a pas démissionné (communiqué)

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l circule depuis peu sur la toile, des fausses rumeurs faisant état de la démission du président de la cour constitutionnelle et du conseil supérieur de la magistrature, Benoît Lwamba. Faux rétorque le concerné.

Il a publié un communiqué pour démentir cette fausse information.
Il se trouve à Bruxelles pour des raisons de santé et continue d’assumer ses responsabilités et il précise qu’il est détenteur d’un mandat en cours qui prendra fin en avril 2021.

Marche Udps: Marie Ange Mushobekwa appelle à des poursuites judiciaires contre Gecoco Mulumba pour atteinte à la pudeur.

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Marie Ange Mushobekwa, ancienne ministre congolaise des droits humains, actuellement députée nationale appelle à des poursuites judiciaires contre Gerard Gecoco Mulumba, député provincial Udps, pour atteinte à la pudeur.

La manifestation organisée jeudi 9 juillet par les leaders de l’Union pour la démocratie et progrès social (UDPS) continue à enliser le débat au sein de l’opinion. Au-delà du bilan sur les morts et blessés, dressé par les services de l’ordre et les organisateurs, un autre sujet vient de s’inviter. Il s’agit de celui suscité par une vidéo qui fait le tour des réseaux sociaux depuis ce vendredi 10 juillet, où l’on sait facilement repérer et écouter Gecoco Mulumba, député provincial Udps, inciter une jeune femme à pisser à la place publique sur la photo de Ronsard Malonda, lors de cette manifestation.

Un acte qui a fait monté colère et indignation dans plusieurs milieux. Et ce, du côté des personnalités, organisations de défense des droits de femmes tout comme du côté des opérateurs socio-politiques. Marie Ange Mushobekwa, députée nationale est de ceux-là.

S’exprimant dan son compte Twitter, elle condamne et appelle à des poursuites judiciaires à l’encontre de Gecoco Mulumba et la femme mise en évidence dans cette vidéo.

https://twitter.com/mushobekwama/status/1281591896045912064?s=12

Signalons que, indexé par cet acte, Gecoco Mulumba a depuis vendredi 10 juillet, présenté des excuses publiques aux femmes congolaises pour cet acte déshonorant. Dans une vidéo, le député provincial Udps a précisé ne pas être l’auteur de ce qui lui est accusé.

Rentrée de classes : un expert congolais propose la formalisation des cours en ligne

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La reprise des cours à l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) sera bientôt effective dans les écoles de la République démocratique du Congo. Les cours pourront reprendre entre le 20 et le 21 juillet après leur suspension le 19 mars dernier, a indiqué récemment Jean-Marie Mangobo, le Secrétaire général de l’EPST. Se voulant pragmatiques, des Congolais de la diaspora amorcent déjà des démarches pour solliciter l’intégration des cours en ligne en période post covid-19.

Invité de la radio Top Congo le vendredi 10 juillet, Pascal Mpiamena Zambili, un expert congolais en matière de l’enseignement à distance, suggère au Gouvernement congolais d’associer désormais l’enseignement en ligne à l’enseignement présentiel. Ce dernier, explique-t-il, requiert la présence de l’enseignant pendant les cours.

Installé à Texas, aux Etats-Unis, ce consultant de l’ONG ‘‘Classe en ligne’’ s’inspire de l’expérience de son pays d’accueil depuis le déclenchement de Covid-19. Cette pandémie a, en effet, poussé le Gouvernement américain à imposer à ses citoyens le confinement. Dans nombre d’écoles du pays de l’Oncle Sam, l’enseignement à distance a été mis à profit pour faciliter les cours à domicile et rattraper le temps perdu.

S’inspirant de ce modèle, l’ONG ‘‘Classe en ligne’’ a pris l’option de dupliquer cette expérience en République démocratique du Congo où plusieurs élèves sont restés cloitrés à la maison, sans pouvoir bénéficier de l’opportunité de suivre des cours à distance. Elle se propose d’animer un projet pilote qui serait mené dans trois principales villes du pays (Kinshasa, Lubumbashi et Matadi), promettant de fournir, à ses frais, la connexion internet aux écoles bénéficiaires.

Ainsi au Gouvernement congolais, Pascal Mpiamena Zambili propose ce qu’il appelle ‘‘enseignement hybride’’. Un concept qui allie la formation en ligne à l’enseignement traditionnel, marqué par la présence de l’enseignant dans la salle de classe. Il suggère même que l’enseignement à distance soit formalisé en RDC.

Convaincu qu’«on apprend mieux en ligne qu’en classe», l’expert congolais s’appuie sur des données scientifiques pour éclairer la lanterne des auditeurs de l’émission ‘‘Parlons-en’’. «Des recherches ont, en effet, démontré que l’enseignement en ligne a plus d’avantages que l’enseignement présentiel, d’autant que, dans le premier, les élèves assimilent les cours à 35%, et dans le second de 15 à 25%».

Aux dires de Pascal Mpiamena Zambili, grâce aux nouvelles technologies, la plateforme pour laquelle il travaille offre aux enseignants l’occasion de mettre leurs cours en ligne et d’enseigner à distance, avec la possibilité de poster des devoirs pour leurs élèves. Ces derniers ont, pour leur part, l’opportunité de réviser régulièrement leurs cours sur le net, voire de poser des questions dans un forum en ligne quand ils ont du mal à comprendre.

«Cette expérience en cours, amorcée dans quelques lycées catholiques de Kinshasa (Mpiko, Kabambare, Boyokani…), s’avère déjà fructueuse», constate le consultant de la plateforme ‘‘Classe en ligne’’. «En classe, on perdait 30 à 50 minutes à écrire au tableau, et il ne nous restait plus qu’une trentaine de minutes pour expliquer la matière. Avec le net, tous les cours sont désormais permanents en ligne. Dès lors, les élèves perdent moins de temps qu’en classe», témoigne un enseignant bénéficiaire du projet, qui s’est confié à Pascal Mpiamena.