Pendant près de 3 heures, les intervenants se sont succédés à la tribune de Sultani Hôtel pour lier « information et paix; » « information et développement durable », au cours de la deuxième célébration de la Journée internationale de l’accès à l’information, ce 28 septembre 2017.

« Promouvoir la culture de la paix et le développement durable à travers l’accès à l’information » est un thème qui cadre « avec un des aspects du Forum sur la paix et le développement tenu très récemment à Kananga », a salué le ministre de la communication et des médias, Lambert Mende Omalanga.

Pour rimer paix et information, a-t-il poursuivit, il s’avère important pour le journaliste dans son traitement de l’information, de pointer du « doigt ce qui ne va pas certes, mais aussi d’apporter sa part à la recherche des réponses aux défis collectifs que de se complaire à se mettre au service de ceux qui peuvent se payer ses services ou de faire l’apologie de la violence, » a recommandé Lambert Mende à la presse.

L’ambassadeur de l’Union européenne en RDC, Bart Ouvry a rappelé les multiples recommandations de son institution au gouvernement congolais sur l’accès à l’information avant de souligner qu’en matière d’information, le Congo d’aujourd’hui est mieux que celui d’y a vingt ans, depuis l’avènement des réseaux sociaux.

Le débat doit se poursuivre à la maison pour que la journée internationale de l’accès universel à l’information facilite le développement, c’est devoir du représentant de l’UNESCO en RDC, Abderrahmane Diallo donné au congolais.