Modeste Bahati Lukwebo, deuxième vice-président du Sénat de la République Démocratique du Congo (RDC), a obtenu le feu vert pour quitter le pays et se rendre en Belgique afin d’y recevoir des soins médicaux. Cette autorisation, accordée par le Sénat, intervient après des semaines d’attente pour le sénateur, dont l’état de santé nécessitait une intervention urgente à l’étranger.
La visite de Jean-Noël Barrot survient dans un climat particulièrement tendu. Mardi 28 janvier, des manifestants ont attaqué l’ambassade de France à Kinshasa, accusant Paris de fermer les yeux sur les actions du Rwanda.
Alors que la situation sécuritaire continue de se détériorer dans l’Est de la République démocratique du Congo (RDC), la présence militaire sud-africaine suscite des...
La ministre congolaise des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, a lancé mardi 28 janvier un avertissement sans détour au Conseil de sécurité des Nations...
La présidence de la République démocratique du Congo vient d’annoncer la cessation de toutes les activités diplomatiques et consulaires avec le Rwanda. L’ambassade de...
Le ministre de la Justice et Garde des Sceaux, Constant Mutamba, a invité, dans un communiqué publié lundi 20 janvier, toutes les confessions religieuses...
Dans une initiative qui pourrait redéfinir le paysage politique congolais, cinq anciens Premiers ministres de la République Démocratique du Congo ont publiquement appelé à une révision constitutionnelle. Kengo wa Dondo, Adolphe Muzito, Mabi Mulumba, Samy Badibanga et Likulia Bolongo ont signé une déclaration conjointe, mettant en lumière les défis socio-économiques actuels du pays et la nécessité d'une mise à jour de sa loi fondamentale.
La République Démocratique du Congo est secouée par une nouvelle vague de controverses autour de la figure de Anthony Tshisekedi, fils du président Félix Tshisekedi. Sa présence récurrente dans les grandes délégations officielles lors de visites à l'étranger a mis le feu aux poudres, soulevant des questions sur le népotisme, le financement public et la transparence gouvernementale.
Dans un communiqué mercredi 8 janvier, la France a condamné les récents affrontements survenus dans le Nord-Kivu, à l’Est de la République démocratique du...
Dans un message à la nation prononcé ce lundi, Fayulu a dénoncé ce qu’il qualifie de " désordre orchestré " depuis le " hold-up électoral de 2018 " et les élections contestées de 2023. Il a dressé un constat alarmant de la situation du pays, évoquant une corruption endémique, une insécurité croissante et une pauvreté extrême touchant une grande majorité de la population.