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RDC: Steve kivuata échelonne les éléments constitutifs du mauvais bilan du chef de l’Etat.

Le porte-parole de LAMUKA, Steve kivuata s’est livré au cours d’un entretien avec la rédaction de Kinshasatimes, ce vendredi 24 janvier 2020, à échelonner les éléments constitutifs du mauvais bilan du chef de l’Etat qu’il traite d’être complément et presque à cent pour cent négatif. Steve kivuata, s’est pas retenu à étaler les éléments qui […]

Le porte-parole de LAMUKA, Steve kivuata s’est livré au cours d’un entretien avec la rédaction de Kinshasatimes, ce vendredi 24 janvier 2020, à échelonner les éléments constitutifs du mauvais bilan du chef de l’Etat qu’il traite d’être complément et presque à cent pour cent négatif.

Steve kivuata, s’est pas retenu à étaler les éléments qui selon lui ont été les causes d’un bilan complément négatif du chef de l’Etat pour sa première année de gestion au pouvoir.

Il a d’emblée signifié qu’il y avait un manque de vision commune dans la gestion des choses publiques FCC-CACH sous la gouverne du président Félix Tshisekedi, et à poursuivie par donner les éléments ci-dessous :

« sur le plan politique, il y’a une forte crise politique, effectivement dû au cafouillage et la confusion au sommet de l’état, sur le plan économique, il y’a une ingérence de la chose publique, il y’a non respect de la chaîne des dépenses ainsi que les règles de passation de marcher publique, il y’a un déficit budgétaire de 300 millions $ dépasser en 2019, il y’a des affaires concernant des millions des dollars que la justice n’a pas pu tranché la même année, l’instabilité du tôt de change, la diminution du pouvoir d’achat de la population, la hausse des frais académiques dans les universités et institution de l’Etat, des mauvaises qualités des routes construites pour 100 jours, qui n’ont duré que 100 jours, les inondations et la difficulté d’accès aux soins de santé primaires qui occasionnent des morts d’hommes. » a-t-il cité.

Il ajoute par ailleurs qu’il aurait épinglé la politique sur la gratuité de l’enseignement, qui est un acte constitutionnel et bénéfique pour beaucoup des ménages comme l’élément réussi du bilan du chef de l’Etat. Mais il affirme que cette politique a été mal conçue et aujourd’hui elle a des conséquences aussi négatives.

Le porte-parole de Lamuka, à cependant rappeler que la liberté des manifestations étant un acte constitutionnel et également un droit, devait être respecté comme tout autre acte constitutionnel. Il cite les manifestations du 30 juin 2019, ainsi que 17 janvier 2020.

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