Après avoir examiné à huis clos la possibilité d’une liberté provisoire de Kamerhe et Jammal, la chambre du conseil du Tribunal de grande instance de Kinshasa/Gombe a rejeté la demande.
C’est donc pour la troisième fois consécutive que la justice congolaise a rejeté la demande de liberté provisoire sollicitée par les avocats de Vital Kamerhe.
Désormais, c’est sur la mesure de désengorgement des prisons envisagée par le gouvernement pour lutter contre la propagation du coronavirus dans les milieux carcéraux que réside l’espoir d’un probable remise en liberté du Président national de l’UNC.
Les co-accusés sont accusés pour détournement des fonds alloués au projet de 100 jours lancé par le Président Félix Tshisekedi