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“Ecocongo”, nouveau mouvement environnemental, placé au goût du jour

Habillés en t-shit blanc avec des ecrits verts, Ils affichent des visuels ça et là dans les rues de Kinshasa, capitale de la Republique democratique du congo. De la commune verdoyante de Ngaliema à Kintambo en passant par la commune de la Gombe, un seul message “agir aujourd’hui pour mieux vivre demain”. C’est le lancement […]

Habillés en t-shit blanc avec des ecrits verts, Ils affichent des visuels ça et là dans les rues de Kinshasa, capitale de la Republique democratique du congo. De la commune verdoyante de Ngaliema à Kintambo en passant par la commune de la Gombe, un seul message “agir aujourd’hui pour mieux vivre demain”. C’est le lancement du mouvement citoyen des jeunes pour l’éveil de conscience environnemental “Ecocongo”.

« C’est une entrée en lice dans ce chantier qu’on appelle environnement on voulait juste lancer un message pour mettre tout le monde au parfum d’un mouvement environnemental qui existe dès aujourd’hui et aussi les sensibiliser quant à la lutte contre l’insalubrité et la protection de l’environnement», Explique Alphonse Lufuluabo coordinateur de Ecocongo.

D’après lui, l’objectif de ce mouvement sans but lucratif est de conscientiser la population face à ce danger de pollution qui guette le monde entier. « nous avons constaté une inconscience collective. Nous produisons, nous consommons, mais nous ne savons pas gérer nos déchets. Nous voulons faire comprendre à la population congolaise que nous devrions bien gérer nos déchets jusqu’à leurs destination finale et non de les jeter en cours de routes, dans les caniveaux, dans les rivière etc», dit-il.

Ces militants de l’écologie envisagent des actions “vertes” chaque année “pour amener toutes les couches qui composent la société congolaise, notamment les gouvernants, les gouvernés, les responsables des entreprises mais aussi er surtout la jeunesse avenir de demain à changer leur mentalité».

«J’en appelle à toutes les personnes de bonne volonté à nous rejoindre pour nous», conclut M. Lufuluabo.

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