La Première dame de la République démocratique du Congo Denise Nyakeru Tshisekedi est déterminée à la création d’un fonds national de réparation en faveur des victimes des violences sexuelles et autres crimes commis en RDC.
« Les victimes des violences sexuelles liées au conflit et des crimes contre la paix et la sécurité de l’humanité commis en RDC ont droit à des réparations adéquates pour le préjudice subi », a soutenu la Première dame de la République Denise Nyakeru Tshisekedi.
Dans cette démarche de matérialisation, l’épouse du chef de l’Etat a fait savoir que ce processus en cours de mise en place d’un fonds national de réparation des victimes des violences sexuelles et autres crimes en RDC (FONAREV) est irréversible.
Martelant sur la nécessité de cette mise en œuvre, le jeudi dernier, la Première dame de la RDC a participé à une séance technique de validation de l’avant projet de loi portant sur les principes fondamentaux relatifs à la protection des victimes des violences sexuelles liées aux conflits et crimes graves.
La main mise des experts en la matière
Cette journée, a connu la participation des plusieurs experts tant nationaux qu’internationaux à cette problématique, qui ont échangé avec la commission mixte du FONAREV, afin d’apporter expertise et stratégie d’appuie quant à la bonne mise en œuvre de ce projet initiée par Mme Nyakeru.
Après la contribution des experts susmentionnés, suit l’étape de la création proprement dite de ce fonds consacrée à la protection des victimes des violences sexuelles liées aux conflits et crimes graves.
En octobre 2021, une table ronde inclusive a été organisée pour la mise en place de ce fonds de réparation, en présence du chef de l’Etat Félix Tshisekedi et de plusieurs autres membres du gouvernement. Le Président de la République avait résolu au cours de cette table ronde, d’inscrire cette question comme l’un des priorités de son gouvernement.