La question électorale taraude tous les esprits en République démocratique du Congo (RDC). Nombreux acteurs, partis et regroupements politiques concernés par ces scrutins, voudraient que balise soit faite sur la loi électorale, ce, avant la tenue en 2023, des élections législatives nationales et provinciales, ainsi que la présidentielle que le pays se prépare à organiser.

Le Centre de Germain Kambinga est de ceux-là qui estiment que la loi électorale actuelle, avec son seuil et la caution tels que légiférés doivent subir quelques modifications. Question de permettre une marge de manœuvre aux participants.

Samedi 9 avril dernier, ce regroupement politique a déposé une série d’amendements au bureau de l’Assemblée nationale, chambre Basse du Parlement congolais. Chez Mboso, Germain Kambinga s’est opposé au seuil et à la caution qui, pour lui est exorbitante. « Nous avons participé aux élections de 2018 et avons donc une expérience électorale », a-t-il déclaré.

Pour l’ancien ministre de l’Industrie, il faut sans lunettes, parler du bon et mauvais côté de l’actuelle loi électorale qu’il connaît mieux. « Nous connaissons les bons et les mauvais côtés de l’actuelle loi électorale », a-t-il soutenu.

Giscard Havril