La chanson » Nini to sali » du groupe MPR et celle, « Lettre à ya Tshitshi » de Bob Elvis ne cessent d’attiser le débat au sein de l’opinion, de puis leur sortie sur le marché de disque.

Après la mesure portant leur diffusion sur toute l’étendue du territoire congolais. Après la demande de la levée, 24 heures après de cette mesure, des réactions dans les milieux politiques ne cessent de couler.

La dernière en date est celle de Martin Fayulu Madidi, président de l’Ecidé (Engagement citoyen pour le développement).
Le candidat malheureux à la dernière présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) a salué l’ingéniosité des jeunes artistes musiciens, tout en soutenant que la liberté d’expression est un droit fondamental pour tous.
« Je salue la clairvoyance des jeunes musiciens congolais dans leurs interrogations-interpellations, à travers les chansons telles: « Nini tosali te » ; « Peuple aboyi RAM » ; « Lettre à ya Tshitshi » ; « Le président a été nommé » ; « politicien escroc…, se ressaisir, comme peuple, est un devoir », a-t-il déclaré via son compte Twitter.

En rappel, dans leurs différentes chansons, les jeunes tenanciers de la musique qualifiée de révolutionnaire, expriment le ras-le-bol et la déception de la majorité du peuple congolais.