Les populations de la province du Nord-Kivu se souviennent en ce 2 octobre des massacres qui ont endeuillé les familles dans cette partie du pays.

Le Centre la paix, la démocratie et le droit de l’homme (CEPADHO) profite de cette occasion pour attirer l’attention du gouvernement sur l’insécurité persistante dans cette région.

Dans une déclaration publiée le dimanche 01 octobre 2017, le CEPADHO attire l’attention du gouvernement sur la situation sécuritaire qui ne s’est pas encore totalement améliorée car la menace des rebelles ADF est encore perceptible dans la région.

 « Les premiers de mois de massacre à Béni ont été caractérisés par des actes inhumains. Le CEPADHO se réjouit quand même qu’à ce stade les acteurs de ces tueries  sont démasqués grâce aux recherches objectives et le procès mené par la cour militaire opérateur du Nord-Kivu. Nous continuons à alerter le monde d’autant plus que la menace terroriste n’est pas éradiquée totalement », a déclaré le coordonateur de CEPADO  Omar Kavota.

Les habitants du Nord-Kivu et la communauté internationale sont appelés à s’approprier du travail abattu par la cour militaire opérationnelle dans la répression dans le crime de masse commis à Béni.