Le mouvement citoyen Génération positive exige la démission volontaire de madame Bahati Maheshe Pascaline, coordinatrice de la Cellule de sécurisation de procès verbaux à l’usage des centres de contrôle technique automobile (CSPVCCT)en province du Nord-Kivu.

Dans un point de presse tenu ce lundi 04 avril 2022 au centre de presse de Goma, Jimmy Nzialy Lumangabo membre de ce mouvement a fait savoir que plusieurs griefs sont reprochés à la coordinatrice de la CSPVCCT, notamment l’amateurisme dont elle ne cesse de faire preuve, surtout avec la violation flagrante de l’article 8 du cahier de charge régissant ce secteur. Il affirme que la coordinatrice aurait été placée à ce poste par le fait qu’elle soit épouse d’un député provincial, mais ne mérite pas cette lourde et haute fonction vu son incapacité notoire.

Maître Jimmy Nzialy alerte également la légèreté dans la gestion de ce secteur de contrôle technique en province du Nord-Kivu depuis l’avènement de madame Bahati Maheshe Pascaline.

Il demande qu’une commission d’enquête constituée des agents du gouvernorat, du ministère de transport et voies de communication, de la division de transcom et des techniciens, de la société civile et de de l’association des chauffeurs, soit mise sur pieds pour se rassurer que tous les centres respectent les conditions fixées par le cahier de charge par rapport aux rôles et but du contrôle technique.

Il faut noter que cette décision du mouvement citoyen Génération positive fait suite à plusieurs communiqués signés par la CSPVCCT, dont le plus recent est celui rendu public le 30 mars dernier portant sur les centres de contrôle technique automobile officiellement reconnus dans la province du Nord-Kivu.