Les données rendues public le 05 juin par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont révélé qu’aucun nouveau cas d’Ebola n’a été notifié.
Une riposte aussi costaude contre cette maladie à virus Ebola, ressurgie depuis le 24 avril de l’année en cours dans la ville de Mbandaka en province de l’Equateur.
Selon l’OMS, la situation sur la propagation reste tout aussi stagnante grâce aux efforts de toutes les parties prenantes, avec un cumul de 5 cas, dont 4 cas confirmés et 1 cas propable.
Les victimes touchées représentent un total de 4 hommes et une femme, réparties dans 2 zones de santé, Mbandaka et Wangata.
Le cumul de personnes vaccinées revient à 1.564, incluants contacts et agents de 1ère ligne, indique cet organe onusien en charge de la santé.
L’équipe technique censé procéder à l’identification, recensement et enrôlement de la population congolaise entamera l‘étude de cahier des charges des différents ministères impliqués, lesquels contiennent les règles de collecte, de stockage et de transmission des données.
Le ministre du numérique, Eberande Kolongele l’a annoncé après une réunion lundi 06 juin entre le chef du gouvernement et le comité pilote de cette équipe technique. Il s’agit en effet, des représentants de tous les ministères et ceux des services publics concernés par ces opérations pour la planification du développement national ainsi que l’organisation correcte des prochaines élections.
Eberande Kolongele a fait savoir que, le comité technique va démarrer d’ici la semaine prochaine le processus de validation dudit cahier des charges afin de donner l’impulsion à toutes les autres étapes du processus.
« Le Gouvernement est dans une démarche cohérente pour récolter les données de nos concitoyens qui seront utilisées à différents niveaux par différents services de l’Etat. Nous avons la CENI pour les opérations électorales, l’ONIP pour l’identification de la population, et l’INS pour les statistiques qui doivent être constituées », a déclaré le ministre du numérique.
A l’en croire, le souci du Gouvernement aujourd’hui, était de faire le point sur l’évolution de cette mutualisation, savoir quels moyens adoptés pour que ce processus démarre avec l’implication de tous les différents services.
C’est dans l’avant-midi de ce mardi 7 juin que le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) est arrivé en ville de Kananga au Kasaï Central.
D’après le service de communication du ministère de l’EPST, sur place, il sera question pour lui d’échanger avec les responsables de ce sous-secteur.
En outre, le numéro 1 de l’EPST va également procéder à l’évaluation de la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire dans cette partie du pays.
Aussi, faire un état des lieux global du sous-secteur au niveau local et donner des nouvelles directives pour mener à bien les réformes en cours.
« Le ministre de l’enseignement primaire secondaire et technique Tony MWaba Kazadi est arrivé à Kananga ce mardi dans le cadre des tournées d’itinérance en vue d’evaluer la mise en oeuvre de la gratuité de l’enseignement primaire, projet phare du chef de l’Etat , faire un état de lieu global du sous secteurs au niveau local et donner des nouvelles directives pour mener a bien les réformes en cours », a-t-on appris des sources sur place.
À 48 heures de leur deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Can) Côte d’Ivoire 2023 face au Soudan, les choses semblent mal tourner pour les congolais.
Alors qu’ils devaient avoir une séance d’entraînement lundi 6 juin, les fauves congolais étaient surpris de voir que le terrain mis à leur disposition ne répondait pas aux normes.
D’après la Fédération congolaise de Football Association (FECOFA), le premier terrain mis à la disposition de la sélection congolaise était dans le noir, à l’arrivée du bus des joueurs, le terrain de la fédération, est peu éclairé et non praticable.
« Les joueurs sont rentrés à l’hôtel Al Salam pour travailler dans la salle de musculation de l’hôtel », a fait savoir la FECOFA.
Troisième au classement actuel après sa chute face au Gabon, la RDC va affronter ce mercredi 8 juin le Soudan qui occupe la dernière position après sa défaite face à la Mauritanie.
Une délégation des investisseurs coréens s’est entretenue lundi 6 juin dernier avec la vice-ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) Aminata Namasia.
Au menu de leur échange, la question sur le changement de mentalité des élèves en vue de mettre la République démocratique du Congo (RDC) en voie de développement.
Ces Investisseurs coréens cités parmi ceux qui ont construit Dubaï, ont soutenu que les élèves constituent l’avenir de demain, d’où la nécessité de les préparer à s’outiller de la mentalité du développement.
Relevant que la Corée du Sud s’est développée grâce au changement de mentalité de certains de ses leaders, d’après eux, « pour que la RDC puisse se développer, il faut bien instruire sa population».
Ainsi, ils envisagent la construction de plusieurs centres de formation au pays afin d’aider les jeunes élèves à suivre des programmes spéciaux de changement des mentalités.
Très ouverte, la vice-ministre de l’EPST Aminata Namasia a promis de faire part de cette initiative à sa hiérarchie, a indiqué le service de communication de ce ministère.
Deux militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) ont été tués et cinq autres blessés lundi 6 juin lors des combats face au Mouvement du 23 mars (M23), au groupement de Jomba, territoire de Rutshuru au Nord-Kivu.
Dans un communiqué rendu public ce même lundi, la province du Nord-Kivu exprime son regret de voir cette énième attaque du M23 malgré les appels lancés par les instances africaines et internationales.
En outre, cette attaque est également survenue en dépit de la réunion de Goma des Chefs de défense de la communauté des États de l’Afrique de l’Est, consacrée à la recherche des solutions aux problèmes sécuritaires dans cet espace communautaire, ajoute la même source.
Rassurant que les FARDC continuent à pilonner les positions des terroristes, le porte-parole réaffirme que l’usage des canons à longue portée témoigne du soutien que le M23 bénéficie de son allié naturel.
« Face à cette situation et aux intentions belliqueuses du M23, les Forces Armées de la République démocratique du Congo ne sont pas restées les bras croisés », a-t-il soutenu dans ce document.
Alors que la République démocratique du Congo se mobilise pour accueillir ce mardi 07 juin le souverain couple royal Belge, la journaliste belge et spécialiste de la RDC, Colette Brackman estime que le gouvernement congolais a d’autres préoccupations majeurs à résoudre.
Dans une interview accordée lundi 6 juin à TV5MONDE sur la visite du roi Philippe en RDC, cette analyste a relevé que le pays du président Tshisekedi a des problèmes beaucoup plus complexes à résoudre, notamment la crise économique et la question liée à la corruption qui demeure un facteur parricide pour le pays.
« Le roi Philippe doit prononcer un discours devant le parlement congolais. Il va aussi s’entretenir avec des étudiants congolais. Durant ses discours, il va notamment parler de la restitution des œuvres d’art congolais qui sont toujours en Belgique. Lors de cette visite, il doit aussi ramener un masque. Mais selon moi les populations congolaises ont vraiment d’autres préoccupations actuellement. Il y a la guerre civile, la crise économique, la corruption…”, a-t-elle déclaré.
Cependant, elle a reconnu que cette visite rêvait d’un enjeu important pour la République démocratique du Congo, étant donné que le roi Philippe a reconnu courageusement les erreurs que son royaume a infligé en RDC pendant la période coloniale.
Dans cette même logique, Colette Brackman a relevé que cette visite pourrait avoir des nombreuses répercussion en Belgique. « Il a la volonté d’aller vers l’apaisement. Cette visite peut avoir des nombreuses répercussion en Belgique », a lâché l’analyste belge.
Le roi Philippe et son épouse, arrivent ce mardi 7 juin en RDC sur invitation du Président congolais Félix Tshisekedi.
Une délégation de l’Office national d’identification de la population ( ONIP) a été reçue ce lundi 6 juin par Eddy Mwanzo, Directeur de cabinet du ministre de l’Enseignement, primaire secondaire et technique (EPST).
Il a été question, lors de cette rencontre, de discuter de la possibilité de procéder à l’identification des élèves.
Présente à cette réunion, la Directrice de Semi, service chargé d’identifier les élèves à l’EPST, a soulevé la question liée au manque de matériels appropriés.
Tommy Ntumba, qui a conduit cette délégation a affirmé que l’EPST a exprimé la volonté de collaborer avec l’ONIP, ce, avant de rassurer que cette structure est disposée de travailler avec ce ministère.
D’après le service de communication de l’EPST, les deux parties se sont mises d’accord d’organiser un cadre de collaboration en vue d’arriver l’effectivité de cette identification.
Les rebelles ougandais alliés democratic force (ADF) ont signé une nouvelle incursion la nuit de dimanche à ce lundi 6 juin dans le territoire d’ Irumu en ituri.
Au total 20 morts, plusieurs personnes portées disparues et plus de 30 maisons incendiées , a-t-on appris de la société civile.
« L’ennemi qui est l’ADF a signé une incursion à Otomabere. Pour le moment le bilan provisoire est de 20 morts tous des civils et plusieurs portés disparus », fait savoir Guli Gotabo, président de la société civile forces vives d’Irumu lors d’un entretien téléphonique accordé à nos confrères de 7sur7.cd.
Et d’ajouter :« Après avoir tué les civils, l’ennemi a incendié de nombreuses maisons dont on compte pour le moment plus de 30. Parmi les victimes, 8 ont été calcinées dans des maisons».
Cependant, Christophe Munyanderu, coordinateur de la Convention pour le respect des droits humains (CRDH) antenne d’Irumu, exhorte la coalition FARDC-UDPF à amorcer des opérations militaires dans cette partie de la province de l’Ituri et appelle la population à rester vigilante.
Une psychose généralisée s’est emparée des habitants de l’agglomération de Bwanasura qui ont quitté chez elles et se dirigent vers des zones supposées sécurisées.
Après plus d’une semaine d’accalmie, les affrontements sont de nouveau signalés ce lundi 06 juin dans plusieurs villages du groupement Djomba entre les Forces armées de la RDC et les terroristes hutu rwandais du M23.
Des sources sur place affirment que les hostilités ont repris depuis 4 heures du matin quand les FARDC ont voulu délocaliser ces rebelles dans leurs positionnements à Tchanzu et Runyonyi dans le territoire de Rutshuru.
Les combats à des tirs à l’arme lourde se sont poursuivis jusqu’aux environs de 10h, l’heure à laquelle plusieurs localités étaient déjà récupérées par les forces loyalistes des mains du M23.
Le colonel Guillaume Ndjike Kaiko, porte-parole des opérations Sokola 2 indique que l’armée congolaise maintient toujours toutes les positions jadis occupées par les rebelles, notamment Muhati.
Il a ajouté que, tous les efforts sont actuellement mis en place dans les villages de Runyonyi et Tchanzu pour déloger l’ennemi.
Plusieurs poissons retrouvés sans vie dans la soirée du vendredi 03 juin dernier dans le golfe de kabuno dans le lac Kivu.
Alerté par ses services, le ministre des Hydrocarbures, Didier Bidimbu a aussitôt dépêché dimanche 05 juin, une équipe des scientifiques à Bweremana au Nord-Kivu et à Minova au Sud-Kivu pour s’enquérir de la présence des poissons morts dans ce lac riche en gaz méthane.
Cette équipe des scientifiques composée de chimistes et d’autres experts, tous membres de l’unité de gestion du projet de dégazage du golfe de Kabuno.
Ladite équipe aura pour mission de « confirmer l’émanation de gaz, d’en déterminer la nature au cas échéant et de vérifier la nature ainsi que l’état technique de la station pilote » indique la dépêche de la cellule de communication du ministère précité
Cependant dans ce document, le ministère des Hydrocarbures rassure la population que cette situation observée fait partie de la survie du lac Kivu et survient périodiquement.
En attendant le rapport de cette mission, le ministre appelle les habitants environnant le site de Minova et Bweremana de « résister à la tentation de se rendre au golfe de Kabuno, se conformer aux directives avisées des autorités locales, éviter toute initiative et signaler sans délai aux autorités tout fait anormal lié aux comportement du lac et des poissons ».
La population des agglomérations riveraines n’ont pas hésité à consommer en grande quantité ces poissons retrouvés morts qui jonchent la surface et le bord du lac Kivu, ce, sans connaître au préalable la cause de ce phénomène.
C’est depuis dimanche tard la nuit que les Léopards de la République démocratique du Congo (RDC) sont arrivés à l’aéroport de Khartoum au Soudan.
Ce, dans le cadre de la deuxième journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (Can) Côte d’Ivoire 2023.
Après l’humiliation au stade des Martyrs samedi dernier face au Gabon, les fauves congolais vont tenter à faire la différence le mercredi 8 juin prochain face au Soudan.
Les hommes d’Hector Cûper ont été battus à domicile sur le score étriqué d’un but à zéro par les Pathères du Gabon, désespérés suite aux problèmes techniques connus à quelques heures du match.
Au classement actuel, la Mauritanie trône avec 3 points,, suivi du Gabon avec différence de buts, la RDC et le Soudan occupent les deux dernières places avec 0 point chacun.
La République démocratique du Congo (RDC) continue à pointer du doigt le Rwanda de l’avoir agressé par le Mouvement du 23 mars (M23).
La déclaration de Félix-Antoine Tshisekedi son Président, depuis la ville d’Oyo, au Congo Brazzaville, où il a rencontré le dimanche 5 juin, son homologue Dénis Sassou Nguesso, en est une preuve éloquente.
“J’ai toujours soutenu qu’il fallait construire des ponts au lieu de construire les murs. Ça toujours été mon leitmotiv. Malheureusement aujourd’hui, nous en sommes là où nous sommes et j’espère que la situation n’en restera pas là. Le fait de vouloir la paix, la fraternité, la solidarité n’est pas une faiblesse. La République démocratique du Congo que je dirige et celle que je veux voir est un pays où règne la paix, la sécurité, l’hospitalité parce que notre pays l’a toujours été”, a déclaré Tshisekedi sur les antennes de RFI, la radio française.
Cependant, le chef de l’Etat congolais ne s’est limité là. Il a martelé en ajoutant: “ Mais cela ne doit pas constituer une occasion pour des voisins de venir nous provoquer. Donc j’espère que le Rwanda a retenu cette leçon. Parce qu‘ aujourd’hui c’est clair, le Rwanda a toujours soutenu le M23 pour venir agresser la République démocratique du Congo. Et j’en veux pour preuve, le simple fait qu’en 2013, le même M23 avait été totalement défait et leur arsenal avait été confisqué. Si aujourd’hui ils ont repris du poils de la bête, ça veut dire qu’ils sont partis de quelque part, armés par quelque part”, a-t-il dit clairement.
De son côté le Président congolais Dénis Sassou Nguesso s’est déclaré confiant dans la résolution de la crise entre la RDC et le Rwanda.
Tenant compte des ressources naturelles que compte la partie Est de la République démocratique du Congo (RDC), le Président Félix Tshisekedi tient à créer une zone économique spéciale pour la gestion de ces richesses que regorge le pays.
Cette volonté du President congolais exprimée lors de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres, entre non seulement dans le cadre de la restauration de la paix dans cette partie du pays, mais contribue également au maintien d’une sécurité définitive des provinces de l’Est du pays.
« Le Président de la République a souligné la nécessité de mettre en place les bases de la renaissance économique de ces provinces qui regorgent d’innombrables richesses naturelles gazière, minière, agricole, touristique, ainsi qu’un potentiel humain remarquable pour leur transformation », a rapporté le compte-rendu de cette réunion.
Le président de la République a également estimé que des études de faisabilité doivent être entreprises pour la réalisation d’une deuxième Zone Économique Spéciale dans la partie orientale du territoire national.
Selon lui, celle-ci aura la particularité de promouvoir la culture de la paix grâce à l’émergence d’un réseau intégré de Petites et Moyennes Entreprises, de Petites et Moyennes Industries, actives dans les secteurs aussi variés tels que l’agro- alimentaire, l’énergie, le tourisme, les nouvelles technologies.
« Le Gouvernement devrait s’activer pour que la mise en œuvre de cette Zone Économique Spéciale se matérialise dès l’exercice budgétaire 2023 », a ajouté la même source.
Le rapport de ces études est attendu à la première réunion du Conseil des ministres du mois de septembre 2022.
C’est déjà pour ce mardi 07 juin que le Roi Philippe et la reine Mathilde de Belgique, vont fouler le sol congolais accompagné d’une délégation gouvernementale.
Pour les accueillir, Augustin Kabuya secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), parti au pouvoir a lancé ce lundi 06 juin, un appel à la mobilisation générale à l’Aéroport de N’djili où ce couple va atterrir dans l’avant midi.
Ça sera une première pour le roi Philippe depuis sa prise des fonctions de se rendre à Kinshasa. Malgré de multiples reports, cette visite de travail s’est enfin confirmée en avril dernier.
Cette visite est prévue du 07 au 13 juin prochain, le souverain belge va visiter au moins trois provinces de la République démocratique du Congo (RDC), il s’agit notamment de Kinshasa, Haut Katanga, et le sud Kivu où ils vont rencontrer le prix Nobel de la paix le Dr Denis Mukwege.
L’agenda du couple belge prévoit des échanges avec des officiels congolais à Kinshasa. Et plusieurs cérémonies et visites des sites déjà ciblés.
Après son examen et adoption par l’Assemblée nationale, la nouvelle loi électorale proposée par le groupe G13, est la voie qui permettra au pays d’organiser les élections crédibles et transparentes selon le vice-président de la chambre basse du parlement, Andre Mbata, qui a rassuré l’opinion publique de l’importance de ladite loi.
Lors d’un point de presse tenue samedi dernier à la salle du Congrès du Parlement, ce membre du bureau de l’Assemblée nationale a d’emblée relevé que son bureau œuvrera sans nul doute pour que la République démocratique du Congo (RDC), ait des meilleures élections pour le bien-être du pays.
Face aux critiques de plusieurs parlementaires au sujet de cette loi électorale adoptée par l’Assemblée nationale, André Mbata a rassuré que « Cette loi nous permet d’aller aux élections crédibles et transparentes, transparentes, apaisées et libres », a- t-il fait savoir.
Dans cette loi électorale, ce constitutionnel a précisé que certaines lois existantes relatives à la tenue et organisation des élections en RDC, sont susceptibles d’aucune modification, notamment le mandat du Chef de l’État.
Pour lui, le président honoraire Joseph Kabila ne peut se reconduire aux élections 2023 en RDC. Il a enrichi à cette problématique pour expliquer que la carte à jouer, reste au niveau de son parti politique pour trouver un candidat autre que la personne de Joseph Kabila.
« A son parti et regroupement politique à s’organiser pour préparer un autre candidat », a-t-il déclaré.
La loi électorale réformée a été votée par 405 députés sur 405 votants. Elle se trouve en examen à la Chambre haute du parlement qui doit l’adopter avant la clôture de la session prévue le 15 juin prochain.
Dans un communiqué samedi 4 juin, l’Assemblée provinciale de Kinshasa ( APK) a annoncé un sit-in ce lundi 6 juin, pour réclamer le paiement de les frais de fonctionnement du mois de février à avril de cette année.
Cette manifestation prévue devant le bâtiment du ministère des Finances sur le Boulevard du 30 juin, aura lieu à partir de 10 heures, a indiqué le communiqué qui porte la signature de Junior Nembalemba, le rapporteur de l’APK.
D’après ce dernier, dans ces frais il y a une part de quotité des députés, les salaires des assistants parlementaires, du personnel administratif et politique ainsi que les frais de fonctionnement au quotidien de cet organe délibérant.
« Il est inacceptable qu’à ce jour, seule l’Assemblée provinciale de Kinshasa n’ait pas été payée alors que toutes les autres Assemblées sœurs ont déjà pu toucher leurs dûs pour les 3 mois précités », a-t-il déploré.
Cette situation, ajoute-t-il, entraîne « un véritable » dysfonctionnement du système parlementaire occasionnant la rareté des séances plénières et le manque des ressources pour un fonctionnement efficace de différentes commissions parlementaires et ad hoc.
Le mariage entre Fabrice Besana, président du Regroupement des jeunes dynamique (RJD) et l’ancien Premier ministre Augustin Matata président du Leadership et gouvernance pour le développement (LGD) est désormais scellé. Après l’annonce de ses couleurs politiques, Fabrice Besana a formalisé samedi 04 juin son adhésion au LGD.
Accompagné de plusieurs jeunes venus de plusieurs coins de la capitale, Fabrice Besana a signé son adhésion comme cadre du LGD. Dans ce parti qui a pour leitmotiv de redonner la lettre de noblesse à la classe politique congolaise. Le leader des jeunes compte apporter sa pierre à l’édifice pour propulser M. Matata à la tête de la magistrature suprême en 2023.
« Étant un promoteur de l’idéologie d’une jeunesse de nouvelles possibilités, cette jeunesse dotée des vertus, de la raison pour être une réelle espérance de cette nation, je me suis vu mieux évoluer dans cette grande famille car nos valeurs, nos esprits et nos idées se croisent » a-t-il confié à la presse après la cérémonie de son adhésion.
Pourquoi le choix de LGD ?
Fabrice Besana indique que « son apport sera idéologique, matériel, stratégique voire financier pour permettre à notre candidat d’être élu en 2023 », a-t-il ajouté.
Parlant de son choix sur ce parti parmi tant d’autres M. Fabrice Besana explique que « Ce choix est motivé par la distinction et l’innovation que ce grand parti cher au sénateur Matata Ponyo apporte sur la scène politique. Le LGD ascense les idées et les valeurs contrairement aux partis que nous connaissons qui mettent l’accent sur les individus ».
Depuis le congrès tenu en mai dernier qui a désigné M. Matata Ponyo candidat président à la présidentielle de 2023, le LGD enregistre plusieurs adhésions. Plusieurs grandes personnalités du pays y adhèrent aussi.
La chance n’a pas souri ce dimanche 5 mai au stade des Martyrs de Kinshasa aux formations kinois du Daring club Motema Pembe et du FC Renaissance du Congo, opposés respectivement aux lushois de la JS Groupe Bazana et du Don Bosco.
Le FC Renaissance s’est incliné sur la note de 1-2, Oscar Kabwit a ouvert le score à la 30e minute et donne l’avantage aux salésiens. Idriss Kisha corse l’addition à la 77e minute. (0-2) avant que les oranges réduisent le score à la 79e minute (1-2).
Peu après cette rencontre, le DCMP s’est fait surprendre par les Guerriers de Bazana sur la note de 0-1. Le but matinal de Gloire Basukila à la 17e minute a cloué les Immaculées. Toutes les tentatives de revenir aux sont restées vaines.
Ces résultats viennent freiner l’élan de ces deux équipes kinoises qui ont repris le championnat national chacune avec une victoire.
Dans quelques minutes, les Léopards de la République démocratique du Congo (RDC) vont affronter les panthères du Gabon pour le compte de la première journée des éliminatoires de la coupe d’Afrique Côte d’Ivoire 2023.
Dans ce cadre, le sélectionneur congolais Hector Cûper a dévoilé ses 11 de départ pour cette rencontre.
Meschak Elia, Neeskens Kebano, Bolingi M’pangi figurent parmi les réserves.
La Confédération africaine de football (CAF), a enfin accédé à la demande de la Fédération Gabonaise de Football (FEGAFOOT) en reprogrammant le match ce samedi à 21h.
Initialement prévue à 17h, cette rencontre a été décalée en vue de permettre l’arrivée d’une délégation des joueurs Gabonais qui va fouler le sol congolais à 17h.
Peu avant, la FECOFA avait refusé le report de ce match de 24 h comme sollicité par la FEGAFOOT, notamment pour permettre le déplacement de ses joueurs pour Soudan prévu ce même vendredi à minuit.
Les Léopards de la RDC n’ont qu’une seule option, remporter ce duel afin de mieux se positionner pour le reste des éliminatoires CAN Côte d’Ivoire 2023.ccédé à la demande de la Fédération Gabonaise de Football (FEGAFOOT) en reprogrammant le match ce samedi à 21h.
Initialement prévue à 17h, cette rencontre a été reprogrammée en vue de permettre l’arrivée d’une délégation des joueurs Gabonais qui va fouler le sol congolais à 17h.
Peu avant, la FECOFA avait refusé le report de ce match de 24 h comme sollicité par la FEGAFOOT, notamment pour permettre le déplacement de ses joueurs pour Soudan prévu ce même vendredi à minuit.
Les Léopards de la RDC n’ont qu’une seule option, remporter ce duel afin de mieux se positionner pour le reste des éliminatoires CAN Côte d’Ivoire 2023.
Alors que la Fédération gabonaise de football ( FEGAFOOT) a sollicité à la Confédération africaine de football (CAF) de repousser de 24 heures son match contre les Léopards de la RDC (République démocratique du Congo), cette demande ne semble pas être là bienvenue pour son adversaire.
Saisie de cette demande, la Fédération congolaise de football association (FECOFA) n’est pas passée par le dos de la cuillère et n’accède nullement à celle-ci.
Selon l’organe faîtier du football congolais, suivant leur correspondance du 24 mai 2022, l’arrivée de la délégation était initialement prévue le 1er juin 2022 à 4 heures et non le 2 juin 2022, tel qu’indiqué dans leur demande.
« Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la demande de report est faite à Libreville le 1er juin, soit 24 heures avant le constat des problèmes techniques de l’avion affrété intervenu le 2 juin 2022, alors qu’il apparaît clairement que c’est notre courrier de ce jour qui a motivé leur demande de report », a écrit la FECOFA.
En outre, cette dernière évoque également sa deuxième journée prévue le 8 juin prochain, soit à moins de 5 jours.
Pour la FECOFA, ce report sera préjudiciable non seulement par rapport au temps de récupération de ses athlètes, mais aussi par rapport à l’avion affrété qui devra quitter le 4 juin à minuit.
« Et nous sommes dans l’impossibilité de proposer une autre date à Ethiopian qui a planifié son programme en fonction de nos accords», a-t-elle conclu.
Dans le cadre de son projet « Renforcer les capacités des communautés vulnérables à atténuer les effets négatifs de la pandémie de Covid-19 en mettant l’accent sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle » que l’organisationn Change your World a appuyé depuis plus de 4 mois les activités génératrices de revenus de 300 jeunes de la ville de Goma et du territoire de Nyiragongo, en province du Nord-Kivu.
Ces jeunes appuyés par cette ONG locale ont bénéficié chacun d’une subvention de 500 dollars américains pour élever plus haut leur business et subvenir aux différents besoins de leurs familles respectives.
A en croire Sarah Ntambwe, coordinatrice de cette organisation, ce projet appuyé par Action Agro Allemande les a permis de découvrir la vulnérabilité de la jeunesse congolaise et de mettre en place un programme de renforcement de résilience économique.
Elle a soutenu qu’ensemble avec le Gouvernement congolais, Change your World a mis en place un mécanisme de suivi très rapproché de ces 300 bénéficiaires
«Pour sélectionner les bénéficiaires, nous avions commencé dans des normes qui représentent l’illégalité , de l’égalité de chance, le non à la discrimination et tant d’autres. Nous avions ouvert la chance à tout le monde, ce qui a fait que nous ayons plus de demandes. La plus part d’entre eux nous les avions trouvé dans les incubateurs qui n’ont pas les moyens de les appuyer directement. Et après avoir eu les témoignages de plusieurs jeunes qui ont essayé d’investir à plusieurs reprises mais n’ont pas réussi faute de moyens, nous les avons aussi retenu et après la sélection il y a eu la formation et à la fin on a donné l’argent», a-t-elle expliqué.
De son côté, Sylvie Mwingisyali, Directrice de l’organisation Kasi Bio SARL, une des bénéficiaires a remercié Change your World pour un apport considérable dans le relèvement économique de son entreprise qui intervient dans la transformation des fruits et légumes en jus et boissons.
Celle-ci fait savoir qu’après l’éruption volcanique du mois de mai 2021, il était difficile à travailler pour plusieurs entreprises qui ont subi ce choc et à cela s’est ajouté la pandémie de Covid-19 qui ont mis en mal les activités dans la communauté.
Il sied de noter que, Change your World est une organisation qui s’investit dans l’accompagnement des jeunes et des femmes qui représentent au moins 95% de la population mondiale.
L’ECIDé (Engagement pour la citoyenneté et le développement)/diaspora reste préoccupée par la situation sécuritaire qui prévaut actuellement en République démocratique du Congo (RDC). Elle condamne fermement l’agression de la RDC par le Rwanda qui se cache derrière le M23, indique l’ECIDe/ diaspora dans un communiqué du 3 juin, qui porte la signature d’Athanase Mapessa, le secrétaire national en charge des relations extérieures.
Attachés à leur pays, les cadres et membres de l’ECIDe à l’extérieur du pays pensent que le temps de négociations est révolu.
Pour ce faire, ils interpellent la « Communauté internationale à prendre des mesures concrètes pour mettre fin à cette énième agression de la République démocratique du Congo par le Rwanda ».
D’un ton ferme, la l’ECIDe diaspora exige entre autres la publication, la dénonciation des accords secrets entre Tshisekedi et Kagame, l’expulsion de l’ambassadeur rwandais en RDC, l’identification des officiers rwandais qui ont infiltré les Institutions de l’Etat et l’armée.
« L’ECIDe exige que les accords secrets que M. Tshisekedi a signés avec nos agresseurs doivent être publiés et dénoncés. Le gouvernement congolais doit expulser sans délais, l’ambassadeur du Rwanda au Congo et rappeler celui du Congo à Kigali ». Aussi, « l’ECIDe recommande que soient extirpés les officiers rwandais qui ont été mixés et/ou brassés, après différents accords de paix avec le M23, qui sont actuellement dans les institutions de l’Etat et dans l’armée congolaise. Que ces délégués des ennemis de notre pays soient impérativement et préalablement identifiés », a-t-on lu dans le communiqué consulté par votre média.
L’ECIDe diaspora via le cabinet de son Secrétariat national, en charge des relations extérieures condamne fermement l’agression de la RDC par le Rwanda qui se cache derrière le M23. Il reste convaincu que « c’est sur invitation de M. Félix Tshisekedi que les troupes rwandaises sont en RDC. Dès lors sa responsabilité est engagée dans ce qui se passe actuellement à l’Est du pays ».
Selon toujours le cabinet du Secrétaire national en charge des relations extérieures, l’ECIDe invite les forces vives de la nation de « se ranger derrière le commandant du peuple Martin Fayulu, pour soutenir les différentes actions qui seront menées sur terrain au pays et invite tous les congolais de la diaspora à participer massivement à la marche de protestation qu’organise l’ECIDe Belgique à Bruxelles, le 30 juin 2022».
Rappelons que, c’est depuis plusieurs semaines que la RDC est agressée par le M23 soutenu par le Rwanda. Plusieurs villages des territoires de Rutshuru et Nyiragongo sont tombés aux mains de ce groupe terroriste. Les forces loyalistes congolaises ont lancé d’assauts pour récupérer toutes les localités aux mains de ces agresseurs.
Dans un communiqué ce vendredi 3 juin, la Francophonie a encouragé la « la volonté d’un dialogue constructif démontrée par les deux pays frères et voisins, après la proposition du président angolais João Lourenço, le médiateur de l’Union africaine, d’organiser une rencontre entre Tshisekedi et Kagame, afin d’apaiser les tensions à leurs frontières communes ».
Selon ce document, la cheffe de la Francophonie encourage toutes les aux conflits au niveau local, à s’engager dans la dynamique du dialogue pour des solutions communes à cette question.