Le juge Corneille Wasenda N’songo, a officiellement pris ses fonctions de président ad intérim de la Cour constitutionnelle, au cours de la cérémonie de remise et reprise, organisée mercredi 18 mai, avec le président sortant, le Pr Dieudonné Kaluba, au siège de cette instance, la plus haute du pays.

À l’occasion, le juge-président sortant a remis à son successeur le marteau de commandement, symbole du pouvoir, sans faire aucune déclaration à la presse.

Le Pr Kaluba a réuni les membres de son cabinet pour les remercier de la franche collaboration qu’a fait montre chacun durant son mandat. «J’exhorte tout le monde à demeurer positif dans la vie », a-t-il demandé à ses anciens collaborateurs.
Nommé en juillet 2020 comme président de la Cour constitutionnelle avec trois autres juges, le juge Dieudonné Kaluba s’est fait remarquer dans l’opinion en 2020, lors du procès dit de 100 jours, impliquait Vital Kamerhe alors Directeur de cabinet du chef de l’Etat. Il défendait la République.

Le ministre des Infrastructures et Travaux Publics, Alexis Gisaro s’est imprégné ce jeudi 19 mai, de l’avancement des travaux sur quelques chantiers du projet “Kinshasa zero-trou”.

Alexis Gisaro a parcouru l’avenue Victoire, puis la direction Shaba-Landu dans la Commune de Bumbu, . où l’on constate, la réhabilitation partielle de la chaussée en béton et des travaux de point-à-temps et de curage des caniveaux.

Le montres Alexis Gisaro s’est dit ”satisfait de travaux de réhabilitation profonde en chaussée rigide exécutés sur 60m”.

Les travaux du projet « Zéro trou » à Kinshasa, a été lancé le 14 octobre 2020, visant à éradiquer les embouteillages et bouchons, devenus récurrents dans cette ville, pour aussi cultiver le civisme routier auprès des conducteurs automobiles.

Par ailleurs, Alexis Gisaro a indiqué dans un rapport de la réunion du Conseil des Ministres du vendredi 29 avril que “Le projet de réhabilitation des artères de ville de Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo (RDC) dénommé « Kinshasa zéro trou », devra prendre fin dans six (6) semaines”.

Il s’observe depuis quelques jours à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo ( RDC), la perturbation des vols, cédant ainsi la place à la colère des passagers.

Dans une interview accordée au média d’information en ligne 7 sur 7, le Directeur général de la compagnie d’aviation Congo Airways a expliqué les raisons à la base de cette situation.

À l’en croire, cela est consécutive au conflit en Europe entre la Russie et l’Ukraine, causant la pénurie de carburant.

« Il faut savoir qu’il y a une situation de pénurie de carburant dans toute la région, aussi bien à Brazza qu’au Rwanda. Cette pénurie est la conséquence d’un conflit qui a lieu en ce moment en Europe entre la Russie et l’Ukraine. Et la conséquence de ce conflit nous amène à la rareté des produits pétroliers. Nous sommes tous victimes, alors ce n’est pas une situation qui est propre à Congo Airways », a-t-il indiqué.

Et de poursuivre: «Cependant, nous constatons que les compagnies internationales viennent prendre le quota stratégique qui nous reste à Kinshasa. Vous voyez un long courrier qui vient prendre du carburant pour aller jusqu’à Paris ou Bruxelles, il prélève une grosse quantité, et la quantité descente nous sommes obligés de la partager entre la compagnie nationale et les compagnies privées ».

Il y a quelques semaines, l’on pouvait voir bon nombre de véhicules dans les stations-service pour se ravitailler en carburant, ce, à la suite d’une annonce d’une probable pénurie de carburant.

Plusieurs personnes trouvées débout sur l’arrêt Kintambo – magasin dans la commune de Ngaliema, à la base, manque des transports en commun.

Sur place, l’on sait voir les éléments de la Police nationale congolaise ( PNC) qui font le contrôle de la vignette, barricadant ainsi la route à ce niveau.

« Ce ne se passe pas comme ça, et maintenant beaucoup de personnes vont arriver en retard dans leurs lieux de travail à cause de ça », regrette un passant débout depuis plusieurs minutes.

Les conducteurs de transport en commun tournent à partir de l’arrêt « Maman Olangi» pour éviter d’être pris par ces agents.

« Si on t’arrête, on te demande juste de payer la vignette et l’amende c’est tout. J’ai été arrêté le matin mais heureusement que ma voiture est d’une nouvelle série, voilà pourquoi ils m’avaient laissé partir (Ndlr)», a fait savoir un conducteur d’un taxi bus de marque Sprinter.

Il convient de rappeler qu’il y a quelques semaines le gouvernorat de Kinshasa avait annoncé pour le mois de Mai le début du contrôle de la vignette.

La dame âgée de 59 ans a été arrêtée l’avant midi de ce mercredi 18 mai, à l’école Mafuta, au quartier Munganga, dans la commune de Ngaliema.

Dans un taxi de couleur jaune, aux côtés d’un homme de quarantaine d’années (son conducteur), elle est accusée du vol d’enfants dans cet établissement scolaire.

Rencontrés sur le lieu, les habitants du quartier ont affirmé que cette dame aurait happé 5 enfants en uniforme qu’elle a fait monter dans cette voiture pour une destination inconnue.

Transféré au commissariat de la Police nationale congolaise à la maison communale de Ngaliema, le conducteur lui, a donné une autre version des faits, et n’a juré que sur son innocence « je ne la connais pas », peste-t-il.

D’après ce dernier, la présumée voleuse l’aurait sollicité pour des courses pour Kingakati, lui rassurant de payer à 100.000 CDF son service, et ce, sans ignorer la prise en charge du carburant.

Répondant à la question sur les enfants qui étaient dans sa voiture, celui-ci a affirmé qu’il n’y avait aucun enfant à bord de son véhicule.

« Quand on est arrivé vers la police, c’est alors qu’elle m’a demandé de stationner la voiture et soudain, je vois une Jeep qui venait à vive allure dernière ma voiture. J’ai vu un monsieur descendre et demander à cette maman de le suivre. J’étais étonné parce que la maman ne m’avait encore rien donné alors qu’on avait déjà passé plus d’une heure ensemble. C’est dans ce cadre que je les ai suivi jusqu’à l’école pour demander ne fût-ce que. 10.000 CDF, pour le temps qu’elle m’avait fait passer. C’est ainsi que j’ai vu venir les agents de la police à l’école pour nous arrêter et amener jusqu’ici ( Ndlr)», a-t-il expliqué.

Au commissariat, l’on sait voir les enfants de cette dame, venus avec les médicaments, indiquant que leur maman a un problème mental, une situation qui, selon eux, serait à la base de ce comportement.

Affaire à suivre !

C’est ce qu’a affirmé le député provincial Samy Kalonji.

Ce dernier craint le clientélisme dans la gestion de la ville. « Il y a risque qu’il y ait une certaine négligence dans la gestion de la ville et même du clientélisme », a-t-il dit avec crainte.

Par ailleurs, Charles Mbutamuntu, le ministre près le gouverneur lui, indique que les adhésions sont libres. Il n’y a des contrainte aucune.

« Ce sont les leaders qui adhèrent à l’ACP comme tous les autres. Il y a des pasteurs, entrepreneurs », a-t-il soutenu.

Giscard Havril

une année après le début de la mesure exceptionnelle de l’état de siège décrété par le chef de l’État. l’heure est au bilan. Si pour les uns c’est un échec, le gouverneur militaire Johnny Luboya, lui, ne voit pas les choses de cet œil.

Selon lui, «l’état de siège n’est pas un échec» dit-il devant la presse lors d’un briefing tenu par le porte-parole du gouvernement hier mardi 17 mai en marge de la journée de la Libération.

Pour le gouverneur militaire de l’Ituri, cette mesure exceptionnelle a permis «la sécurisation de la ville de Bunia et la réouverture des axes routiers RN 27 et RN4. La dernière phase de la récupération des grandes agglomérations est en cours» a-t-il indiqué.

Plusieurs ONGs, et les mouvements citoyen et certains politiciens ont crié à la lever de cette mesure qui selon eux ne fait qu’aggraver la situation de l’insécurité dans cette partie du pays.

Le chef de l’Etat Felix Tshisekedi a promis une table ronde pour évaluer la mesure de l’état de siège décrété en Ituri et au Nord Kivu.

L’armée ougandaise a annoncé le retrait de ses troupes à l’Est de la République démocratique du Congo. Annonce faite mardi 17 mai par la haute hiérarchie de l’UPDF, après plusieurs mois des opérations conjointes avec l’armée congolaise contre les ADF.

« L’opération Shujaa cessera officiellement dans environ 2 semaines selon notre accord initial », a tweeté le commandant des forces terrestres ougandaises, Muhoozi Kainerugaba, fils du président Museveni qui a précisé que « cela devait durer 6 mois.

«À moins que je reçoive d’autres instructions de notre commandant en chef ou CDF (chef des forces de défense), je retirerai toutes nos troupes de la RDC dans 2 semaines » a-t-il ajouté.

Alors que cette force a été mise en place pour travailler aux côtés des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) jusqu’à l’éradication totale de l’insécurité, ce retrait pourrait intervenir alors que la situation est loin d’être améliorée.

La date du 17 mai représente non seulement la sortie du Congo d’un régime totalitaire du Maréchal Mobutu, mais aussi est surtout, la bravoure d’un soldat hors pair qui a aidé le pays à accéder à sa démocratie, après plus de 32 ans de dictature, estime-t-on dans la famille de Laurent Désiré Kabila, l’ancien président congolais.

Alors que le pays a rendu hommage aux soldats congolais en cette même date, la famille de l’ex chef de l’Etat a également exprimé sa considération en mémoire de leur père assassiné six ans après son arrivée au pouvoir.

«  La date du 17 Mai nous rappelle qu’il n’y a qu’un seul soldat du peuple, Laurent-Désiré Kabila. 25 ans après les acquis de la libération, l’homme Congolais reste le seul responsable de son destin », a écrit Zoe Kabila, fils de feu LD Kabila.

Le fils de l’ancien chef de guerre a rappelé les missions régaliennes de son père, lesquelles fut axées à la paix totale, l’intégrité territoriale, ainsi que l’unité nationale.

Il a par ailleurs, renouvelé son soutien indéfectible aux Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), pour la continuité de cette mission.

Pour sa part, l’épouse de Joseph Kabila, Marie-Olive Lembe soutient que c’est grâce à son beau-père que la dictature en République démocratique du Congo ne sera plus tolérée.

« Hommage à M’zee LD Kabila, qui par son expédition militaire rationnelle a mis fin à la dictature qui ne sera plus jamais tolérée », a-t-elle déclaré.

La poursuite de cette démocratie amorcée en RDC par M’zee, a été selon elle, portée par son mari Joseph Kabila, grâce à qui ladite démocratie est devenue une réalité au pays.

« Merci à lui de nous avoir légué Joseph Kabila,héritage, précieux et homme exceptionnel grâce à qui la démocratie est devenue réalité en RDC ».

Un cas de pendaison d’un jeune garçon a été signalé depuis la soirée de mardi dernier dans la ville de butembo.

Les circonstances exactes de la décision fatale de ce jeune garçon d’une vingtaine d’années ne sont pas encore connues, cependant certaines sources parlent des déceptions, d’autres d’excès d’alcool.

Un enseignant de ce garçon dans une école de butembo le témoigne comme un jeune hyper gâté dans sa famille.

«Je regrette trop la mort de ce petit. Mais je crois que ses parents sont un peu responsables du désordre dans la vie de ce garçon. J’ai rencontré plusieurs enfants durant ma carrière d’enseignant…mais j’avais jamais vu un enfant aussi gâté comme ça. C’était un gâté pourri qui faisait de tonneaux chaque jour avec les jeeps de ses parents. Aux côtés de son corps se trouvaient une bouteille de whisky, un trousseau des clés de contact de voitures et un téléphone de marque iphone…», a-t-il dit.

Au moins six personnes sont décédées et plusieurs autres blessées, c’est le bilan encore provisoire d’un accident de circulation survenu ce mardi 17 mai 2022, à Kamagema, au quartier Panzi, dans la ville de Bukavu.

Des sources de la Société Civile de la place, parlent d’un camion qui quittait la ville d’Uvira pour Bukavu qui a écrasé des motos et des Bajaj, précisant que, le chauffeur de ce camion avait perdu contrôle.

« On enregistre déjà au moins six morts sur place et d’autres personnes touchées par les blessures viennent d’être transférées à l’Hôpital Général de Référence de Panzi. Des personnes à l’hôpital parlent de 10 blessés », explique le Vice-Président de la Société Civile d’Ibanda.

Ce nombre des morts n’est pas encore confirmé par des sources hospitalières.

Les Proveds, les Inspecteurs principaux provinciaux, les Diprosec ont été conviés à veiller constamment et en instruire régulièrement tous leurs collaborateurs.

Dans sa note de service n• MINEPST/SG/80/ CDU/TMS/081, de ce lundi 16 mai, Christine Nepa Nepa Kabala, Secrétaire général a.i à l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) a indiqué que « tout coupable de ce genre de comportement sera seul responsable des préjudices subis par l’élève ».

S’agissant de la vidéo désobligeante, devenue virale dans les réseaux sociaux début mai en cours, soit le 5, montrant un enseignant en train de se jouer des enfants dans une salle de classe, en les frappant de manière inhumaine, Mme la Secrétaire à l’EPST a pressé « les chefs d’établissement, sous-division et directeur de la province éducationnelle de ne pas attendre être interpellés avant de dénoncer et d’agir conséquemment contre l’enseignant auteur de ce comportement dégradant ».

Giscard Havril

Les Proveds, les Inspecteurs principaux provinciaux, les Diprosec ont été conviés à veiller constamment et en instruire régulièrement tous leurs collaborateurs.

Dans sa note de service n• MINEPST/SG/80/ CDU/TMS/081, de ce lundi 16 mai, Christine Nepa Nepa Kabala, Secrétaire général a.i à l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) a indiqué que « tout coupable de ce genre de comportement sera seul responsable des préjudices subis par l’élève ».

S’agissant de la vidéo désobligeante, devenue virale dans les réseaux sociaux début mai en cours, soit le 5, montrant un enseignant en train de se jouer des enfants dans une salle de classe, en les frappant de manière inhumaine, Mme la Secrétaire à l’EPST a pressé « les chefs d’établissement, sous-division et directeur de la province éducationnelle de ne pas attendre être interpellés avant de dénoncer et d’agir conséquemment contre l’enseignant auteur de ce comportement dégradant ».

Giscard Havril

Nommée ambassadrice du Programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD) pour la promotion des actions climatiques en RDC, la chanteuse Barbara Kanam a exprimé sa détermination de défendre davantage la protection de l’environnement.

Elle l’a dit ce lundi 16 mai lors de la cérémonie de signature du protocole d’engagement avec le PNUD organisée à Pullman situé à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC).

A l’en croire, la préservation de l’environnement constitue pour elle une passion d’où, être nommée ambassadrice de bonne volonté ne fait que raviver en elle cette flamme.

« Cette nomination est une fierté mais aussi un engagement personnel, solennel que je prends pour défendre davantage la protection de l’environnement et promouvoir les actions climatiques, particulièrement la cuisson propre », a indiqué l’ambassadrice de bonne volonté Barbara Kanam.

Saluant les actions de lutte contre la déforestation menées par le gouvernement congolais avec l’appui de ses partenaires notamment le PNUD, elle a également promis de mettre en avant ses compétences artistiques pour apporter le changement afin d’adopter le mode de cuisson propre.

« Si ma voix, mes conseils peuvent d’une manière ou d’une autre favoriser le changement de comportements dans le ménage en adoptant le mode de cuisson qui sont propres, en utilisant des foyers améliorés les gaz, Oui, je porterai haut et fort ce combat parce que j’aime ma planète, j’aime notre continent, j’aime la RDC, j’aime la Côte d’Ivoire », a-t-elle soutenu.

Pendant deux ans, Barbara Kanam va sensibiliser la population dont plus particulièrement les femmes et filles pour les amener à comprendre l’importance de la protection de la nature.

« Notre plan d’action c’est aller auprès des populations. Nous irons dans diverses provinces pour expliquer la nécessité du changement de comportements, l’adoption de cuisson propre bien que ça soit encore difficile », a-t-elle convié.

Répondant à la question sur les critères de choix de l’artiste Barbara, la représentante du PNUD a fait savoir que « la renommée de notre nouvelle ambassadrice n’est plus à démontrer, c’est une artiste internationale de renommée Africaine très engagée (…) Et évidemment sa disponibilité pour nous soutenir pendant cette campagne ».