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Lutte contre la covid-19 : La Première Dame Dénise Nyakure reçoit l’aide de son homologue chinoise

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La première dame de la Dénise a reçu ce 17 juillet un don de la Première Dame de la République populaire de Chine, Professeure Peng Liyuan, pour la lutte contre la pandémie de covid-19.

Remis par Zhu Jing, l’ambassadeur de Chine en RDC, ce don est composé de divers matériels de lutte contre la pandémie, notamment du gel hydro-alcoolique et autres matériels médicaux.

Dénise Nyakeru souligne que « ce don est une réponse à un appel de solidarité lancé par Mme Antoinette SASSOU, Première dame de la République du Congo et présidente de l’Organisation des Premières Dames d’Afrique pour le Développement (OAFLA) » afin d’endiguer ce fléau en Afrique.

Cet appui de l’Empire du Milieu contribuera aux efforts fournis par la Première Dame, au travers de sa fondation, pour atténuer les effets pervers de la pandémie en RDC. L’ambassadeur chinois a, de son côté, souligné que dans le combat contre le Covid-19 « les femmes et les enfants méritent une attention particulière. Voici un nouveau don de matériels médicaux chinois à la Fondation Dénise Nyakeru Tshiseledi  pour soutenir leurs efforts en faveur des femmes et des enfants congolais ».

Ce don est également la preuve des relations d’amitié entre Dénise Nyakeru et son homologue chinoise, Peng Liyuan. C’est d’ailleurs dans ce cadre, note l’épouse du président Tshisekedi, qu’elle avait « reçu, en audience le mois passé, l’ambassadeur Zhu Jing qui était porteur d’un message d’amitié et de coopération de la première dame chinoise en faveur des femmes et des enfants en Afrique ».

Professeure Sandrine Mubenga prend la tête de l’Autorité de régulation de l’électricité

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Le président de la République vient de nommer professeure Sandrine Mubenga Directeur Général de l’Autorité de régulation de l’électricité (ARE). L’ordonnance a été lue sur les antennes de la radio-télévision nationale congolaise (RTNC) ce 17 juillet.

Ingénieure en électricité, Docteure Ngalula Mubenga est détentrice d’un Doctorat en génie électrique de l’université de Toledo, dans l’état d’Ohio aux USA. Elle y a également obtenu ses diplômes de License et de Maîtrise en génie électrique. Elle est par ailleurs certifiée comme ingénieure professionnelle (PE) dans le même état.

La nouvelle directrice de l’ARE est par ailleurs  fondatrice et directrice générale de SMIN Power Group SARL, une entreprise spécialisée dans la fourniture d’électricité, notamment grâce aux énergies renouvelables, qu’elle a fondée aux États-Unis en 201. SMIN opère en RDC depuis 2013.

Elle était membre du conseil d’administration de la Société nationale d’électricité (Snel) avant sa nomination à la tête de l’ARE.

La cour constitutionnelle accueille trois nouveaux membres

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Le Président de la république, dans son rôle de magistrat suprême de l’état congolais, a nommé par ordonnance présidentielle ce 17 juillet trois nouveaux membres de la cour constitutionnelle.

Il s’agit de maître Dieudonné Kaluba Dibwa, professeur de droit à l’université de Kinshasa et avocat près la cour de cassation et près la Cour pénale internationale. Il s’était illustré dans le procès de 100 jours sur les détournements des deniers publics où il faisait partie du collectif des avocats de la république. Il avait disséqué le caractère intellectuel de l’infraction de détournement. Les deux autres membres que l’ordonnance présidentielle nomme sont Kalume Yasengo et Kamulete Badibanga.

Rappelons que cette nomination au sein de la haute juridiction de la RDC intervient alors que le président de la République venait de prendre acte de la démission du président de la cour constitutionnelle Benoît Lwamba, dans un contexte de rumeurs et tensions.

Washington se réjouit de la mise à l’écart de John Numbi

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Le Sous-secrétaire d’état américain aux affaires africaines, Tibor Nagy, s’est réjouit de ce que « le Général John Numbi, sous sanctions américaines, ait été écarté de son poste ». Il l’axprimé sur son compte Twitter à l’annonce des nominations opérées au sein des Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) par le président Félix Tshisekedi ce 17 juillet 2020.

Selon l’ordonnance présidentielle lue sur les antennes de la radio télévision nationale congolaise (RTNC), John Numbi a été évincé du poste d’Inspecteur Général des FARDC au profit de Gabriel Amisi alias Tango Four, qui a été à l’occasion élevé au rang Général d’armées.

Le chef de la diplomatie américaine en Afrique souligne que « les USA soutiennent l’engagement du Président Tshisekedi à améliorer les droits de l’homme et à professionaliser les forces armées congolaises ». 

Rappelons que Numbi avait été placé sous sanctions américaines pour s’être livré à des actes qui ont compromis les processus démocratiques en RDC et qui avaient réprimé les droits politiques et les libertés du peuple congolais. Ces actes avaient jugés par Washington comme étant susceptibles d’entraîner une instabilité croissante et plus généralisée en RDC et dans la région des Grands Lacs.

RDC : John Numbi recalé en faveur de Gabriel Amisi “Tango Four” à l’Inspection générale des FARDC

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Le désormais Général d’armée Gabriel Amisi Kumba dit “Tango Four” vient d’être nommé ce soir par Félix Tshisekedi comme inspecteur général des Forces Armées de République Démocratiques du Congo (FARDC). Il sera secondé par le Général-Major Muhindo Akili Charles dit “Mundos” comme inspecteur général adjoint en charge des opérations et le Général Kasereka Sindani Etienne comme chargé des Finances.

L’ordonnance présidentielle lue à la télévision nationale ce vendredi 17 Juillet 2020 confirme ces nominations. Tango Four remplace à ce poste, le Général John Numbi, qui n’est affecté nulle part à l’heure actuelle.

Au titre de brève biogagraphie, Gabriel Amisi est un ancien officier des Forces armées zairoises (FAZ) qui a été recruté dans l’Alliance des Forces Démocratiques pour la Libération du Congo (AFDL) en 1996 pendant la Seconde Guerre du Congo. Il fut également chef d’état-major adjoint chargé de la logistique du Rassemblement Congolais pour la Démocratie (RCD-G) mais aussi Chef d’Etat-Major des Forces terrestres des FARDC. Quant à Akili Muhindo Mundos son adjoint, il était jusque-là, le commandant région de la 33ème région militaire (Sud-Kivu et Maniema).

Ces changements au sein de l’armée interviennent alors que la RDC est en pleine crise politique caractérisée par la méfiance entre alliés de la coalition au pouvoir.

Sud-Kivu : 12 morts et des maisons incendiées dans une attaque à Kipupu

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Au total 12 morts et plusieurs maisons incendiées, tel est le bilan d’une attaque survenue dans le village Kipupu, chef-lieu d’Itombwe dans le territoire de Mwenga, en province du Sud-Kivu dans la matinée de ce jeudi 16 Juillet 2020.

L’information a été communiquée par André Byadunia Mashaka, Coordonnateur Provincial de la Nouvelle Société Civile Congolaise (NSCC) axe Sud du Sud-Kivu. Il ajoute que l’attaque a été menée par la coalition Gumino-Makanika et Twirwaneho.

Le Coordonnateur provincial de la NSSC indique par ailleurs que d’autres villages environnants ont été attaqués par cette même coalition pendant qu’elle était poursuivie par la coalition maï-maï et Biloze Bishambuke qui ont amené avec eux plus de 280 vaches.

Il faut dire que le bilan de la Nouvelle Société Civile Congolaise n’est pas encore confirmé par d’autres sources sur place. D’autres sources concordantes évoquent un bilan de 4 civils tués et 9 blessés et une dizaine d’assaillants tués.

André Byadunia avertit tout de même qu’actuellement, la situation reste “chaotique” dans les hauts plateaux et dangereuse pour les populations civiles du milieu.

«Et les autorités nationales font semblant de ne pas orienter une action particulière dans cette partie de la province, si non il y a risque que nous soyons surpris demain ou après-demain par une guerre qui va risquer d’embraser les zones environnantes et pourquoi pas toute la province », s’inquiète André Byadunia.

Celui-ci demande l’implication de tous et surtout du gouvernement d’initier des nouvelles stratégies pour démolir tous les détenteurs d’armes dans la partie Sud du Sud-Kivu.

Il dit également soutenir les efforts des responsables militaires qui se démènent jours et nuits pour mettre fin à cette spirale de guerre qui endeuille plusieurs familles dans la région.

RDC: Tshisekedi rejette l’enterinement de Malonda

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Le président de la Republique Felix Antoine Tshisekedi refuse d’enteriner Jonsard Malonda comme président de la centrale électorale CENI.

Cité par top congo fm, Tshisekedi fonde sa decision sur le manque des procès verbeaux de la désignation de celui-ci.

« Votre lettre n’est accompagnée d’aucun soubassement, notamment les procès verbaux de désignation et d’enterinement (de Ronsard Malonda) et tous autres documents y relatifs », répond le Chef de l’Etat à la correspondance de la présidente de l’Assemblée nationale lui demandant d’investir le prochain président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

Notre source précise en outre que Félix Tshisekedi « constate que l’information selon laquelle Ronsard Malonda a été désigné à l’issue d’un processus interne aux confessions religieuses est fortement contestée en fait comme en droit par certains membres de cette composante »

Tout récemment, le président de la République relève que « l’annonce de la désignation et de l’enterinement dans ces conditions contradictoires (de Ronsard Malonda) a conduit à des mouvements des contestations observés à travers le pays ».

Raison pour laquelle, tranche le Chef de l’Etat, « en considération de ces éléments, l’information me donnée en l’état, ne me met pas dans les conditions de disposer conformément à la loi » et d’investir Ronsard Malonda  comme président de la CENI.

Désigné par les Confessions religieuses (6 sur 8) et entériné par l’Assemblée nationale, Ronsard Malonda, actuel secrétaire exécutif de la CENI, devrait être investi par le Chef de l’Etat pour exercer ses fonctions de président de la Commission électorale en RDC.

Seulement, sa désignation est fortement contestée par plusieurs acteurs politiques et même de la Société civile estimant qu’il est à la base « du chaos électoral » décrié en 2018.

Procès assassinat M’zee Kabila : 5 prisonniers graciés par Félix Tshisekedi mais pas Eddy Kapend

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Eddy Kapend ne fait pas partie des 5 prisonniers libérés à l’occasion du 60ième anniversaire de l’indépendance de la République Démocratique du Congo. Décision et mesure de grâce faite par le chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi.

Pour Eddy Kapend il s’agit d’une peine commuée de la servitude pénale à perpétuité tandis que ceux qui ont été condamnés à 20 ans de servitude pénale principale ont donc retrouvé la liberté dès ce mercredi vers 18h précise, jour où la décision a été exécutée.

Il s’agit du Capitaine Maurice Kolokota, du lieutenant Kot Diur, du lieutenant Jean-Claude Kimuanga, du lieutenant Meschak Luhungu, et de l’Adjudant Jean-Jacques Kapia.

Parmi les condamnés à perpétuité il y a notamment le colonel Eddy Kapend, ancien chef de camp du président assassiné, Constantin Nono Lutula, ancien conseiller spécial en matière de sécurité, Leta Mangasa, ancien administrateur général de l’Agence nationale de renseignements (ANR), ont vu leur peine de mort commuée à la servitude pénale à perpétuité ou prison à vie.

Quant à ceux qui étaient condamnés à la prison à vie notamment le capitaine Emmanuel Ndongo Kayilu, commandant du peloton qui avait exécuté dix Libanais à Kibomango sur ordre du général Yav Nawej, ces derniers ont vu leur peine commuée à 20 ans de servitude pénale principale. Cette peine va probablement prendre fin à janvier 2021.

Rappelons que plusieurs détenus de ce procès sont décédés en prison. Sur les 28 qui y croupissaient encore, 5 ayant été libérés suite à la grâce présidentielle, il en reste maintenant 23.

Martin Ekanda, fondateur de l’ISIPA, n’est plus (communiqué)

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L’Institut Supérieur d’Informatique, Programmation et Analyse (ISIPA), a annoncé que son fondateur, l’ingénieur EKANDA ONYANGUNGA Martin, est décéde ce jeudi de suite d’une maladie.

Le communiqué ajoute que le programme des obsèques sera communiqué sous peu, tout en exprimant « les condoléances à la famille biologique de l’illustre disparu et à celle de la communauté scientifique congolaise ».

Pour rappel, l’illustre disparu était diplômé en mathématique physique et a entamé des études d’ingénieur à la faculté polytechnique à l’Université de Kinshasa avant d’aller les poursuivre en informatique en Belgique. C’est en 1975, qu’il a créé l’ISIPA, l’une des principales institutions de formation d’ingénieurs informaticiens de la RDC.

Epargne en monnaie électronique : la BCC fustige les sociétés illégales

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La Banque Centrale du Congo (BCC) est indignée de voir prospérer des multinationales qui procèdent à des opérations de collecte de l’épargne du public en recourant à la monnaie électronique. Ces sociétés qu’elles taxent d’illégales, offrent à leur clientèle, ‘‘des taux d’intérêts créditeurs excessifs, des promesses de bonification et des avantages en nature suivant l’importance des mises’’, revèle un communiqué de la BCC.

Diffusé avec l’aval de Deogratias Mutombo Mwana Nyembo, le Gouverneur de la Banque centrale, ce communiqué cible particulièrement ‘‘les structures non agréées par l’Autorité de régulation et de contrôle du secteur financier’’ qui usent de la ‘‘Crypto-monnaie’’, de ‘‘Bitcoins’’, de la ‘‘Monnaie virtuelle’’… pour mener  leurs activités commerciales.

Se référant aux documents antérieures (Avis au public et communiqués de presse), émis respectivement le 9 novembre 2018, le 13 septembre et le 5 octobre 2019 ainsi que le 16 mars 2020, la BCC révèle ‘‘avoir mis le public en garde contre les activités réalisées par ces structures qui ne sont ni réglementées, ni autorisées à opérer en République Démocratique du Congo’’.

Sans les citer, l’Autorité monétaire fustigent ces sociétés aux tentacules planétaires qui, selon elle, «agissent en violation des dispositions de la Loi n°003/2002 du 02 février 2002 relative à l’activité et au contrôle des Etablissements de Crédit, dite ‘‘Loi bancaire’’».

Alerte face aux risques

Au regard du contexte ambiant, la Banque Centrale attire l’attention du public sur ‘‘les activités de ces structures qui proposent, par la voie de sites internet ou de réseaux sociaux, des investissements sur des produits dérivés, sur des crypto-actifs, via les fonds récoltés dans un système pyramidal’’.

La BCC met davantage le curseur sur ‘‘les risques importants à ces opérations sur des actifs spéculatifs’’. Aux dires de Deogratias Mutombo Mwana Nyembo, ces risques se conjuguent en termes ‘‘d’absence de protection réglementaire pour couvrir les pertes en cas de défaut ou d’activité de la plateforme qui gère le stockage des bitcoins’’.

Pour le numéro un de la BCC, les clients de ce circuit d’épargne virtuelle courent ‘‘les risques d’utilisation des capitaux à des fins criminelles et de blanchiment, préconisant, du reste, l’anonymat dans la réalisation des transactions’’.

Deogratias Mutombo évoque,  en outre, ‘‘des risques financiers liés à l’extrême volatilité des bitcoins’’. De même, ‘‘l’absence de recours possible en cas de cyber-attaque ou de vol des bitcoins stockés sur les téléphones, ordinateurs, etc’’.

Appel à la prudence

Fort de sa mission légale de protection de l’épargne du public et des risques engendrés par ces pratiques, la BCC réitère son appel ‘‘à la vigilance accrue de la part des épargnants face aux propositions d’investissement sur ces plateformes, aux fins de se prémunir contre tout risque de perte de leurs avoirs’’.

A travers son communiqué d’alerte, Deogratias Mutombo fait remarquer que la BCC ne voudrait livrer les épargnants à la merci des phénomènes de triste mémoire, du genre ‘‘Bindo promotion’’, ‘‘Nguma’’, ‘‘Panier de la ménagère’’, ‘‘Dutch international’’…

Pour sa part, ‘‘l’Autorité de Régulation et de Contrôle du système financier national décline toute responsabilité pour tout désagrément que subiraient les personnes qui d’adonneraient à ces transactions à travers ces structures illégales’’, conclut le communiqué de la BCC.

Nord-Kivu : Le directeur provincial de la CNPR suspendu par le gouverneur pour mégestion.

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Bienfait Manegabe, directeur provincial de la Commission Nationale de la Prévention Routière (CNPR) vient d’être suspendu par le gouverneur de la province du Nord-Kivu. L’annonce a été faite dans un arrêté rendu public jeudi 16 juillet et lu sur la RTNC station de Goma.

Il est reproché à Manegabe de violation des dispositions pertinentes du code de conduite de l’agent de l’État et d’entrave aux missions d’enquête au sein de la CNPR.

Le gouverneur lui reproche par ailleurs le comportement d’insoumission et d’insubordination à son égard en prétextant que seul le ministre National dont il dépend est compétent d’enquêter sur les actes qu’il pose en province du Nord-Kivu.

Rappelons que Manegabe était investi à ce poste le 17 août 2018. En attendant son sort, il sera remplacé par l’expert aux projets à la CNPR, Maneno Mupfuni Isaac, qui assumera l’intérim.

Morts de la marche du 9 juillet: « Le FCC n’est mêlé ni de près ni de loin aux déplorables excès… »

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Dans un communiqué datant du 16 juillet 2020, la Conférence des présidents des regroupements et partis politiques membres du Front commun pour le Congo (FCC), rejette en bloc les accusations portées contre cette plate-forme par Jean-Marc Kabund, président a.i de l’Union pour la démocratie et progrès social (UDPS).

« Le Front commun pour le Congo n’est mêlé ni de près ni de loin aux déplorables excès signalés en ces circonstances, contrairement aux allégations du président a.i de l’UDPS sur son compte Twitter, a examiné lesdites allégations ainsi que l’impact de ces activités organisées en violation de l’Etat d’urgence sanitaire », indique le communiqué du FCC.

Réponse du berger à la bergère. La mega plate-forme a encore déclaré ce qui suit : « s’agissant particulièrement de la marche du 9 juillet, le FCC déplore les dérapages, la violence et les violations des droits de l’homme ainsi que les destructions méchantes des biens publics et privés, de même que les atteintes à la pudeur et même les pertes en vies humaines aux dépens des membres de certaines formations politiques et de certains éléments de la police nationale congolaise, particulièrement à Kinshasa et à Lubumbashi ». Ainsi, les groupements et partis politiques réunis au sein de cette structure ont invité la justice à s’en saisir pour que les responsabilités personnelles et/ou collectives soient établies et que les coupables subissent la rigueur de la loi.

Dans un autre volet, le FCC se dit préoccupé par les menaces qui pèsent sur l’unité nationale de suite de la forte résurgence du discours de haine tribale et communautaire en réaction aux désordres institutionnels ainsi délibérément provoqués. Il a pour ce faire exhorté les leaders de promouvoir la paix et de privilégier la cohabitation pacifique entre communautés.

Il sied de rappeler que dans une déclaration à travers son compte Twitter jeudi 16 juillet, Jean-Marc Kabund, premier vice-président déchu de l’Assemblée nationale et président a.i de l’Udps a accusé le FCC d’avoir distribué les machettes pour tuer les combattants de son parti. Le parti de Tshisekedi déplore ce jour la mort de 6 de ses militants, 3 ont été tués par balle et 3 trois autres par machette, a signifié Kabund dans son tweet.

RDC : L’état d’urgence expire le 21 juillet et ne sera plus prorogé

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L’Etat d’urgence sanitaire prend fin en RDC le lundi 21 juillet 2020. L’information a été livrée à l’issue de la réunion du Comité Multisectoriel de riposte à la COVID 19 présidée par le 1er Ministre, Sylvestre Ilunga Ilunkamba, ce Jeudi à l’immeuble du Gouvernement à Kinshasa.

Plusieurs propositions ont été faites par les participants à cette réunion notamment celle de lever progressivement les mesures liées à cette situation. Ces dernières seront soumises au président de la République pour approbation.

«L’état d’urgence proclamé par le Chef de l’État le 24 mars 2020, prorogé successivement jusqu’à son échéance prochaine le 21 juillet. Cet état d’urgence prendra fin. Il fallait anticiper les mesures qui devront être prises à l’occasion de cette levée de l’état d’urgence. C’est la raison principale de cette réunion autour du premier ministre » a noté le porte-parole du gouvernement et Ministre de l’Information Jolino Makelele. Et d’ajouter « à ce sujet, nous avons écouté le rapport de la commission ad hoc qui a travaillé sur ces mesures et leur applicabilité. La réunion a débouché sur l’acceptation de ces mesures qui ont été proposées. Le gouvernement, à travers le Conseil des ministres, va s’en saisir et le chef de l’Etat finira par dire ce qu’il entend par la fin de l’état d’urgence et quelles sont les grandes mesures qui seront prises au niveau national ».
Étant entendu qu’au niveau provincial les prérogatives des gouverneurs seront respectées », a déclaré Jolino Makelele, le ministre de la communication et des médias à l’issue de cette réunion

Rappelons que suite à la pandémie à coronavirus qui s’est déclarée le 10 mars 2020 en RDC, plusieurs mesures avaient été prises par que Félix Tshisekedi pour éviter sa propagation. Parmi ces mesures figurent la fermeture des écoles, des institutions académiques, des barres, restaurant églises et la proclamation de l’état d’urgence sanitaire. Quatre mois après plusieurs personnes craignent déjà une année blanche au pays car jusque-là les activités dans les universités, les instituts supérieurs, les écoles primaires et secondaires restent fermées.
La fin de cet état d’urgence donne tout de même une lueur d’espoir quant à la reprise de ces activités.

Le président de la République Félix Antoine Tshisekedi a regagné Kinshasa au terme d’une visite de deux jours à Brazzaville

Le chef de l’État a répondu à l’invitation de son homologue congolais Denis Sassou N’Guesso.
La question humanitaire préoccupante des réfugiés congolais de Yumbi basés dans la localité de Makoti Poko, la gestion de la pandémie de covid-19 ainsi que les questions régionales l’intangibilité des frontières ont été largement évoquées.

En rapport avec les réfugiés de Yumbi, les deux chefs d’États ont convenu des conditions de leur rapatriement.
Le président de la République a remercié son homologue pour son implication personnelle dans les différends frontaliers entre la RDC et la Zambie

Le gouvernement trouve une solution à la paie des médecins

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La question de la paie des médecins était au centre de l’entretien qu’a eu le Vice-ministre, Ministre de budget Beaudouin Mayo Mambeke avec une délégation des deux syndicats des médecins, en l’occurrence le Syndicat national des médecins (SYNAMED) et Syndicat des médecins de la République démocratique du Congo (SYMECO)

Le patron du budget a indiqué que cette lenteur dans la paie des médecins est due au retard pris dans la transmission des listes des bénéficiaires, auprès des services habilités.
Il ajoute par ailleurs que le président de la République a instruit de prendre en charge tous les médecins en ce qui concerne les primes. L’opération va se dérouler par étape, avec un premier groupe de 800 médecins qui seront servis ce trimestre, puis suivront d’autres groupes.
Il a soutenu que son ministère attend lesdites listes pour le troisième et quatrième trimestres afin que la paie soit programmée.

Désormais les expatriés exerçant le petit commerce en RDC seront poursuivis

C’est une initiative du syndicat national des vendeurs du Congo. L’objectif est de « respecter la loi qui régit le commerce en RDC », a martelé le président de cette organisation, Guylain Lokofo.

En effet, la loi régissant ce secteur interdit aux expatriés d’exercer le petit commerce en RDC. Mais sur le terrain, la réalité est toute autre, car les importateurs étrangers ne respectent pas la loi et vendent en détail.

Lokofo confirme qu’une plainte est déjà déposée au parquet du tribunal de grande instance de N’djili contre une entreprise. Et d’ajouter que « le syndicat va continuer à identifier ces entreprises qui violent la loi, apporter des preuves à la justice pour qu’elles répondent de leurs actes ».

Au sujet de la réouverture du marché central, Guylain Lokofo dit que l’assemblée provinciale de Kinshasa a formulé une série des recommandations au gouverneur afin de sursoir les travaux et de respecter le processus de passation des marchés.

Signalons qu’il y a une plainte contre le gouverneur à la cour de cassation. Le syndicat des vendeurs attend être indemnisé par ce dernier pour la perte des marchandises.

Kinshasa : l’ ECIDE annonce le retour imminent de Martin Fayulu

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« Je confirme que la date du 2 août a été retenue comme la date du retour du commandant du peuple Martin Fayulu, qui doit regagner Kinshasa », a affirmé Devos Kitoko au micro de la radio Top Congo.

Intervenant jeudi 16 juillet sur les antennes de cette radio, le Secrétaire général de l’Engagement citoyen pour le développement (ECIDE) a donné les raisons du choix de la date du 2 août, laquelle coïncide avec la commémoration du génocide congolais, tel que l’a décrété Martin Fayulu son président. Le parti du candidat malheureux à la dernière présidentielle (selon les résultats de la Ceni entérinés par la Cour constitutionnelle) en Rdc a jugé, que cette date soit aussi consacrée au retour de ce leader de l’opposition congolaise.

Par ailleurs, pour réserver un accueil chaleureux à son président, l’ECIDEb prévoit d’engager dès lundi 20 juillet, des concertations avec la société civile, quelques partis politiques et mouvements associatifs, ce en vue de dégager des principales activités à mener en cette journée commémorative, a encore expliqué le professeur Devos Kitoko.

À la question de savoir: si l’Ecide compte approcher le Gouvernement de la République pour cette commémoration, ce membre de l’Ecide a soutenu que lorsque l’on parle de génocide ou des massacres des congolais, tous citoyens congolais, des toutes les institutions sont concernés et personne n’est exclue, car les congolais qui sont morts, sont frères de tout le monde. Il a enfin, invité tous les kinois à aller nombreux accueillir leur leader. Rappelons que Fayulu est depuis plusieurs mois en dehors des frontières nationales.

Masina/Siforco : mort par balle d’un homme lors de la bagarre entre écuries des Kuluna

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Un mort par balle, tel est le bilan de la bagarre entre deux écuries des gangs communément appelés Kuluna. Henry Tampo, c’est le nom de l’homme d’une vingtaine d’années qui a été tué par un élément de la garde républicaine en face de la société Transco, au quartier Siforco dans la commune de Masina. Le drame s’est passé la journée de mercredi 15 juillet 2020.

Selon plusieurs témoignages sur place, tout a commencé lorsque les jeunes Kuluna jamaïcains, regroupés au sein d’une écurie du quartier Kingasani, dans la commune de Kingasani sont allés enterrés un corps au cimetière de Tshwenge, vers la voie ferrée dans la commune de Masina. De retour du cimetière, ils se sont attaqués à leurs rivaux de l’écurie Bololo, du quartier Siforco qui s’était réunis en face de la Direction générale de la société de Transport au Congo (Transco). La bagarre par machette qui s’en était suivie a troublé l’ordre et la quiétude au sein de la population.

Cependant, Henry Tampo a été tué à balle réelle par un des éléments de la garde républicaine. Cette dernière a été alertée par Transco pour venir protéger ses installations. Innocent, le jeune homme d’une vingtaine d’années qui ne faisait partie des écuries, était en train de traverser le macadame lorsque la moto qui transportait les éléments mura a commencé par le tamponner puis l’un d’eux l’a criblé d’une balle renseignent les mêmes sources, qui ajoutent que l’homme a été confondu aux gangs. Le militaire auteur de cet acte n’a pas été arrêté, indique-t-on encore.

République du Kivu: La FOKAK parle d’une idée séparatiste et soutien la traque des initiateurs.

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Dans sa déclaration datée de ce jeudi 16 juillet 2020, la Fondation Kalehe Kwetu FOKAK en sigle, une association sans but Lucratif qui œuvre pour la paix en République Démocratique du Congo, dit rejeter l’idée d’une République du Kivu.

Dans cette déclaration signée par son président du conseil d’administration et initiateur, Radjabu Rugishi Shamwesi, la FOKAK fait savoir que cette idée tend à ramener le pays dans une crise sécuritaire et une déstabilisation, alors que celui-ci est recouvre peu à peu son élan de stabilité.

Dans cette même déclaration, la FOKAK dit regretté que des noms de certaines personnalités qui ont tout fait pour l’unification de la RDC soient « injustement » cités par certaines personnes comme éventuels animateurs de cette « soit disant République du Kivu ».

« La FOKAK decourage fortement ces actes et invite les auteurs au sens de responsabilité. Elle rappelle les uns et les autres, que la RDC reste et restera une et indivisible, et invite les instigateurs à abandonner leurs idées séparatistes afin d’épargner le peuple congolais en général et kivutien en particulier des toutes les conséquences qui decouleraient de ces idées.  » lit-on dans cette déclaration.

Par ailleurs, la FOKAK dit saisir de cette occasion pour réaffirmer son soutien aux services de sécurité déjà à pied d’œuvre pour la traque des auteurs de ces actes, tel que recommandé par le président de la République Félix Tshisekedi et relayé par le Gouverneur de province du Sud-Kivu, Théo Ngwabidje.

Pour rappel, depuis un temps les réseaux sociaux sont bondés des messages appellant à la formation d’une République du Kivu. Les initiateurs qui jusque-là demeurent inconnus sont allés même à afficher frauduleusement un drapeau dans certains coins de la ville de Bukavu. Cette idée situation à provoquée plusieurs réactions dans le chef des habitants et des dirigeants congolais.
Félix Tshisekedi, président de la République Démocratique du Congo a au cours du conseil des ministres exigé que les auteurs de ces actes soient vite rechercher afin qu’ils répondent de leurs actes devant les instances judiciaires.

Nord-Kivu: La PNC recherche le criminel Muhasa Mapasa (Communiqué)

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Le commissariat provincial de la Police Nationale Congolaise vient de lancer un avis de recherche pour mettre la main sur un certain Muhasa Mapasa.

Selon le communiqué signé par le commissaire divisionnaire adjoint, Aba Van Ang François Xavier, l’homme est identifié comme auteur des crimes graves contre la population de Goma.

Ce même communiqué indique qu’une somme de 2.000 dollars américains est réservée à quiconque fournira des informations à même de permettre la mise hors d’état de nuire de Muhasa Mapasa, pour garantir la paix et la sécurité aux populations de la ville de Goma.

Les numéros de téléphone +243 819 963 380, +243 999 995 218, sont mis à la disposition de toute personne qui détiendrait des informations à même de permettre l’arrestation de celui que la police appelle « ennemi » de la pai

RDC-Foot : Le DCMP contraint à payer 94.000$ à Ousmane Sangaré

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Le Daring Club Motema Pembe subit une sanction de la Fédération Internationale de Football Association (FIFA) à cause de l’irrégularité du contrat avec le joueur Ousmane Sangaré

Le manager et agent du joueur ayant réceptionné le courrier de la FIFA lundi 13 juillet dernier, dit que le Club n’a pas respecté le délai de 2 fois 45 jours qu’a accordé l’instance faîtière du football mondial afin de répondre à l’accusation porté contre lui.

Ça paise lourd sur le Club de son président Vidiye Tshimanga à réaliser que la sanction est d’une suspension de 3 ans sans recruter au cas où le Club ne paie pas à Ousmane Sangaré une amende de 94.000 dollars américain assortie d’un intérêt de 5% du montant

Il est à signaler qu’Ousmane Sangaré a signé pour 4 saisons avec le DCMP en 2015 mais le grand temps d’arriérés salariales n’a pas permis à l’athlète d’origine malienne de continuer ses prestations. Des divergences n’ont pas manqué entre le joueur et les dirigeants du Club affirme son manager Diabate

La FIFA a réceptionné l’affaire par le joueur après un bon bout de temps de patience.

Au niveau de l’instance faîtière du football mondial, l’avocat de l’attaquant malien suit l’affaire, d’après Diabate le manager du concerné.

La FECOFA avait à peine réceptionné le courrier mardi le 14 juillet dernier et jusque là, le Club n’a pas encore réagi à cet effet

Bukavu: La ville secouée par un tremblement de 4.3 (Chercheur)

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La ville de Bukavu la nuit de ce jeudi 16 juillet 2020 par un tremblement de terre aux environs de 3 heures 24 minutes.
Quelques minites plus tard, ça n’est suivi d’un mouvement sismique à deux reprises; respectivement entre 3 heures 24 minutes et 3 heures 34 minutes.

Selon le site de recherche sismologue.com, consulté par kinshasatimes.cd, la magnitude de ce seisme était de 4.3. La même source précise que ce tremblement s’est fait ressentir dans les pays voisins de la ville de Bukavu, notamment le Burindi et le Rwanda à 10 KM de Bunagana vers 3 heures 23 minutes.
Selon le même site, l’épicentre de ce tremblement serait à Kalehe, dans la province du Sud-Kivu.

Disons qu’un autre seisme s’esr fait ressentir dans la ville de Goma la journée du mardi 14 juillet 2020, d’une magnitude non élucidée jusque là par les spécialistes.

Morts de la marche du 9 juillet: Kabund accuse le FCC

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Dans son compte Twitter de ce jeudi 16 juillet 2020, Jean-Marc Kabund, président a.i de l’Union pour la démocratie et progrès social (Udps) a déploré la mort de 6 combattants de son parti et a pointé du doigt le Front commun pour le Congo (FCC) d’avoir distribué les machettes qui ont servi à tuer 3 de ces combattants, lors de la marche organisée par son parti, en vue de contester l’entérinement de l’élection de Ronsard Malonda à la tête de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) le jeudi 9 juillet 2020.

« 6 combattants tués, dont 3 par balle à Kin et 3 par machette ainsi que 6 portés disparus à Lubumbashi lors de la marche pacifique du 9/7 », a-t-Il déclaré.

Le député Udps et ancien premier vice-président de l’Assemblée nationale dénonce un crime inacceptable et appelle vivement à des enquêtes.

« Nous avions alerté sur la distribution des machettes par le FCC afin de massacrer des manifestants. Un crime abject et inacceptable. Vivement l’ enquête », fait savoir le tweet de Kabund.

Par ailleurs les observateurs ont également condamné le fait que Fils Mukoko, l’un des communicateurs Udps, ait fait état, dans une vidéo, de distribution des armes au peuple congolais.

Kinshasa/Masina: « Les filles qui vendaient du pain pour vivre, vendent maintenant leur corps pour en acheter » dénonce Mohombi

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Il est depuis, attentif et très critique de la gestion du pays par les dirigeants ainsi que du social des compatriotes dans son pays, la République démocratique du Congo. Lui, c’est l’artiste musicien Mohombi. Dans un récent tweet, le chanteur congolais de la diaspora a dénoncé un peuple abandonné. Et ce n’est pas tout. Il condamné la hausse de prix des produits de première nécessité est s’est alarmé du fait qu’actuellement les filles de Kinshasa vendent leur corps pour s’acheter du pain.

« Masina Le sac de riz qui était à 32k Fc avant le confinement est aujourd’hui à 45k Fc. Les filles qui vendaient du pain pour en vivre vendent aujourd’hui leur corps pour en acheter », a-t-il écrit.

Il fustige la mauvaise gestion, au quotidien du pays où le peuple est abandonné entre assauts des gangs communément appelés Kuluna et braquages policiers. « Entre les assauts de Kuluna en pleine journée et les braquages des policiers, un peuple abandonné », ajoute-t-il.

Depuis un certain temps, le chanteur congolais s’inscrire dans une démarche citoyenne, où de temps à autres, il réagi face à la misère de ses concitoyens au pays. Nombreuses de ses déclarations sur Twitter font des dénonciations et/ou fustigent la mauvaise gestion du pays par ses dirigeants.

Sud-Kivu: Les services de l’urbanisme  déclarent 11 sites interdits de construction 

La Division provinciale de l’Urbanisme au Sud-Kivu, vient d’interdire toute construction sur 11 sites jugés impropres.

Selon elle, cette interdiction est imposée dans le cadre d’accompagner le Gouvernement provincial dans sa lutte contre les constructions anarchiques.  Ce qui se conforme à son arrêté provincial portant assainissement des agglomérations urbaines et rurales.

Ces sites sont entre-autres: le site du flanc de la Clinique Universitaire Muhanzi, le site ITFM situé du côté gauche de la route menant vers ISTM, le site ISDR, côté droit de la route Place de ‘indépendance menant vers Lycée Wima, le site Kabwa Kasire, le site du Bassin de l’Athénée d’Ibanda, le site Ikanga sur le flanc de la Rivière Ruzizi en face de Cyangugu/Rwanda, le Flanc droit situé du côté Ruzizi/Gyamba, les 10 mètres de rivage du Lac Kivu, le site situé entre les avenues routes d’Uvira et Industrielle, les 50 mètres de rivage du lac Tanganyika et les avenues des collines et plateaux surplombant la ville d’Uvira

La Division provinciale de l’Urbanisme informe qu’elle se réserve les droits de sanctionner tous les contrevenants à cette mesure, conformément à la loi.